Surveillance rapprochée !
24 mars 2021Jonathan, 45 ans, Reims
Je suis un fidèle lecteur d’Union, mais aussi un grand timide. Je n’ai pas autant de relations avec les femmes que je le souhaiterais, sans doute à cause de mes complexes. Je suis grand (1,85 m) et baraqué (92 kg), je porte des lunettes épaisses car j’ai une mauvaise vue, mais par contre, j’ai souvent des compliments sur mon sourire. En avril dernier, j’ai vécu une aventure qui m’a redonné confiance. J’ai décidé de la raconter à mon magazine préféré.
Les élèves coquines
Depuis plusieurs années, je suis surveillant à la fac pendant les périodes de partiels. C’est un petit job pas fatiguant et que j’aime bien : il y a toujours des étudiantes très jolies, que je regarde en même temps que je travaille. Deux d’entre elles m’ont causé des soucis… Ce jour-là, j’étais le seul pion de la salle, vu que c’était jour d’examen blanc. En passant à travers les rangées, j’ai remarqué deux nanas qui rigolaient. La première était brune aux cheveux courts, très menue. La seconde était châtain clair, cheveux longs frisés, avec une belle poitrine appétissante. Je suis passé juste à côté d’elles et j’ai tapoté la table qu’elles partageaient. Les deux ont gloussé puis se sont concentrées à nouveau sur leurs copies.
Mais cinq minutes plus tard, elles ont recommencé leur manège. J’avais des consignes, alors je me suis de nouveau radiné à leur table et je leur ai demandé de prendre leurs sacs puis de sortir, après avoir posé leurs copies sur le bureau. Elles n’ont même pas essayé d’argumenter. Mais avant de quitter la salle, la fille aux cheveux châtain à gros seins m’a tendu un petit mot. Dessus, il y avait simplement marqué « Rendez-vous aux WC ». Il a fallu que j’attende dix minutes, le temps que le partiel blanc se termine, puis un prof a pris le relais pour ramasser les copies. Je suis alors parti vers les toilettes, en me demandant si tout ça, était une blague ou un vrai bon plan…
J’ai eu ma réponse en entrant dans les toilettes des mecs. Les deux cochonnes étaient là, à me regarder d’un air gourmand. Elles se sont rapprochées l’une de l’autre et se sont embrassées avec la langue. Puis, devant mon air interloqué, elles sont parties dans un fou rire… Ça m’a agacé, alors j’ai fait mine de tourner les talons. Mais la châtain m’a attrapé par la main et a fait : « Attends, viens avec nous ! ». Je les ai suivies dans la cabine des WC et tout est devenu très, très chaud.
Je rentre dans leur trio
D’abord, les deux se sont embrassées à nouveau comme des folles. Puis Cheveux Courts s’est collée à moi et s’est mise à me galocher. Ça a beaucoup excité sa copine qui a remonté sa jupe, baissé sa culotte et s’est mise à se caresser. Elle avait un frifri bien dodu, avec une petite motte de poils frisés comme sa tignasse. Pendant que je la regardais faire, Cheveux Courts s’était mise à genoux et avait entrepris de sortir mon chibre de mon futal.
Évidemment, j’étais tout dur… La bougresse savait y faire : en me regardant droit dans les yeux, elle a léché ma queue de haut en bas, avant de l’avaler petit bout par petit bout. Mon regard allait de l’une, par terre en train de me sucer, à l’autre, en train de s’enfoncer un index dans la chatte et de masturber son clitoris bien rosé.
Miss Gros Seins a fini par s’approcher de nous et m’a embrassé. La sensation de sa langue dans ma bouche, pendant que celle de sa copine s’activait sur mon sexe… Autant vous dire que j’étais au paradis ! Pour encore plus d’excitation, j’ai pivoté légèrement et je me suis mis à chercher les grosses tétines de la frisée. Elle a commencé à gémir quand je les ai palpées. Ça a donné des idées à Cheveux Courts, qui s’est tournée vers elle… et a commencé à lui lécher la moule, comme si c’était une glace bien fondante. Miss Gros Seins, plaquée au mur, kiffait à mort : pétrie en haut, léchée en bas…
Et moi, je bandais comme un âne en voyant ça :
Cette grosse érection a convaincu Cheveux Courts de s’occuper à nouveau de moi. Elle a abandonné la chatte de son amie et s’est remise à manger mon dard. Mais cette fois, je n’ai pas tenu : en trois allers-retours, j’ai senti que j’allais jouir. Alors je me suis cramponné à sa tête, je l’ai enfoncée au maximum… et je lui ai tout craché dans le gosier !
Une seconde après, j’ai regretté, en me disant qu’elle n’allait pas être contente…
Sauf qu’elle s’est relevée et a regardé sa copine avec un air très chienne… avant de lui rouler une énorme pelle ! Les deux se sont partagées mon foutre, tout en se tripotant la foune. Elles ont joui comme ça, avec leurs doigts, la bouche toute collée de sperme et de salive.
Je n’ai malheureusement pas eu l’occasion de recroiser les deux coquines depuis. Mais peut-être que lors des prochains examens, j’aurai des surveillances à assurer…
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« Elle m’a collé contre le mur de mon salon alors que j’avais les deux verres en main et m’a roulé une grosse pelle, alors que mes mains étaient encore prises ! Impossible de me débattre… Je me suis donc débarrassé de ce qui m’encombrait et je l’ai tout de suite emmenée dans ma chambre sans autre forme de procès. Et là, on a baisé comme des bêtes. » Samy, 30 ans.
Le coup du siècle
« J’ai envie que tu me baises, que tu me bourres le cul. Je sais que tu vas bientôt me défoncer la chatte… » Audrey.