Appelle ton ami !

La rédaction 25 juin 2021
quand les rôles s'inversent histoire érotique

Depuis que je suis célibataire, je peux dire que je n’ai jamais autant baisé. Je me suis inscrit sur un site de rencontres adultères, et je me suis découvert une nouvelle passion : les femmes mariées ! La soirée au cours de laquelle j’ai emballé Katia, une jolie brune élancée de 40 ans, s’est faite après quelques heures de chat sur le net. Je l’ai invitée dans un petit resto sympa et pas trop cher de mon quartier (les rencontres multiples, ça finit par représenter un sacré budget). Katia m’a longuement parlé du roman 50 nuances de Grey, qu’elle venait tout juste de terminer, et m’a confié qu‘elle avait à présent des fantasmes SM qu’elle était prête à assumer. Elle m’a avoué, par exemple, que l’idée de se faire attacher lui plaisait bien ! Lorsque le serveur est venu nous présenter la carte des desserts, j’ai proposé à Katia de le prendre chez moi. Je m’appelle Marc, j’ai 37 ans et voici mon histoire porno.

Le dessert à domicile

A la maison, j’ai invité Katia à s’asseoir sur le canapé, j’ai mis un peu de musique et je lui ai proposé une glace. Tout en la regardant déguster son dessert, je m’imaginais déjà en train de la menotter ou de la bâillonner avant de l’entreprendre sauvagement en levrette. À peine avait-elle posé sa cuillère que je l’ai embrassée un peu brutalement, tout en la poussant sur le canapé. Elle n’a pas résisté, et je l’ai sentie fondre sous mes baisers. Moi qui suis plutôt calme d’habitude, notre conversation autour de ses envies de se laisser gentiment dominer avait réveillé la bête, et je sentais poindre en moi une faim pressante de la faire jouir. En plus, j’étais super chaud.

Je l’ai prise par la main et l’ai emmenée dans la chambre. Je l’ai conduite sur le lit, j’ai retiré une chaussette et je lui ai attaché les poignets, derrière le dos. Elle faisait mine de se débattre. Évidemment, je n’ai pas serré trop fort, de façon à ce qu’elle puisse se libérer au cas où. Elle a demandé « Mais, qu’est-ce que tu fabriques ? » Je lui ai dit de se laisser aller et d’avoir confiance… J’ai fait voler mes fringues dans la chambre, et je l’ai déshabillée. Puis, je lui ai léché la chatte, et j’ai constaté que mes petites brutalités contrôlées ne l’avaient pas refroidie, bien au contraire. Je lui ai demandé de bien écarter les cuisses pour que je puisse la laper depuis la naissance de sa raie des fesses jusqu’à son clito que j’évitais de stimuler trop directement, histoire de bien la faire languir. Quand je lui ai enfoncé un doigt dans le cul, j’ai eu une pensée émue pour mes pauvres voisins, car elle a poussé un long râle de plaisir, puis a enchaîné sur une véritable symphonie de cris de jouissance alors que je présentais ma queue enveloppée de latex à l’entrée de sa chatte. Je me suis senti comme aspiré en elle. J’avais l’impression qu’elle enchaînait les orgasmes. Elle m’a lancé, d’une voix que le désir rendait grave : « Pilonne-moi la chatte, mais vas-y putain ! » Moi qui me trouvais un peu brusque, j’avais soudain l’impression d’être trop gentil !

J’ai fait une série de va-et-vient dans sa petite chatte, puis j’ai entrepris sa rondelle qu’il a suffi de lubrifier avec un peu de salive pour la pénétrer jusqu’à la garde. Empalée, les mains toujours attachées dans le dos, elle soulevait son bassin pour me signifier que les vingt centimètres de ma queue ne lui suffisaient pas. Je lui ai bien défoncé le cul et, quand j’ai senti la jouissance proche, pour rester dans notre trip de domination soft, je me suis levé, et accroupi au-dessus de ses seins, je me suis secoué la queue jusqu’à ce que j’arrose de sperme son joli visage. Elle ouvrait grand la bouche pour essayer d’en récupérer. Puis, tranquillement, je l’ai détachée, en m’excusant pour mes accès de brutalité. Elle a chuchoté à mon oreille : « Tu sais, j’ai aimé ça… »

Une deuxième fournée s’il vous plaît

Nous sommes retournés dans le salon pour prendre un verre. Nous avons écouté un peu de musique et discuté, et au bout d’une heure à peu près, Katia m’a glissé : « Tiens, j’ai envie de quelque chose ! Viens, on retourne dans la chambre. » Elle m’a demandé de m’allonger sur le dos. Elle a placé un oreiller sous mes fesses, et s’est installée au-dessus de moi, en 69. Elle m’a ordonné : « Lèche-moi le cul ! » Sans même réfléchir, j’ai écarté ses globes de mes deux mains et j’ai plongé ma langue dans le trou encore dilaté sous l’effet de la sodo de tout à l’heure. « Vas-y je veux sentir ta langue… À moi de te donner des ordres ! » Là-dessus, elle aussi s’est mise à me laper l’anus, à cracher dessus, à le masser avec ses doigts, puis elle a commencé à s’aventurer à l’intérieur. Après de longues minutes de ce traitement, elle s’est levée pour aller chercher quelque chose dans son sac à main. Je n’ai pas vu ce qu’elle avait pris. Je me laissais faire, prêt à tout subir, le cul en l’air et la rondelle fébrile.

Elle s’est remise en position, cette fois elle m’a donné sa chatte trempée à déguster, et elle m’a planté un majeur dans le cul. « Laisse-toi faire mon cochon, tu vas aimer. » J’ai senti un gros objet très dur posé sur mon anus. C’était donc un gode qu’elle était allée chercher dans ses affaires ! Les filles libérées d’aujourd’hui cachent des sextoys au fond de leur sac à main ! Sauf que là, c’était moi qui allais en profiter ! Elle a planté son index dans mon cul et a fait des va-et-vient… de plus en plus rapidement. Oooh… C’était une sensation que je n’avais jamais vécue. Lentement mais sûrement, elle a enfoncé le toy dans mon conduit, jusqu’au bout… J’ai l’habitude de me goder en solo quand je me branle tout seul, mais là, une telle défonce de la pastille, c’était une vraie découverte. « Alors c’est bon, un gode dans le cul ? » J’ai bien dû lui avouer que oui. Elle m’a sucé en faisant aller et venir la bite de plastique dans mon rectum, c’était tellement bon que j’ai joui au fond de sa gorge. Après, elle m’a dit qu’elle avait un pote très bien monté et très libertin, « qui aime bien enculer les mecs », et qui se ferait un plaisir de se joindre à nous. J’ai pris peur, et je lui ai dit qu’il n’en était pas question ! Mais sa proposition m’a quand même troublé…

Après cette soirée inoubliable, nous nous sommes quittés au petit matin, en nous embrassant passionnément. Le lendemain soir, je lui envoyais un message sur notre site préféré, lui demandant si son pote serait dispo un de ces jours… La suite au prochain épisode !

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