Visite de l’arrière boutique
27 mai 2020Fabrice, 28 ans.
Je m’appelle Fabrice, je suis un jeune homme de 28 ans et je suis passionné de jeux vidéo. En complément de mes études (j’ai repris des études d’ingénieur très récemment, je pense que je n’avais pas la maturité nécessaire avant), je travaille dans une boutique spécialisée dans l’informatique, dans le centre-ville de Rennes. Ce n’est pas un boulot hyper passionnant, mais cela me permet de financer une indépendance nécessaire dès que l’on dépasse ses 26 ans. Mes parents commençaient à s’inquiéter dangereusement de me voir traîner à la maison encore célibataire, donc je fais ça un peu pour eux.
Ce petit boulot me permet d’avoir aussi beaucoup de temps libre : parfois, j’en profite pour réviser mes cours. Parfois, j’en profite pour me mater un bon petit porno discrètement. Quand un client passe la porte de la boutique, il peut me voir, mais une sonnette retentit pour m’avertir. Je ferme alors très vite mon écran et je cours vers lui, en lui demandant s’il a besoin d’aide.
Alors que j’étais concentré sur la découverte d’un nouveau site où l’on ne voyait que des filles se masturber en gros plan, j’ai entendu le tintement caractéristique de la sonnerie de la porte. Maladroitement, j’ai fermé la fenêtre et remonté ma braguette à la va-vite. Je n’étais pas en train de me branler, mais je me la caressais doucement. Quand j’ai vu la fille hyper mignonne qui paraissait complètement perdue à l’entrée de la boutique, j’ai prié intérieurement pour qu’elle ne devine pas mon érection et j’ai fait comme si de rien n’était. « Je peux vous renseigner ? » ai-je dit sur un ton neutre
et détaché.
Elle m’a expliqué qu’elle était là pour rechercher un jeu vidéo bien spécifique, pour faire un cadeau pour l’anniversaire de son petit frère.
J’ai trouvé ça très mignon, elle avait prononcé le nom du jeu vidéo avec un accent qui n’était pas du tout le bon. Alors je me suis gentiment moqué d’elle et nous avons ri tous les deux, un peu gênés. Je ne sais pas pourquoi, j’ai commencé à parler de moi. Je lui ai raconté ce que je faisais dans la vie, mes études, mon boulot. Elle a fait de même, assez naturellement, elle était assez intéressante et elle étudiait dans une école très proche de la mienne. Elle avait 4 ans de moins que moi. J’en étais immédiatement raide dingue. Dans un élan de courage qui ne me ressemble vraiment pas, j’ai passé une main dans ses cheveux pour dégager son oreille. Et là, elle m’a embrassé sur la bouche, d’un coup sec et rapide. Elle y a même mis la langue, ce qui m’a un peu surpris : je n’ai pas l’habitude d’aller si vite avec les filles.
Je l’ai emmenée directement dans l’arrière-boutique, il ne fallait pas qu’un autre client nous surprenne dans ce moment si intense ! On s’est déshabillés à la hâte, et là, elle m’a fait un truc que je n’avais jamais connu auparavant : elle m’a bouffé le cul. Littéralement, je veux dire ! Je sentais sa petite langue s’insinuer sur les replis de mon anus, c’était à la fois hyper dégueu mais aussi assez excitant. Elle s’est ensuite mise à baver comme une folle sur ma bite. Ce qu’on ne m’avait jamais fait ! C’est très pratique de se servir de ça comme lubrifiant…
Je l’ai bien baisée comme il fallait, c’était très bon. J’ai dû la quitter un peu précipitamment car j’avais entendu la sonnette de l’entrée de la boutique. Un nouveau client venait d’entrer. Elle est repartie avec son jeu vidéo et une petite carte avec mon numéro de téléphone, que je lui ai remis discrètement au moment de payer. J’attends toujours son appel…
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GANG BANG DANS LES DOUCHES DU VESTIAIRE.
« Moi, je m’astiquais la bite, j’avais envie qu’elle me suce, j’attendais mon tour. Quant à Freddy, de ses gros doigts trapus, il a exploré sa chatte sans ménagement. Le tout sous le regard de Marco qui se faisait branler par la nénette ! » Fabien , 32 ans.
« Puis il a sorti sa bite et il a ordonné : “Suce !” Elle a pris ce sexe dans sa main et l’a branlé avec une telle vigueur qu’il a éjaculé très vite. Puis, elle lui a repris la bite pour le pomper. » Michel, 49 ans.