Un trouple juteux
24 août 2021Je suis marié depuis 20 ans et j’ai deux grands enfants. Ma femme, Nicole, est encore belle, elle a 48 ans. Malheureusement, la ménopause a gâché notre vie sexuelle, car elle n’a plus beaucoup de désirs sexuels, et je suis très frustré. Je me branle comme un ado et j’ai même dû aller aux putes. J’y ai découvert deux pratiques que ma femme me refusait : la pipe et la sodomie. Mais comme mes moyens sont limités, je me branle souvent. J’ai un atelier où je peux être seul. Un pote de 50 ans y vient souvent pour bricoler ses motos. Je m’appelle Fred et voici mon histoire porno.
Je devais me branler comme un ado
Un jour que je me branlais sur des revues pornos il m’a surpris, et j’ai été très étonné lorsqu’il m’a avoué : « Je comprends mec, on est à la même enseigne… Ta femme ne baise plus ! C’est pour ça que j’ai divorcé, marre de me taper des queues comme un ado boutonneux ! » Puis il a ajouté, malicieux : « Mais dis donc, tu as une petite queue, c’est pour ça qu’elle ne baise plus ta femme. » Alors je l’ai relancé : « Si tu veux, on pourrait organiser une soirée chez toi, si par hasard tu as envie d’essayer de la baiser ! » Il s’est esclaffé : « Pourquoi pas ! J’ai un gros truc, et c’est sûr qu’elle jouirait bien avec ça ! ». Il a baissé son short et m’a sorti sa verge. « Alors convaincu ? » J’ai juste répondu : « Je ne crois pas qu’elle oserait, ce n’est pas son genre… »
Mais en même temps, je matais son sexe énorme, et lui a porté la main à ma petite queue en disant : « Ben dis donc, je vois que ma bite te fait de l’effet ! Je ne serais pas contre le fait que tu viennes me sucer et puis j’aime bien ton petit cul ! ». Ses mots ont fait un grand ravage dans ma tête, j’étais totalement troublé. Je me suis agenouillé devant lui et j’ai commencé à sucer son gros gland. Il a paru surpris, mais il s’est vite ressaisi et m’a tout simplement limé la bouche en me tenant par la nuque. C’était si gros que je m’en étouffais presque !
Ensuite, il s’est retiré et m’a annoncé : « Détends-toi, maintenant, je veux tes fesses. Tu verras, c’est jouissif. ». Il m’a relevé, il a pris mes hanches et a descendu mon short et mon slip. Il a fait couler de la salive sur ma raie « Tu vas voir, c’est vraiment magique. ». Il a posé sa verge à l’entrée… Et il a poussé. Mon anus me brûlait complètement. C’était gros et fort, il me l’a enfoncée jusqu’aux couilles. Je sentais ses burnes qui tapaient contre mon derrière. J’en frémissais de partout.
Je commençais à gémir : « Oh oui c’est bon, enfonce-moi bien ! Je n’ai jamais eu autant de plaisir en baisant ma femme ! ». Je ne bandais même pas, mais je sentais que j’allais gicler quand même… C’était trop bon, et voilà, ça y était, je giclais en me faisant enculer et en poussant des « oh oh ooohh ». Cet orgasme anal m’a transpercé tout le corps. J’ai senti que Denis se tendait derrière. Toute sa semence m’a rempli l’anus. Je jouissais comme jamais. Il continuait à coulisser en moi, et son foutre ressortait pour couler sur mes couilles. J’étais sur un nuage.
Il m’a mordu l’oreille et a susurré « Voilà, ça, c’était la saillie, maintenant tu sens couler ma semence de mâle. Tu es converti, tu es à moi, je t’ai dépucelé, et ton cul ne pourra plus s’en passer. Allez, tu vas avaler mon jus à présent. ». Il s’est retiré de mon cul, et le foutre a jailli de mon anus dans un bruit abject. Il a posé sa grosse verge sur mes lèvres et a dit « Avale, bois mon sirop ». J’ai goûté et malgré le goût âcre, j’ai tout bien léché et avalé. Je me sentais hagard. « Tu es une belle salope ! » m’a-t-il complimenté. « Tu es faite pour être baisée, et puis, vu ta queue, ça ne m’étonne pas que Nicole n’ait plus d’orgasmes ! ». J’étais honteux, mais j’avais adoré ce qu’il m’avait fait.
La semaine est passée, puis le vendredi après-midi est arrivé à nouveau. Denis s’est pointé. Il m’a embarrassé d’emblée. « Alors ça va ? Tu n’as plus mal au cul ? » J’ai rougi et il a ajouté : « J’ai encore envie de te la mettre. C’était si bon ton cul. » Sur ce, il a baissé son short et m’a ordonné : « Suce-moi, j’ai les couilles qui vont exploser. ». J’ai hésité, mais je me suis agenouillé et j’ai embouché sa verge goulûment. Il jubilait.
Le trouple
Ensuite, il m’a contourné et s’est calé dans mon dos. Il m’a attrapé par les hanches et s’est salivé le gland. Il m’a sodomisé contre l’établi. J’ai pris du plaisir tout de suite. Je l’ai encouragé à me limer à grands coups de reins. Il était très excité. Il m’a dit : « Ok, je vais m’asseoir sur ton quad, et tu vas venir t’enfiler sur moi. ». J’ai obéi. J’ai pris sa teub en main. Elle était bien grosse. Je me suis empalé dessus. Je me suis limé moi-même tout en lui tâtant les boules. Il m’a ravagé pendant un bon moment. Il m’a informé : « Je vais juter ». J’ai accéléré et j’ai joui follement par le cul. Il s’est épanché en moi en râlant et en me mordant le cou.
Je me suis enlevé et j’ai recraché son jus par le cul. Il a sorti un sac et m’a dit : « Tiens, enfile cette robe et les talons aiguilles. Marche, je veux te mater habillé en belle femelle. ». Comblé et curieux, j’ai de nouveau obéi. J’ai adoré me sentir femme en me déhanchant de la sorte devant lui.
Les week-ends suivants, rebelote, il m’a comblé. Il venait tout le temps. Il me travestissait. Il me mettait des perruques et des robes très échancrées. Un vendredi il est venu, il m’a baisé et m’a demandé de l’inviter pour le samedi soir. Avec ma femme, on avait tout préparé, et le soir, alors qu’il m’avait rempli les fesses tout l’après-midi, il était encore chaud comme la braise. Il dansait avec ma femme après le repas. Tout à coup, il l’a embrassée et lui a collé la main au bas-ventre pour relever sa robe. Elle s’est laissé faire en me regardant. Lui aussi guettait ma réaction.
Il a ri et a sorti sa verge énorme que je connaissais bien maintenant. Il l’a collée sur la chatte de ma femme après lui avoir baissé son string. Il l’a pénétrée comme ça, sans se gêner. Il l’a plaquée contre la table et il a commencé à la limer. Elle a gémi et s’est écriée : « Oh chéri, excuse-moi, mais c’est trop bon d’avoir une grosse verge dans la chatte ! ». Cela m’excitait de voir Nicole se faire littéralement défoncer par Denis.
Je suis allé derrière elle et j’ai léché son anus pendant qu’il la remplissait. Elle a gémi, et il s’est vidé les couilles. J’ai été éclaboussé par son jus qui ressortait à chaque va-et-vient. J’ai avalé tout ça sans me priver. Nicole a juste remarqué : « Tu es devenu complètement pédé toi, tu as avalé sa semence ! ». Alors j’ai craqué et je lui ai tout avoué : « Oui Nicole, je ne peux plus te donner de plaisir alors je t’offre à Denis. Mais tu dois savoir que, depuis un mois, quand on va à l’atelier, il couche avec moi. Il m’a sodomisé une fois et j’ai adoré. Je suis devenu accro à sa bite et à son sperme ! » Elle était étonnée : « Alors là, tu m’en bouches un coin ! » Du tac au tac j’ai répliqué : « Non ! C’est lui qui nous les bouche ! »
Denis continuait à se branler pendant ce temps-là. « Allez, montre à Nicole comment je te la mets ! » J’ai obéi, je me suis dénudé et mis à quatre pattes. Denis est venu me prendre. J’étais très excité. Il m’a fait jouir et s’est vidé en moi. Puis je l’ai nettoyé. Nicole a sifflé : « Quelle salope tu fais ! ». Elle s’est masturbée devant nous avec la jute de Denis dans la main.
Il nous a avoué qu’il prenait des petites pilules bleues, et sans autre forme de procès il a demandé à ma femme de venir le pomper. On a fini au lit tous les trois, et au réveil j’avais une érection solide. J’ai glissé ma verge dans le vagin de Nicole qui n’attendait que cela, car Denis lui caressait déjà les seins. Il m’a dit qu’il voulait aussi sa chatte. Alors on a un peu forcé dans Nicole et on s’est fait une double vaginale. Elle a décollé comme jamais. On l’a remplie tous les deux. Ensuite, je suis descendu à la cave pour la lécher. Elle a adoré.
Depuis Denis est venu habiter chez nous. Comme il est au chômage, il s’occupe de Nicole pendant la journée, et moi, j’ai le droit à son vagin le soir. J’ai même osé lui mettre dans l’anus et j’ai demandé à Denis de venir m’enculer pendant ce temps-là. J’ai pris mon pied comme jamais en recevant son jus, tout en donnant le mien à Nicole !
Voilà, je suis cocu, je me fais prendre dans le cul et j’aime ça ! Ma chérie m’a même déjà sucé pendant que Denis m’enculait, j’ai trouvé cela si bon que je préfère être sailli que de le faire à ma femme.
Enfin, j’ai un peu honte des fois…
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Carrière
Magnifique histoire, qui n’a pas manqué de m’exciter ! On en redemande…
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marielesneven
magnifique histoire je suis exciter. une autre histoire