Toute belle pour mon amant !
19 juin 2020Elsa, 28 ans.
Je m’appelle Elsa, j’ai 28 ans et je veux aujourd’hui vous raconter mon histoire de sexe. je suis mariée depuis 3 ans avec Noé, un collègue de bureau que j’ai rencontré lors de mon premier emploi. Avec Noé, cela a tout de suite été le coup de foudre, on ne se quittait plus et nous passions le plus de temps possible ensemble. C’est pour cela que nous nous sommes mariés si rapidement, mais aujourd’hui, j’ai l’impression que cette décision de s’attacher l’un à l’autre est arrivée trop rapidement dans notre vie.
Nous étions encore jeunes et avions tout à découvrir, même sexuellement. Noé et moi, cela fait quelques temps que nous ne faisons plus l’amour. Je pense que les torts sont partagés : il y a le travail qui nous conduit l’un et l’autre dans un épuisement quotidien, ensuite, il y a l’habitude d’aller se coucher à des heures différentes et le besoin de conserver une certaine distance l’un par rapport à l’autre. Bref, je voulais vous dire que cela ne me convient plus et que j’ai décidé d’aller voir ailleurs. Cela ne s’est pas fait du jour au lendemain, je ne voulais pas tromper Noé avec n’importe qui. Alors, tranquillement, j’ai laissé la vie s’en charger et mettre quelqu’un sur mon chemin. Et quelques mois plus tard, j’ai rencontré un mec à une terrasse d’un café. Cela s’est fait tout bêtement, alors que je sortais du bureau à cause d’une panne informatique, me mettant au chômage technique forcé. Comme je ne voulais pas rentrer chez moi trop tôt, j’ai décidé de prendre un peu de temps pour moi, et d’aller au bar d’en face.
J’ai commandé un café crème et c’est comme ça que je suis tombé sur Ludovic, un jeune homme qui travaillait en horaire décalé et qui prenait lui aussi un café avant d’aller rejoindre son service de nuit, dans un hôtel. Je lui ai donné mon numéro et nous avons fixé un rendez-vous à la maison, quelques jours plus tard.
J’ai pris une journée de congé, mais je n’en ai pas touché un mot à Noé. Nous avions rendez-vous l’après-midi, et le matin, je me suis préparée comme il fallait. Cela faisait longtemps que je ne m’étais pas autant apprêtée ; j’avais pris un bain d’une heure, avec du sel parfumé, j’avais recouvert tout mon corps d’un lait délicat, j’avais taillé ma petite chatte pour que tous les poils aient la même longueur. J’ai massé mes seins avec un onguent spécial. Je me suis même prise en photo une fois que mon « soin du corps » s’est terminé pour vous montrer le résultat ! Je me trouve très belle sur cette photo, je ne sais pas ce que vous en pensez. Ensuite, j’ai attendu impatiemment sa venue en petite tenue sexy : ma nuisette en soie dorée. Celle que j’avais achetée il y a 5 ans et qui mettait encore parfaitement mes formes en valeur. Quand Ludovic est entré chez moi, j’avoue avoir un peu paniqué. Je ne savais pas du tout à quoi m’attendre, et surtout, ce que je devais faire. J’ai même failli lui demander de partir, un instant, pris d’un fort sentiment de remord. Mais je n’ai pas bougé. Je l’ai laissé rentrer chez moi, nous avons parlé quelques minutes sur mon canapé avant de monter dans la chambre.
Nous avons baisé dans le lit conjugal, bordel ! Aujourd’hui quand j’y repense, j’ai un peu honte, même si j’avais pris soin de laver les draps après. C’était une baise assez courte, assez rapide. Il m’a avouée qu’il n’avait pas beaucoup de temps à m’accorder lui non plus. Il était pressé, il devait venir plus tôt au travail. Il a essuyé sa queue encore pleine de foutre sur mes fesses et il est parti.
J’étais un peu déçue car j’avais pris le temps pour débuter mon adultère avec lui, et je ne savais pas quand j’allais en retrouver un aussi bien.
Si vous avez aimé cette histoire, vous aimerez aussi…
« Il me léchait partout, les seins, les aisselles, les pieds, les cuisses, suçait ma culotte, l’endroit et l’envers, mes poils tout collés de sperme… Il me dévorait la chatte, faisant ma toilette avec sa langue jusqu’au trou du cul pour bien récupérer ce qui avait coulé dans ma raie, il était tout excité ! Il me pénétrait en me disant qu’il m’aimait et que je pouvais me faire sauter autant que j’en avais envie. » Nadine, 60 ans.
« J’ai arraché son slip, j’ai ouvert sa chatte en écartant ses lèvres, découvrant un coquillage à l’odeur musquée. J’ai tendu ma langue vers son clito et commencé à le titiller. Au bout d’une minute, elle m’a supplié d’arrêter. Elle a achevé son déshabillage et s’est retrouvée bientôt toute nue sur le canapé. Moi, j’ai retiré mon T-shirt, je me suis allongée sur elle et j’ai frotté ma chatte bien drue contre sa douce toison. » Monique, 61 ans.