
Des pommes, des poires et une grosse banane !
1 mai 2025En ce début d’été, Annie a envie de fraîcheur fruitée, elle file donc chez son primeur préféré pour faire le plein de vitamines dans l’idée de se faire de bons smoothies revigorants. Catastrophe, en sortant les courses de sa voiture, les fragiles sacs en papier craquent sous le poids des fruits et toutes ses belles oranges roulent sur le trottoir. Par bonheur, Greg, son tout nouveau voisin va venir à sa rescousse et … lui offrir une banane bien mûre en prime !
Quoi de mieux qu’un succulent jus de fruits le matin pour bien commencer sa journée, Annie s’en est allée en ville afin de faire le plein d’oranges, de pommes, de citrons et c’est le sourire aux lèvres qu’elle rentre chez elle, heureuse à l’idée de prendre un délicieux petit déjeuner équilibré dans son jardin. Mais catastrophe ! La solidité des sacs en kraft de son primeur est à revoir et toutes ses victuailles tombent au sol et s’éparpillent en roulant un peu de partout.

La température commençait déjà à grimper en ce milieu de matinée, et c’était sans compter le coup de chaud qui embrasa le visage de Greg quand il vit ce qu’il vit ! Impossible de détourner le regard, entre un citron et deux oranges, ne venait-il pas de discerner un abricot !? La belle voisine blonde, jambes largement écartées, avait tout simplement oublié de mettre une culotte ! À moins que … Le plan d’Annie fonctionnait à merveille, elle avait méticuleusement choisi sa tenue pour son scénario, répété devant son miroir afin de vérifier que sa chatte était bien visible lorsqu’elle s’accroupissait et avait opté pour un top non moins sexy qui faisait pigeonner ses seins outrageusement.
Elle n’avait rien laissé au hasard en s’épilant le maillot (l’avant-veille, pour éviter rougeurs et boutons disgracieux) et en taillant très ras son petit buisson pubien, parfumée, mais pas trop, coiffée, mais pas trop, le stratagème ne pouvait que marcher.
Lorsqu’elle demanda à son chevalier servant s’il pouvait l’aider à transporter les sacs à moitié éventrés à la cuisine, Greg lui emboîta le pas, le piège sensuel se referma sur lui. Après l’effort, le réconfort, Annie usa de son extracteur pour réaliser deux grands verres de jus, se pencha outrageusement sur son congélateur pour y piocher quelques glaçons et alla trinquer avec son voisin, décidément très sexy dans son jean sans rien sur le haut du corps. Elle se rapprocha, un peu trop, tellement même qu’elle sentit la bosse d’une érection particulièrement prometteuse venir se frotter à son bas-ventre. C’en était trop, il leur fallait prendre l’air. Elle saisit la main de Greg pour l’entraîner dans le jardin, ils seraient mieux pour siroter leur boisson au bord de la piscine.
Annie prit place dans un transat et recommença son petit manège exhibitionniste, écartant les cuisses, relevant une jambe afin de faire de nouveau apparaître sa jolie moule, désormais humide d’une mouille fruitée aux fragrances sucrées. Greg était collé à la toile d’araignée de son désir, assis juste aux côtés de cette voisine incendiaire qui semblait ne rien vouloir lui cacher de ses charmes. Il se rapprocha de la belle blonde, ses mains touchèrent ses genoux et, en galant homme, il proposa à Annie si elle souhaitait qu’il lui masse les pieds ?

La protubérance réagit en se cabrant, la bête qui vivait là était de l’espèce des géants, une de ces créatures mythologiques tout droit sorties d’un conte antique, une hydre immortelle et fabuleusement puissante. N’y tenant plus, elle fit descendre la tirette de la fermeture éclair. Le pantalon du chauve sexy était désormais baissé à mi-cuisses et le colosse de Rhode se dressait en plein soleil.
La verge, qui affichait fièrement son érection, était parfaite, la queue idéale, veinée, mais pas trop, un gland circoncis, légèrement courbée vers le ventre et surtout, dure comme l’airain.
Ce taureau fougueux était membré tel le Minotaure. Sa bite dépassait toutes les espérances d’Annie qui posa directement quelques baisers timides dessus avant que d’engouffrer le brugnon volumineux dans sa bouche onctueuse. Elle enroula sa langue taquine autour de ce glaive de chair et de sang. Elle le sentait pulser contre son palais et il se mit à ruer carrément lorsqu’elle l’enfila tout au fond de sa gorge.
D’une main gracile, elle fit émerger ses énormes seins ronds de son haut. L’élastique se tendit puis, d’un coup, glissa sous la poitrine, dévoilant un canyon profond et de larges mamelons roses avec, en leur centre, des tétons déjà bandés par l’excitation. La queue de Greg prit naturellement place dans ce défilé serré. Les sphères surdimensionnées se refermèrent sur son vit. La taille de son sexe était telle qu’il dépassait toujours malgré l’imposante marée de chair qui le submergeait.
La bouche d’Annie regagna le beau fruit brillant afin de le gober une fois de plus. Jamais elle n’aurait pensé qu’elle pouvait faire bander encore plus fort son voisin. Erreur ! L’érection entre ses seins se durcit sous l’effet combiné de sa branlette espagnole et de sa pipe.

Par moment elle reculait la tête pour reprendre son souffle avant, d’à nouveau, avaler ce sabre qui tenait décidément toutes ses promesses. Greg ne resta pas inactif pour autant, une main dans les cheveux de son amante, une autre se promenant sur la peau soyeuse de sa poitrine, il jouait en lui pinçant les tétons ou encore en faisant rouler ses mamelons entre son pouce et son index. L’excitation du couple était à son comble, la fente d’Annie s’était muée en un marécage délicieusement lubrifié par sa cyprine.
Elle se savait être dans la période de son cycle la plus propice au désir et à une libido sans bornes. Elle fit s’installer Greg sur le transat, continuant, en maîtresse femme, de mener la danse. Son voisin, ravi de cette initiative de n’avoir rien d’autre à faire que de l’accueillir à califourchon sur lui, l’aida juste à trouver son équilibre une fois grimpée sur ses cuisses puissantes. Le reste ne fut qu’une formalité.
Le gland repéra son chemin sans assistance manuelle, le sillon des lèvres intimes d’Annie s’ouvrit, les liqueurs féminines se mêlèrent et, reculant franchement son joli cul, Annie vint s’empaler sur la queue dressée. Ses seins étaient pile au bon niveau pour que Greg s’en donne à cœur joie et lui aspire les mamelons. De ses dents il agaçait les tétons de plus en plus épanouis tandis qu’Annie ondulait au-dessus de lui, laissant sortir son membre du fourreau pour mieux l’inviter à l’investir de nouveau le plus profondément possible.
Position parfaite pour une femme, Annie ne tarda pas à trouver la cadence idéale, appuyant son pubis contre celui de Greg qui, malin, tira doucement sur le capuchon du clitoris afin que ce dernier soit en contact direct avec sa peau. Le résultat de cette délicate manœuvre ne se fit pas attendre et bientôt, la silhouette d’Annie se crispa, ses cuisses se mirent à trembler avant qu’elle ne s’effondre sur le torse musclé de son amant, les ondes orgasmiques parcourant longtemps et librement son corps dans toutes les directions, jusqu’à la moindre de ses terminaisons nerveuses.
Revenue de ses émotions, elle prit place à son tour sur la chaise-longue, ses courbes enfin totalement nues, elle accueillit Greg entre ses jambes. Ce dernier, à genoux, laissa son regard détailler la beauté qui s’offrait ainsi à lui. Les traits du visage étaient fins, même allongée sur le dos, les merveilleux dômes de ses seins défiaient la gravité et semblaient posés là pour l’éternité, tels les coupoles d’un édifice sacré, son ventre plat orné d’un tatouage dévoilait alors la colline de son mont de Vénus où l’une de ses mains exquises s’était perdue. Annie se caressait nonchalamment, consciente que cet auto-érotisme excitait au plus haut point Greg.
Rien de mieux, pour le plaisir d’un mâle habile, que de se décalotter le clitoris et de jouer avec, ou bien encore d’enfoncer un ou plusieurs doigts dans son vagin et de les ressortir luisants de mouille, trace évidente d’un désir farouche. Le pénis de Greg retrouva le chemin de son fourreau, le gland se perdit un moment en circonvolutions érotiques à l’extérieur de la chatte brûlante. Annie miaulait, faisant saillir sa perle rose, laissant son voisin s’amuser avec ses atours, ravie qu’il prenne son temps avant de la pénétrer de nouveau.
La queue était toujours aussi dure, elle s’immisça en elle centimètre par centimètre jusqu’à venir en butée, enfoncée jusqu’à la garde, les bourses écrasées contre le trou de son cul sensible et épanoui. Les formes athlétiques du mâle, si bien pourvu par la nature, luisaient au soleil et les muscles saillants de cette bête de sexe purent s’en donner à cœur joie. Les coups de reins se firent plus rapides, plus profonds, il ne fallut que quelques mouvements sur sa goutte fragile pour que la sulfureuse blonde atteigne de nouveau un orgasme d’une intensité incroyable.

Annie s’écartait les fesses pour mieux permettre à son amant de se régaler de la vue qu’elle lui offrait, libérant sa vallée profonde et révélant un petit trou souple qui invitait à ce qu’on le visite. Greg y glissa un pouce inquisiteur. Les seins qui rebondissaient, les clapotis qui émanaient de sa chatte trempée, ce doigt qui lui fouinait l’anus de plus en plus radicalement…, Annie se mit à crier, à geindre, réclamant encore plus de coups de burin dans sa fente, plus forts, plus puissants et ressenti très rapidement une montée vers le plaisir décuplée, tous ses sens en alerte et tous ses orifices investis.
Le couple se ménagea une petite pause, se rafraîchissant d’un verre de limonade. La boisson où flottaient des glaçons donna une idée à Annie. Elle fit s’allonger à son tour son viril voisin sur le transat et se pencha sur sa large queue. Elle se dandina afin que ce dernier puisse jouer avec son vagin et sa rondelle. Il lui fallait toujours autant de souplesse dans la mâchoire pour accepter le volumineux engin et prodiguer le meilleur d’elle-même pour cette turlutte finale !
Apprivoisée, la colonne se laissait désormais avaler jusqu’à ce que le gland se loge au fond de sa gorge. Elle prit alors deux glaçons et les suça jusqu’à en avoir mal aux dents et que sa langue s’engourdisse puis elle accueillit de nouveau le formidable phallus entre ses lèvres gelées. La réaction fut immédiate, la bite se cabra, on eut dit un mustang, sauvage et farouche. Le sang qui imprégnait la tige ne savait plus s’il devait affluer ou refluer, mais Annie tenu bon et recommença son petit manège à plusieurs reprises.
Chaud, froid, chaud, froid, la langue allait et venait sous la hampe de chair, se perdait sur les testicules, revenait à la charge sur le frein avant que de gober celui-ci. Experte en fellation, elle n’était pas mécontente de faire découvrir ces variations thermiques à Greg. Mais ce titan de muscles et de testostérones montrait une résistance étonnante, jamais elle n’avait dû batailler autant pour arriver à ses fins et elle voulait son foutre plus que tout ! Elle cambra les fesses afin que Greg se sache autorisé à fouiller de nouveau tous ses degrés d’intimité et accueillit deux doigts dans la chatte et deux autres dans le cul !

C’est alors qu’elle sentit naître, une fois de plus, au fond de ses entrailles, une boule de plaisir enfler.
Elle profita de ce nouvel orgasme en recevant la première giclée de sperme dans la bouche. Elle avala la semence chaude et épaisse et se releva prestement afin que Greg finisse de se vider les couilles sur ses seins opulents.
Un ultime baiser sur le gland, il était grand temps de plonger dans la piscine avant d’aller préparer un bon repas pour deux, sachant l’importance de reprendre des forces avant une autre parenthèse sexuelle qu’elle espérait aussi intense !
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CyberA
Magnifiques photos, surtout 7, 15 et 18 !
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CyberA
Sans oublier la 1 !
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