L’esprit de vengeance

La rédaction 24 août 2021

Je vous écris pour confesser un péché. Les pages d’Union, c’est un peu le confessionnal pour expier toutes les parties de jambes en l’air illégitimes, les petits écarts, les trahisons, les bas instincts… Vous ne trouvez pas ? Je suis une blondinette en première année de fac littéraire et je voulais vous raconter une histoire digne du livre Les liaisons dangereuses, qui raconte toutes sortes d’intrigues sexuelles mêlant grands sentiments, sexe et cruauté. Je m’appelle Annabelle, j’ai 22 ans et voici ma liaison porno.

La vengeance exquise

Voilà le topo. Avec ma meilleure amie Joséphine, nous sommes les premières de notre classe de lettres et nous avons régulièrement les honneurs des professeurs. Mais nous avons l’esprit libre et nous nous autorisons à ne pas toujours coller à l’image de l’étudiante modèle. Par exemple, nous séchons de temps en temps certains travaux dirigés pour aller boire de la bière sur les quais de Seine. Comme nous sommes d’insolentes créatures, et belles par-dessus ça, nous attisons beaucoup de jalousies.

Nous savons que nous agaçons les garçons qui rêveraient de nous dépasser dans certaines matières, tout en les excitant à la fois par notre assurance. Et que nous exaspérons souverainement les filles qui nous envient en plus de nos notes, notre liberté et notre beauté. Du coup, on nous a déjà fait des coups bas. Par exemple, un autre duo d’amies nous a déjà entourloupées en nous disant après un cours séché qu’il n’y aurait pas de devoirs pour la semaine suivante, alors qu’il y en avait. Nous nous étions fait avoir comme des bleues ! C’étaient les mêmes filles qui avaient répandu des rumeurs sur nos soi-disant moeurs sexuelles légères.

Notre vengeance serait magnifique. Joséphine et moi, nous ne nous laisserions pas faire. Nous avons commencé à étudier leurs petits amis à elles deux. Pas difficile : Max et Alex étaient eux-mêmes très amis à la fac et ils étaient en philo. Quand nos duos se croisaient dans les couloirs, ils ne manquaient pas de nous admirer. Alors nous avons décidé de passer à l’attaque. Leurs nanas nous avaient fait des réputations de garces ? Eh bien nous leur donnerions une raison d’être médisantes… à leurs dépens.

Ce fut très simple. Dans un couloir de la fac justement, nous nous sommes rapprochées des garçons pour les convier à une partie de tarot chez Joséphine le soir. Pour éviter les soupçons, nous leur avons dit que nous serions certainement plusieurs convives et que nous pourrions disserter de philo et de lettres. Je vous jure, on se serait crus dans un roman du 19e siècle ! Comme nous étions bien trop irrésistibles, ils ont dit oui et ont pris note de l’adresse de Joséphine.

Nos proies étaient délicieuses

Ils ont frappé le soir-même à la porte de sa petite chambre de bonne de dix mètres carrés sous les toits. Ils étaient venus avec le vin et ça n’a pas eu l’air de les surprendre que nous nous retrouvions uniquement à quatre dans cette étroite pièce. Des poufs étaient disposés sur un grand tapis qui nous permettait de nous prélasser par terre comme des divas. Nous avons joué au tarot en buvant du vin et nous avons découvert deux charmants esprits, assez polissons par-dessus le marché. Leurs regards étaient chargés de sous-entendus. » Les gagnants embrassent la personne de leur choix ! » Comme nous étions un duo de joueuses redoutables au tarot, nous n’avons pas eu de mal à les coucher. Ils n’ont pas eu l’air si surpris, quand nos deux corps graciles se sont penchés au-dessus d’eux, chacun un pour ne pas faire de jaloux, cela semblait être la conclusion logique de toute notre séduction.

Je me suis retrouvée à califourchon sur Max, à l’embrasser tout en faisant aller et venir mon sexe contre le sien à travers nos jeans. Il bandait, je mouillais. Sa langue avait le goût du désir, pimenté par la vengeance contre nos deux ennemies. Ils n’étaient pas bien fidèles, les deux hommes de ces dames ! Sur Alex, Joséphine imitait mes gestes et son petit fessier se trémoussait sur la trique de sa proie. Elle est venue à quatre pattes me rejoindre sur le tapis aux côtés de Max. Nos filets se sont refermés sur notre poisson.

Nous l’avons aidé à s’extirper de ses vêtements pour se mettre à le sucer à deux. Je n’avais jamais fait ça avec elle, mais notre complicité était telle que ce n’était pas bien difficile et même plutôt émoustillant. Nos langues et nos bouches se sont rencontrées sur la verge de Max qui nous regardait comme des mirages. La bouche de Jo sur son gland, la mienne sur la tige ou sur les couilles et inversement, puis l’une qui le prenait entièrement en bouche pendant que l’autre lui caressait les bourses… effet garanti !

Nos années de célibat résolument libertines nous avaient bien servi à quelque chose, et être capables de pervertir deux beaux étudiants en philo en faisait partie. Max a commencé à prendre des photos. Soit, mais nous avons négocié qu’il nous les envoie aussi pour partager les pièces à conviction. Je regardais la bouche de Jo s’escrimer sur sa bite, très concentrée, et je la trouvais belle, plus belle que ces deux benêts. Je l’accompagnais d’habiles coups de langue tout autour du sexe de notre cher ami.

Alex, un peu délaissé, s’était mis à se caresser. Pour ne pas le laisser trop penaud, je lui ai dit de venir derrière moi pendant que je suçais son camarade. Max était couché, moi en train de le pomper et derrière moi, Alex s’est glissé. Nous étions tous nus, une joyeuse brochette de jeunes gens en pleine santé qui goûtaient leur plaisir. Il m’a caressé le derrière et la vulve de ses doigts pas si maladroits, les faisant jouer à l’entrée de ma chatte pour en préparer l’ouverture.

Puis il m’a pris en levrette alors que son ami tachait de ne pas craquer sous mes assauts répétés sur son pieu dressé. Joséphine a pris une photo. Elles allaient voir ce qu’elles allaient voir, nos ennemies de la fac ! Le sexe d’Alex en moi était dur et plaisant, il s’accordait parfaitement à moi, si bien que j’ai lâché la queue de Max pour m’adonner au plaisir de la pénétration. Max, délaissé, a alors proposé à Jo de la prendre en missionnaire sur le lit, ce qu’elle a accepté et sa bite réveillée par nos soins a disparu dans sa jolie fente d’un coup. Alex me prenait par à-coups contre le lit et sa bite me comblait, moi qui étais à demi-affalée en avant, toute à la luxure du moment, et les fesses de Max s’agitaient contre Joséphine pour l’honorer elle aussi.

Chacune le sien, des bêtes secouées par des gestes saccadées, des culs et des vagins engloutissants de jeunes queues… La scène était belle. Quand ils se sont rhabillés, ils ne savaient pas encore que nous nous empresserions d’en envoyer les clichés à leurs copines… après avoir pris soin de masquer nos visages.

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