Cours de langues

La rédaction 30 avril 2015

Le petit prof à lunettes est spécialiste en langues. Lorsque Lola, sublime poupée russe, se présente devant lui afin de réviser les termes nécessaires à la présentation de sa thèse devant un parterre d’auditeurs hexagonaux, il va lui montrer combien sa maîtrise de la langue est tout simplement parfaite !

J’étais tout seul dans la salle de classe, attendant patiemment que les étudiants arrivent. C’est alors qu’elle est apparue, comme un mirage. Une petite poupée blonde comme les blés et belle, mais alors, belle à croquer.

Nous nous sommes fixés du regard. Je pensais que d’autres étudiants allaient faire leur apparition, mais non, elle était seule. La jeune fille était russe et se prénommait Lola. La craquante demoiselle était de passage dans notre beau pays pour y présenter rien de moins qu’une thèse ayant pour thématique la thermodynamique des supraconducteurs en milieu gazeux.

Son accent à couper au couteau s’avérait un handicap certain. Je me suis donc tout naturellement proposé de l’aider. Le thème du sujet de thèse de Lola étant quasiment imprononçable, même pour un natif de l’Hexagone, j’ai décidé de lui faire travailler les intonations de notre belle langue de Molière en débutant par des phrases assez simples. “Voulez-vous prendre un café avec moi ?”, “Savez-vous où se trouve la poste ?” Nous avons enchaîné les questions faciles.

DSC_4073

Puis, sans prévenir, la poupée blonde, confortablement installée derrière sa table d’écolière m’a lâché un : “Tu suces salope ?” pour le moins étonnant. Je lui ai expliqué que cette question était on ne peut plus vulgaire et qu’il fallait faire attention à ne pas dire n’importe quoi, de peur de choquer son interlocuteur. Je commençais à avoir un peu chaud dans cet endroit clos avec la petite bombe qui me parlait de sucette. “Allons boire un verre”, “Tu me fais craquer”, “J’adore ta peau…” Les phrases que nous employions étaient de plus en plus tournées vers le sexe, et j’avais désormais toutes les peines du monde à garder mon calme. La jolie midinette mettait mes sens à rude épreuve.

Je me suis approché et, incapable de résister davantage, j’ai déposé un petit baiser dans le cou de Lola. Hum, quel délice ! Sa peau était sucrée, un véritable bonbon. Elle a émis un léger gémissement de plaisir, que j’ai pris comme une invitation au voyage. 

DSC_4094

Je me suis donc aventuré un peu plus loin. J’ai écarté son short en jean pour laisser apparaître son divin petit abricot. Tout en plongeant mon visage entre ses cuisses, je lui ai expliqué tous les surnoms que l’on pouvait donner à sa jolie chatte en français Le cours de langue avait au moins le mérite de se dérouler dans le sens le plus littéral du terme. Le minou de Lola était déjà gorgé de jus et je prenais un malin plaisir à déguster ce nectar qui coulait entre ses cuisses. J’avais ôté le petit short et j’écartais maintenant son string en dentelle pour me faciliter l’accès à son fruit défendu. Je poussais ma langue tout au fond de ses chairs, et Lola me gratifiait de jolis petits couinements de souris. “Tu aimes ça, hein ma coquine ? Ça te plaît de sentir ma langue bien calée au fond de ta chatte ? – Oh oui, c’est bon !”, m’a répondu la jolie étudiante avec son charmant accent de l’Est. Sa petite minette était un délice à déguster, un mets trois étoiles ! J’ai poursuivi ma découverte, lapant de temps à autre sa rosette déjà ouverte par l’envie. La classe n’était pas franchement l’endroit le plus discret pour s’envoyer en l’air, alors j’ai décidé de presser un peu la chose. Je me suis relevé et j’ai passé la main de Lola sur la grosse bosse qui pointait sous mon

pantalon. 

DSC_4127
La coquine a tout de suite compris le message. “Moi sucer toi ! – Non, je vais te sucer est plus correct”, lui ai-je expliqué Pour le reste, je dois avouer que Lola était une vraie reine de la pipe. Elle a fait disparaître ma queue raide entre ses lèvres si accueillantes. Hum, quel délice ! Avec ses lunettes de secrétaire, la beauté venue du froid avait un air de petite garce qui lui allait à merveille. “Encore, allez, mets tout dans ta bouche ! Tu aimes sucer une belle grosse queue hein ?” Lola poursuivait sa fellation avec une ardeur remarquable. Elle massait mes couilles et faisait tournoyer sa langue habile tout autour de mon gland. Cette fille vous aspirait comme une ventouse. Je caressais ses longs cheveux soyeux et maintenais sa tête pour enfoncer ma bite le plus profondément possible dans sa bouche.

Lorsqu’on a frappé à la porte, j’avoue que j’ai un peu débandé en imaginant les conséquences sur ma carrière si jamais j’étais pris la main dans le sac et la queue dans la bouche d’une splendide étudiante. Heureusement, l’intrus est vite parti et nous avons pu reprendre, Lola et moi, notre cours de “langues” pour le moins appliqué. J’ai ôté tous les vêtements de la demoiselle et je l’ai installée en appui sur le bureau pour enfin la découvrir de l’intérieur.

DSC_4142

J’ai frotté ma queue bien raide le long de sa chatte trempée et, d’un coup, je me suis enfoncé en elle jusqu’à la garde. L’étudiante n’a pu réprimer un gémissement de plaisir. Lola était une vraie petite bombe. Elle ondulait du bassin et donnait de grands coups en arrière pour profiter de toute la longueur de mon membre. Quelle vicieuse ! Je poursuivais mon cours accéléré en joignant la parole au geste. “Tu la sens bien là, espèce de cochonne ? Tu aimes avoir une grosse queue en toi !” Je m’agrippais à ses hanches pour lui asséner de grands coups de reins. Le son délicieux de mes couilles qui tapaient contre cette chatte trempée emplissait maintenant la salle de classe. J’espérais que notre intrus n’allait pas de nouveau pointer le bout de son nez ! Ce n’était franchement pas le moment !

Cette fille du froid avait vraiment le sang chaud. “Encore, encore, toi baiser moi, fort, fort, moi aimer beaucoup !” Eh bien, on pouvait dire que le plaisir était largement partagé ! Je poursuivais inlassablement mes va-et-vient dans l’intimité de la jolie poupée. Elle criait maintenant sa jouissance, et j’ai dû mettre une main sur ses lèvres afin de tempérer quelque peu ses ardeurs. Si jamais on nous surprenait, j’étais mort ! Mais Lola ne semblait pas réellement s’en soucier, elle ! “Encore, encore, oui, oui, c’est bon, toi baiser moi fort.” Elle avait glissé une main sur son bouton d’amour et elle se caressait frénétiquement pendant que je lui assénais de grands coups de reins.

DSC_4171

La thésarde était une véritable chatte en chaleur. “Tu sens ma queue ? Tu en veux encore ?” C’était bel et bien la première fois que je donnais un cours de langue tout en m’envoyant en l’air, mais la chose était fort plaisante. À en juger par ses couinements de plus en plus marqués, la blondinette approchait à grands pas de l’orgasme. Ses doigts tournoyaient désormais sur son clitoris gonflé par le désir et elle poussait toujours plus son bassin en avant, m’invitant à accélérer le rythme de mes assauts entre ses cuisses ouvertes. “Ta bite est bonne, oui, continue à me baiser, encore, moi crier, bon, très bon !” Je commençais moi aussi à mettre ma résistance à rude épreuve. La minette trempée de Lola, son corps sublime, le lieu si peu propice aux ébats, tout cela ajoutait une excitation difficilement gérable. Ma jolie Russe était déchaînée et je me doutais que le nirvana était sur le point d’être atteint. Quelques va-et-vient supplémentaires l’ont fait rugir de plaisir.

DSC_4227
J’ai senti tout son corps se tendre, et son visage a été parcouru d’un rictus qui me laissait penser que sa jouissance avait été délicieuse…La petite fleur blonde tremblait de partout. Elle paraissait comblée. La coquine continuait à faire disparaître ma queue en elle, couinant comme un animal que l’on aurait pris au piège.

Là, je lui ai fait comprendre que j’arrivais au point de non-retour. Je me suis donc installé sur le bureau pour l’inviter à me finir au fond de sa bouche experte. Le moins que l’on puisse dire, c’est que Lola ne s’est pas fait prier pour me conduire au septième ciel. Elle a entouré mon gland de ses lèvres pour téter ma queue prête à exploser. “Allez vas-y, suce-moi petite garce, encore, encore, tu vas me faire jouir, encore un peu, ça y est, ça vient, oui, oh je jouis !” Incapable de me retenir plus longtemps, j’ai couvert les lunettes de la jolie Russe de jets épais et crémeux. Cela n’a pas eu l’air de la déranger, à en juger par son faciès illuminé de plaisir. Lola a essuyé le sperme qui coulait le long de son visage, et nous nous sommes prestement rhabillés, la tenue d’Adam et Ève étant plutôt inappropriée dans le lieu où nous avions commis notre délicieux “délit”. La poupée semblait très heureuse de son cours de langue. Et moi aussi !

J’ai appris par la suite que la présentation de sa thèse devant des Français avait été couronnée de succès. Comme quoi, un bon cours de “langues” !


Réagir à cet article

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

interstron.ru