Mission réussie
8 juin 2019Olivier, 24 ans.
Je m’appelle Olivier, j’ai 24 ans, et je sais que certains d’entre vous pensent que je suis un peu jeune pour écrire ici… Mais je ne pouvais pas garder pour moi le fabuleux épisode de ma vie qui s’est déroulé récemment.
L’année dernière, j’avais trouvé un petit boulot un peu fatigant à la mairie de ma ville : agent de recensement. Vous connaissez tous, je suppose, ce métier qui consiste à aller sonner chez les gens pour leur poser des questions. Je me suis donc mis un mardi matin à sillonner les rues de ma ville, avec un gros calepin sur moi, à la rencontre des habitants. J’en étais à ma troisième rue quand je suis entré dans le quartier résidentiel le plus chic de la ville.
À la première porte, après avoir sonné, j’ai eu la surprise de tomber sur une dame d’une cinquantaine d’années, assez bien conservée, qui était en peignoir. Ses cheveux mouillés m’indiquaient qu’elle sortait de la douche. Je me suis présenté et, sans trop me regarder, elle m’invita à entrer. Elle ne tenait pas, me disait-elle, à attraper froid sur le pas de la porte. Je l’ai donc suivie dans sa cuisine. « Asseyez-vous, j’allais me faire un thé. Je vous en fais un ? »
J’aurais pu dire oui, mais j’avais déjà bu sept cafés, cinq thés et deux verres d’eau depuis le début de ma mission, et je n’en pouvais plus. J’ai donc refusé poliment et j’ai sorti une fiche de renseignement. Elle s’est assise devant moi, son mug fumant dans la main, et elle a plongé son regard dans le mien. « Je vais vous épargner plein de questions, jeune homme. Je vis seule ici, je suis célibataire, et ça me fait très plaisir que vous soyez là ! »
Son sourire disait que je lui plaisais. Elle aussi elle me plaisait pour son âge. Elle avait l’air fine, était blonde aux yeux bleus, mais son peignoir cachait son corps. Le fait de savoir qu’elle ne portait rien en dessous suffisait pourtant à m’exciter. Après avoir fini son thé, elle s’est levée pour laver sa tasse dans l’évier. « Excusez- moi, je vais me mettre à l’aise… J’avais froid sur le perron, mais après ce thé, j’ai chaud… » Sur ces paroles, devant mes yeux ébahis, elle laissa tomber son peignoir tout en faisant la vaisselle. J’ai bien sûr compris que c’était une invitation.
Elle avait un beau petit cul qui semblait encore ferme, et la cochonne, après avoir fermé le robinet, approcha une chaise près de l’évier pour y poser un pied. Elle se pencha, et j’ai pu découvrir sa petite moule toute nette, bien rasée. Elle se mettait un doigt quand elle m’a dit tout simplement : « Vous n’allez pas rester planté là ! Venez y mettre votre langue, jeune homme ! »
Sans poser de questions, je me suis exécuté. À genoux derrière elle, la langue dans sa chatte et le nez collé à son trou du cul, je m’en donnais à cœur joie. Elle écartait une de ses fesses avec sa main pour que je puisse mettre ma langue où je voulais. Je bandais comme un âne quand elle s’est retournée. Elle m’a ouvert la braguette et a sortit ma queue qu’elle branlait en m’embrassant. Elle s’est alors agenouillée et s’est mise à me sucer vigoureusement. Je l’ai prise par les cheveux afin de lui donner moi-même le rythme. Elle avait l’air d’aimer ça.
Elle s’est ensuite relevée et a repris sa première position contre l’évier. Pas besoin d’être un génie pour comprendre qu’elle réclamait une pénétration ! Je l’ai donc prise comme ça, par-derrière, assez violemment avec des coups rapides et rapprochés. D’une de ses mains, elle me caressait les couilles. Moi, j’essayais de lui tripoter les seins, mais elle était tellement penchée que c’était assez difficile.
Elle a décidé de changer de position en m’invitant à m’asseoir sur une chaise. Elle s’est alors assise sur ma pine qui rentrait comme dans du beurre. On s’embrassait goulûment, et cette fois j’ai pu lécher la pointe de ses tétons sans mal, tout en lui mettant un doigt dans le cul. C’était si bon que je n’ai pas pu me retenir. J’ai joui en elle, et, d’abord effrayé, je me suis souvenu que ma partenaire devait être ménopausée depuis belle lurette. Elle s’est alors retirée en souriant, m’a redonné mon calepin, et avant de me raccompagner à la porte, elle m’a donné un cookie qu’elle avait fait dans la matinée. J’ai continué ensuite ma mission dans la rue, la bite un peu collante mais l’esprit neuf.
(Photo à la une : Getty Images)
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