Seule sur la plage, la chatte en eau …
10 septembre 2025Candice, 38 ans, Sens
Saisonnière, c’est un sacerdoce, une longue traversée du désert. Il faut trouver des jobs l’hiver à la montagne, l’été au soleil, des hébergements, bref, il y a du fun, bien sûr, mais aussi beaucoup de stress et de solitude. Enfin … pas toujours ! Voici mon histoire de sexe amateur.
Un amant dominant
L’été dernier, j’ai voulu bosser sur la Côte d’Azur et je me suis retrouvée sur la côte bretonne, j’avoue que j’étais au trente-sixième dessous, mais cela était sans prévoir le caractère océanique de nos compatriotes celtes ! Dès mon second jour, sous un astre éclatant, j’ai été abordée par Emmanuel, un expert-comptable en vacances. Jamais je ne me serais doutée que cette corporation comportait de tels talents d’humour et, surtout, d’amants diaboliques ! La soixantaine, le regard pétillant, il était photographe, sculpteur, il réalisait des moulages de culs, de ventres et de seins féminins, bref, un ovni. Le soir même où je l’ai rencontré, nous avons fini la nuit ensemble. Il mettait du temps à bander, mais une fois la machine lancée, plus rien ne l’arrêtait. Sa bite n’était ni trop grosse, ni trop petite, elle tenait largement la distance, mais surtout, Emmanuel avait, de toute évidence, une longue expérience des relations entre hommes et femmes et il était plutôt du genre … dominant, si vous voyez ce que je veux dire.
Dès que j’ai été nue devant lui (j’ai dû me déshabiller sous ses instructions), il m’a imposé d’adopter certaines poses, j’en étais gênée tant ce qu’il me demandait était osé et outrancier, mais je me sentais totalement en confiance en sa présence, j’ai donc docilement commencé à m’offrir, timidement puis sans plus aucune retenue. Écartant mes fesses, libérant ma chatte, exhibant ma poitrine qui, pourtant, me confère tant de complexes. J’étais belle dans ses yeux et, sous son objectif, il transcendait ma féminité et j’avais envie de lui donner le meilleur de moi. Le sucer est la première action qu’il m’a ordonné d’accomplir. Soumise volontaire, je me suis traînée à quatre pattes jusqu’à son vit encore mollasson, après quelques claques bien sonnées, j’ai eu enfin l’autorisation de l’accueillir en bouche. Son sexe était un peu comme une outre flasque et épaisse contre mon palais, j’ai mâchonné un moment ce gros chewing-gum élastique qui, peu à peu, s’est mis à durcir et à prendre la forme d’une queue solide, roide et trapue, de la base de la hampe au bout du gland.
Un homme bien équipé
Rien ne semblait le choquer dans mon corps, ni mon léger bidon, ni mes seins que, personnellement, je trouve timidement « dégoulinants », au contraire, il me mirait telle une nymphe, une égérie, il est devenu, effet miroir, mon pygmalion, le temps de ces quelques semaines caniculaires. Je pèse mes mots, il a fait de moi une petite chienne en chaleur, une catin volontaire, subjuguée, je me suis laissée attacher, fouetter, il m’a installé des pinces sur les tétons, a entièrement éradiqué, jusqu’au moindre poil, l’intégralité de la pilosité de ma chatte avec de la cire, avant d’y poser une pompe à vide pour gonfler ma vulve et mes lèvres intimes ! Il m’a fait ramper, pisser devant lui, il m’a fait rougir toutes les parties de mon être avant que de me baiser, mais comme on ne m’a jamais baisée ! Il ne se servait d’ailleurs que rarement de son pénis, à part pour m’enculer, dans les dernières minutes de nos rapports biquotidiens. Il avait à sa disposition une multitude de jouets, des cravaches, des bougies, même des électrodes qui déversaient leur fluide électrique et excitant dans mes tétons ou sur mon mont de Vénus. Il a transformé mon corps en un champ de bataille où seul le plaisir imposait sa loi !
Le coït en lui-même était une option, une possibilité entre mille, jamais une finalité. J’ai joui entre ses mains, sous son joug, parfois sans même qu’il ne me touche, comme jamais je n’avais joui avant et comme plus jamais je n’ai joui depuis. Il était en vacances, moi pas, pourtant j’ai vécu ma meilleure vie durant quatre semaines d’affilé. Je recevais un SMS, Emmanuel me donnait rendez-vous, il me déshabillait et me promenait entièrement nue, tenue en laisse, puis je devais lui offrir une fellation pour, ensuite, lui montrer ma croupe ou exhiber mes nichons qu’il prenait en photo. Nous allions dîner mes soirs de repos et il m’obligeait à ôter ma culotte, me faisant me doigter avant de lui donner mon majeur souillé de ma cyprine à sucer. Nous filions alors dans les toilettes et là, il me baisait, impatient qu’il était de voir entrer un quidam et nous surprendre, sa queue enfoncée dans un de mes orifices à sa disposition.
Hélas je ne l’ai jamais revu, alors si par hasard il lit cette lettre et se reconnaît…
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