Pinup moderne : cet obscur objet de désir
11 septembre 2024Pinup moderne adore montrer son corps et en faire un objet de convoitise. Libertine, elle possède plusieurs cordes à son arc : domination, porno chic,…
Séduire, provoquer, donner envie d’elle, créer le désir, susciter les fantasmes… Pinup moderne (l’un de ses pseudos sur les réseaux libertins) adore montrer son corps, ses formes et en faire des objets de convoitise. Libertine, elle possède plusieurs cordes à son arc : elle fait ses premières armes comme DJ, pose pour des shooting photos, travaille dans la production de contenus sexy et porno chic avec son mari. Enfin, cette ancienne maquilleuse de métier et conseillère en image peut se transformer en maîtresse à vénérer par ses soumis…
D’abord la musique. Pouvez-vous nous parler de ce projet DJ Amazonia ?
J’y travaille depuis plusieurs mois. J’aime la fête, danser, j’adore la musique et je suis libertine. Pourquoi ne pas concilier le tout en même temps. J’aimerais donc proposer mes services dans des clubs libertins et pourquoi pas des clubs plus classiques pour animer leurs soirées. Ce projet me tient à cœur et j’espère le voir se réaliser d’ici peu.
Pinup moderne, c’est aussi un modèle pour photos et vidéos ?
Tout à fait ! Dans un esprit sexy, hot et porno chic. Pour moi, la photo, c’est le plaisir de me dévoiler, de montrer mon corps. Je m’excuse, mais j’ai un côté sans doute très narcissique. J’adore savoir et penser que des hommes vont être excités par mes clichés, qu’ils vont avoir envie de moi, qu’ils vont fantasmer sur mes seins, mes fesses, ma bouche… Tout ça m’excite au plus haut point.
Et dans votre vie libertine, la séduction est aussi quelque chose de très important ?
Totalement ! Ce jeu de séduction est primordial pour moi, aussi important que l’acte. Sentir des regards d’hommes, envieux, détailler mon corps, s’attarder sur mes seins ou mes fesses, cela a le don de me mettre hors de moi. Ce n’est pas seulement un plaisir ou une fierté, c’est aussi une réelle excitation physique.
Vous mettez tout en place pour attirer ces regards ?
Bien sûr, que ce soit en club, soirée privée ou tout simplement dans la rue. Je porte toujours des tenues très sexy, moulantes, talons haut, lingerie ouverte ou transparente.
On appelle cela un tempérament exhibe, non ?
Oui, je suis terriblement exhibitionniste. C’est d’ailleurs ce tempérament qui m’a conduit vers le libertinage. Au début, on partait faire des photos coquines un peu partout, dans la nature, dans les rues… Un jour, j’ai été surprise et cela m’a plu. J’ai donc voulu aller encore plus loin. Nous étions encore à Paris et nous sommes allés dans des clubs libertins. Le déclic s’est produit à ce moment-là avec mon envie d’attirer le plus possible de regards d’hommes vers moi.
Attirer l’attention, les regards… c’est donc très important pour vous ?
Oui, je fais tout pour ça. J’aime allumer, provoquer. J’ai besoin de ces moments de séduction pour faire monter la tension dans mon corps. J’éprouve un sentiment de pouvoir, de toute puissance en me sentant désirée par des inconnus et j’en rajoute tant que je peux pour les rendre complètement dingues.
Enfin, vous pouvez avoir également un côté dominatrice et vous faire appeler Maîtresse Diamond ?
Effectivement, c’est une autre facette de moi, qui rejoint aussi mon côté exhibe et mon côté grande séductrice. Je suis avant tout une maîtresse cérébrale, ludique pour des soumis très voyeurs. J’aime les avoir à mes pieds, me sentir vénérer, leur ordonner de lécher mes pieds ou les chaussures que je porte. Être une déesse pour eux, me sentir adulée, admirer. Cette position, de tenir les rênes, de diriger, d’ordonner, m’excite au plus haut point.
Rien que du cérébral ?
Non, j’aime bien aussi donner des petites fessées, attacher mes soumis, les sentir à ma merci. Mais c’est avant tout le jeu cérébral qui m’entraîne vers la jouissance avec ce sentiment de totale appartenance de la part de mes soumis. Rien de hard, de crade ou de violent, et toujours dans une ambiance porno chic.
A lire aussi :
Une libertine parle de ses clubs préférés en Europe