Rendez-vous au Love Hotel
22 juillet 2021« Rendez-vous devant le Love Hôtel » lui avait-il simplement envoyé par texto ! Le cœur de la belle Émilie battait la chamade dans le métro et le rythme ne cessait de s’accélérer à mesure qu’elle se rapprochait de l’adresse indiquée. Même si elle n’avait aucun doute sur la nature coquine de ce rendez-vous, la demoiselle était loin de s’imaginer que, pour son plus grand plaisir, son amant allait se muer en maître, en maître-étalon même !
Il tenait absolument à me prendre en photo devant le Love Hotel pour immortaliser le moment. C’était son petit côté romantique, alors que je n’avais qu’une seule envie, qu’il me baise dans tous les sens. J’avais même sorti la petite jupe pour l’occasion, celle qui est un peu trop courte et qui révèle à ceux qui veulent bien le voir toute mon intimité dès que je me penche.
La décoration intérieure du Love Hotel était assez classe, pas du tout le truc crasseux auquel on aurait pu s’attendre dans ce genre d’endroit, les lumières étaient tamisées, la moquette fondait sous mes talons, et la décoration était de très bon goût. Alexandre n’avait pas fait les choses à moitié.
À nouveau, il me mitraillait comme si j’étais sa petite star, et moi, je dois bien l’avouer, ça me plaisait qu’un mec prenne autant soin de moi. J’avais plusieurs relations en même temps (que voulez-vous, je suis jeune, il faut bien que j’en profite !), mais Alexandre était de loin mon amant préféré.
La plupart vous invite à boire un verre ou à échanger quelques mots au restaurant, là où ils ont leurs habitudes, mais Alexandre avait toujours à cœur de prévoir des choses qui sortent de l’ordinaire, et aujourd’hui ne dérogeait pas à la norme.
Il m’a prise tendrement par la main et m’a guidée à travers les dédales de couloir : « Alors ma belle Émilie, à ton avis, où vais-je t’emmener ? »
Il avait l’art de cultiver le suspense. « Dans une chambre à lit à baldaquin avec pétales de roses, façon princesse ? Dans l’antichambre d’un harem qui sent bon les odeurs d’Orient ? Dans une chambre qui ressemble à celles que l’on retrouve à l’hôpital, pour que l’on joue au docteur ? »
À force de m’énumérer les possibilités qu’offrait ce lieu, je laissais libre cours à mes fantasmes, tous plus farfelus les uns que les autres. Et évidemment, je ne pouvais que sentir ma culotte s’humidifier, envahie que j’étais par des pensées de plus en plus excitantes. Si ça ne tenait qu’à moi, j’aurais adoré qu’il me prenne là, la tête contre la moquette, encore habillée, les escarpins au pied. Sentir son sexe immense, que je connaissais déjà bien, m’empaler à terre, tout près du mur et des tableaux explicites qui les décoraient.
J’aurais adoré voir la tête des autres clients, observer les deux fous qui n’auraient pas été capables d’attendre d’être arrivés dans leur chambre, s’étreindre à même le sol, empêtrés l’un dans l’autre. Peut-être que j’en aurai fait bander un ou deux. J’adorais sentir l’effet que je faisais aux hommes, sans forcément baiser avec eux, ça m’excitait de savoir qu’ils pouvaient délaisser leur conquête du moment pour passer quelques secondes à me contempler me faire baiser.
Mais je connais bien Alexandre, s’il est volontier partageur, il déteste se faire mater. C’est pourtant un bel homme, son corps subit un entraînement qui flirte avec le masochisme, il s’épile tous les matins – enfin, de ce que j’en sais – et son alimentation est enrichie en protéine. Je pense qu’il aurait fait un carton en tant que gogo danseur. Mais Monsieur a déjà du mal avec les regards en biais des autres mâles à la salle de sport, il n’irait certainement pas leur présenter ses fesses. Bref, nous ne nous sommes pas exhibés, et il s’est arrêté devant une porte en bois.
« Attends-moi là, je vais me changer. » Il m’a laissée en plan comme ça, dans le couloir.
J’ai regardé à droite, et à gauche, j’aurai pu me faire embarquer par un inconnu, dans une des chambres, mais rien ne s’est passé. Le lieu était vide. Soudain, Alexandre est réapparu, torse nu, dans un drôle d’accoutrement ! J’ai retenu un petit rictus pour ne pas le vexer, mais qu’est-ce qu’il m’amusait. Il portait des mitaines en cuir, arborait un pantalon noir, d’étranges bracelets plein de pics sur le haut de ses bras qui mettaient en valeur ses biceps.
« Madame, vous n’avez pas été sage, je crois, c’est le moment de votre punition ! »
J’ai fait semblant de vouloir m’enfuir et de me dérober à lui. « Non, pas moi. » Il m’a attrapée par la taille et m’a collée contre lui, contre son torse. Je ne pouvais m’échapper, il a refermé la porte sur nous.
Je pouvais sentir son odeur, mélangée à son parfum, envahir mes narines. Il avait le talent pour se faire désirer, pour éveiller en moi mes envies femelles.
Tout en me regardant dans les yeux, il a retiré le haut de ma robe. Un petit téton, puis le deuxième, s’en sont échappés. Il les a sucés l’un après l’autre, puis a fait directement tomber ma robe noire au sol. Je me suis retrouvée en string, offerte à son regard et son envie de me baiser.
Alexandre avait l’art de faire durer le moment, et je sentais bien à son silence lourd qu’il avait anticipé tout le scénario de notre rencontre. « J’ai un petit cadeau pour toi, pour te mettre dans l’ambiance. » Il m’a présenté un superbe bustier porte-jarretelle en latex hyper moulant. Je n’en avais jamais porté auparavant et j’étais très curieuse de tester cette matière qui me collait au doigt. En me regardant dans un miroir de la pièce, j’ai vu que la tenue m’allait à merveille, elle dessinait parfaitement mes courbes, tout en épousant sensuellement ma peau. Quand j’ai croisé son regard, j’ai compris qu’il partageait mon avis.
Il m’a fait entrer dans une drôle de cage, plus grande que celle que j’utilise pour transporter mon chien, mais pas assez pour que je puisse me tenir debout. J’étais obligée de me courber, voire même de m’agenouiller. Il a fermé la porte puis a sorti sa queue bien bandée de son pantalon.
Il la passait entre les barreaux au niveau de ma bouche, pour mieux la retirer avant que je n’aie pu la toucher. À ce petit jeu, je tournais dans la cage comme un animal sauvage qui ne parvenait pas à atteindre sa proie.
Il a quand même fini par arrêter le supplice en ouvrant enfin la porte. Il s’est posté devant l’entrée, le membre dressé, et m’a ordonné de le sucer.
Accrochée aux barreaux de la cage, captive, j’ai fait disparaître son sexe dans ma bouche avide, ma récompense. C’était une sensation assez nouvelle, je me sentais entièrement soumise à ses coups de rein, comme un trou, et c’est lui qui était aux commandes. Ça me plaisait cette situation, lui qui me dominait totalement, et moi, réceptacle de son désir.
J’avais envie de sa queue, dans mes mains, dans ma bouche, dans mon sexe.Il m’en avait privée volontairement et à ce moment là, cela avait pour effet de décupler mon désir.
Visiblement je prenais trop de plaisir à cette fellation car soudain, il m’a sortie de la cage et m’a ordonné, d’une voix très autoritaire, de m’asseoir sur le dessus, les jambes bien écartées. Je me suis exécutée. Il a approché sa bouche de ma chatte pour me prodiguer un cunni salvateur. Le contact froid des barreaux qui me sciaient les fesses contrastait avec la chaleur de sa langue sur mes lèvres. C’était doux, fondant, tout chaud. Je n’osais pas bouger.
Il prenait son temps pour lécher le pourtour de mon sexe et revenir ensuite vers mes petites lèvres ou mon clito. Parfois il rajoutait un doigt dans ma fente, multipliant les sensations. J’étais au bord de l’orgasme malgré la position inconfortable. « C’est ta récompense pour être une bonne petite soumise… » m’a-t-il soufflé entre deux coups de langue.
Ça m’a fait un peu rire, alors, Alexandre s’est redressé d’un bond. « Quoi ? Tu te moques ? Descends, tu vas expier. » À contre-cœur, je me suis relevée et il a passé le bout de sa cravache sur ma chatte et sur mon clitoris. J’ai eu un mouvement de recul. À cause de son cunni, ma vulve s’était gorgée de sang, elle était déjà à vif, mais il m’a ramenée tout contre lui. « Arrête de gigoter, Émilie ! » Merde, j’ai vu qu’il ne rigolait pas, mais alors pas du tout. Il m’a alors poussée sur le lit et m’a donné de légers coups de martinet sur le sexe.
J’hurlais. C’était un doux mélange entre la douleur et le plaisir.
Et curieusement, le plaisir l’emportait. Alexandre maniait parfaitement bien l’objet, c’était un maître expérimenté et il savait me donner du plaisir, à moi, c’était le plus important. Les lanières s’inséraient partout dans mes chairs, sous mes grosses lèvres, près de mon clito, entre mes cuisses… Chacune de ses tapes m’extirpait des petits gémissements plaintifs.
Fier de sa prestation de dominant fouetteur, il s’est relevé et a retiré son pantalon, intégralement. J’ai pu voir que sa bite était encerclée par un épais cockring noir. « Oh ! Je peux regarder ? » me suis-je exclamée en me jetant à genoux près de son entrejambe.
J’observais avec minutie comment l’objet de plastique comprimait sa tige pour la maintenir en érection. Je n’avais jamais vu un tel dispositif auparavant, mais je crois bien que cela améliorait nettement la force de son érection.
Là encore, j’avais outrepassé les ordres et j’ai eu droit de nouveau à la punition. Il m’a ramenée contre les barreaux de la cage, avant de se saisir de la cravache pour m’en donner quelques coups. Je sentais mes fesses rougir sous le cuir de son instrument.
Ça ne faisait pas très mal, mais la peur de la douleur était un puissant aphrodisiaque. Je voyais son sexe dressé et malgré les coups, je relevais mon cul pour lui offrir mon intimité. Ma chatte de plus en plus ouverte désirait sentir cette queue vigoureuse.
Tel un maître tout puissant qui distribue le chaud et le froid, il s’est finalement allongé sur le lit et m’a ordonné de lui grimper dessus.
En mimant la jeune fille apeurée par chacun de ses ordres, je l’ai enjambé comme un étalon.
« Bouge ton corps, Émilie ! Je veux que ce soit toi qui me donnes des orgasmes ! Je veux que ton bassin s’agite sur ma queue. » J’ai alors pris sa belle queue dans ma main, et je me la suis enfournée entre les cuisses. Je sentais que mon corps s’épanouissait en se sentant perforé par son gros engin. Mon cerveau s’emballait, et je switchais, je n’étais plus qu’inconscience, happée vers d’autres mondes. J’essayais de m’agiter aussi rapidement et aussi fort que je pouvais sur son sexe. J’étais attentive à chacune de ses réactions, chacun de ses halètements. Et vu sa mine, concentrée, je crois bien que je lui faisais de l’effet ! Alors, qui était la bonne petite soumise ?
Il s’est soudain agrippé à mes fesses comme si c’était de la brioche et m’a martelée encore un peu plus fort. Je le sentais maintenant complètement en moi, dans les tréfonds de mon vagin. Son pénis brûlant allumait tous mes sens. Ses coups de rein se faisaient de plus en plus précipités. Ses mains, baladeuses, palpaient tout mon corps, à la recherche des parties les plus charnues de mon anatomie.
J’avais envie de lui rouler une grosse pelle pour que l’on se mélange encore un peu plus l’un à l’autre. J’avais envie d’être lui, en lui, qu’il me prenne totalement.
Alors, j’ai penché ma tête vers son visage et il m’a embrassée à pleine bouche.
Je décollais littéralement. Il en a profité pour me donner quelques petites fessées « Alors Émilie, c’est comme ça que tu l’aimes la baise ? Un peu brutale ? Ça te fait du bien ? » J’ai poussé des petits « oui » d’acquiescement, et là, il s’est mis à hurler « Oui, qui ?! » « Oui, Maître, oui, Maître » ai-je balbutié, la tête totalement dans les nuages.
Alexandre était à fond dans son personnage de dominant, et j’adorais ça. « Maintenant, Émilie, je vais te la mettre dans le cul. Et je ne veux pas t’entendre dire un mot. » Dans le cul ? Vraiment ? J’étais encore vierge de cet orifice, je n’étais pas sûre que ça allait passer.
Malgré ma tête qui exprimait quelques réserves sur la pratique, Alexandre m’a retournée et m’a fait m’empaler par la petite porte sur sa belle bite. Heureusement, sa queue était déjà dégoulinante de nos fluides et elle a glissé doucement dans son réceptacle, jusqu’à ce que ses couilles s’écrasent sur mes fesses. Il a commencé à remuer, et de nouvelles sensations se sont insinuées en moi, doucement.
De son côté, il était prêt à imploser. Il s’est retiré de mon cul pour se répandre sur le haut de mon pubis dans de longs jets de foutre blanchâtres.
Alexandre m’a prise dans ses bras en riant : « C’est bon, t’es engagée ! T’as ton diplôme de soumise ! »