Le fantasme de l’hôtesse

La rédaction 5 juin 2020

Michel, 49 ans.

Voilà longtemps que je lis interstron.ru et je ne pensais pas qu’un jour, que je raconterai une histoire de sexe. Que j’arriverais à connaître une femme qui aimerait tant le sexe. Camille était hôtesse dans les salons grand public. Je l’ai rencontrée au cours d’un salon automobile. C’était la fin de journée, et elle m’a demandé si je pouvais avoir la gentillesse de la déposer chez elle, elle n’avait pas le courage d’affronter le métro. J’ai accepté avec plaisir. En chemin, je lui ai proposé d’aller prendre un verre. Elle était partante. Très vite, la conversation a dévié sur le sexe. Elle m’a expliqué que, dans les salons, les hommes ne savaient pas se tenir, que certains lui caressaient les fesses et que d’autres lui mataient l’entrejambe quand elle montait et descendait des véhicules exposés. Super hypocrite, je lui ai dit : “Ce n’est pas bien de se comporter ainsi, cela doit te gêner !” Et, contre toute attente, elle m’a répondu : “Non, j’adore, cela me chauffe et me fait délirer…” Curieux et excité comme une puce, je lui ai demandé quels étaient ses fantasmes. Eh bien, la liste était longue ! Mais le principal était de faire l’amour avec des inconnus, les yeux bandés et les mains attachées. Je commençais à aimer ses propos, je lui ai soufflé : “Ok mais si je trouve des mecs, tu ne pourras pas te défiler. – Tu verras bien…”, m’a-t-elle lancé d’un air taquin. Et je l’ai déposée chez elle, non sans avoir au préalable échangé nos numéros de téléphone.

L’affaire partait plutôt bien, il fallait juste que je trouve des inconnus, et vite ! La nuit a été longue ! Je n’arrêtais pas de réfléchir à comment dénicher des mecs corrects pour jouer le jeu. Le lendemain, j’ai envoyé un sms à Camille, lui disant : “Tu devras te changer dans ta voiture et t’habiller hard, et sans culotte.” La journée a été longue. Le soir venu, je suis allé la chercher, elle bossait à Auteuil. Je l’ai accompagnée dans une contre-allée. Sa voiture était petite, ce n’était pas facile pour elle de se changer mais elle a joué le jeu, malgré les voyeurs qui approchaient. Puis, je lui ai proposé d’aller boire un verre à la Porte de Versailles. J’ai pris la direction par les extérieurs. Un monospace nous suivait et, à chaque feu rouge, le chauffeur matait ses cuisses et surtout son entrejambe que je caressais. Elle était chaude.

Près d’une petite rue, j’ai eu envie d’aller plus loin. Je lui ai demandé de se garer et j’ai repris de plus belle mes caresses. Très vite, l’homme au monospace a toqué à la vitre. Camille a baissé sa glace, et il a tenté le coup : “Vous ne viendriez pas dans ma voiture ? Il y a de la place et j’aimerais bien vous caresser aussi.” Ni une ni deux, elle a ouvert sa portière et l’a suivi ! Du coup, moi aussi. Une fois dans le véhicule, le gars l’a un peu malmenée, la caressant brutalement. Puis il a sorti sa bite et il a ordonné : “Suce !” Elle a pris ce sexe dans sa main et l’a branlé avec une telle vigueur qu’il a éjaculé très vite. Puis, elle lui a repris la bite pour le pomper. Je ne m’attendais pas à la voir si chaude. Le type a de nouveau giclé, et nous avons quitté son monospace pour retrouver la voiture de Camille. Une fois dedans, elle m’a appris que son mec ne la touchait plus et que donc, elle en profitait. Nous sommes repartis et elle est rentrée chez elle, il se faisait tard.

Quinze jours ont passé sans nouvelles. Puis, un mardi, j’ai reçu un sms d’elle. Elle bossait sur un salon à Rouen. Elle me demandait de la rejoindre. J’ai attendu la fin de journée et j’ai pris la route. Je l’ai retrouvée vers 22 heures. Elle est apparue en minijupe, bottes et top. Je lui ai dit : “Tu sais à cette heure, il ne reste plus que les routiers. – Ok. On dîne et on y va.” Au resto, tous les mecs la mataient. Que faisait cette jolie blonde dans un routier ? Une fois les cafés avalés, elle m’a glissé : “Je vais fumer une clope dehors.” J’ai répondu : “Ok, je règle la note et je te rejoins.” Quand je l’ai retrouvée, elle discutait avec des routiers. Les mecs étaient chauds, l’un d’eux lui a proposé de connaître l’univers d’une cabine, de voir ce qu’il vivait, elle n’était pas contre… Ils nous ont emmenés non loin sur un parking. Une fois dans la cabine, le proprio a baissé les rideaux, l’un des mecs a proposé d’ouvrir le champ’, la soirée était lancée. Elle est allée sur la couchette car nous étions cinq en tout, et c’était quand même petit. J’ai fini par dire : “Eh bien Messieurs, la dame a un fantasme, celui de faire l’amour avec des routiers. De plus, elle n’a pas de culotte car elle aime que l’on lui mate le cul, profitez-en !”  L’un d’eux a soulevé sa jupe et les autres ont suivi. Elle s’est retrouvée à poil en dix secondes, et les mecs aussi. Elle branlait l’un, suçait l’autre pendant que le proprio la prenait en levrette. Elle gueulait tellement c’était bon. Quant à moi, je jouais le voyeur. Ma récompense arriverait après. Elle s’est retrouvée couverte de sperme et l’un des gars lui a lancé un défi : se mettre le levier de vitesses dans la foune, et elle l’a fait ! Quelle salope ! Mais plus cela avançait, plus je l’aimais. Cette “soirée” terminée, j’ai pris les téléphones de chacun et l’on s’est quittés.

Un mois après, elle faisait le salon du bateau. Je lui ai donné rendez-vous dans un hôtel. Je lui ai envoyé l’adresse et le numéro de code par sms et je l’ai prévenue que j’arriverais un peu en retard. Entre-temps, j’avais appelé mes routiers en leur donnant rendez-vous à l’hôtel une demi-heure avant elle pour lui faire la surprise ! Je suis donc arrivé avec 40 minutes de retard volontaire. Dans le couloir, je me demandais si elle était en train de se faire sauter. J’ai collé mon oreille à la porte de la chambre. Le seul bruit était un grincement, je suis entré discrètement. Là, surprise ! Elle était à quatre pattes sur le lit, un mec était en train de la sauter, elle suçait l’énorme bite d’un Black sans les mains car elle branlait deux types, et encore deux autres attendaient leur tour. Les trois routiers avaient emmené leurs potes ! La partie se transformait en gang bang. Dans tous les cas, elle kiffait. Mais son plus grand pied, c’était de recevoir les giclées de sperme. Ça devenait un vrai film de cul. Chacun a été correctement vidé sans qu’aucune goutte ne soit perdue.

Cette fille, je la revois de temps à autre et à chaque fois, je lui offre ses fantasmes. Je suis fou d’elle. Elle me fascine. Mais je dois reconnaître que je suis abasourdi qu’elle aime tant le sexe, à 20 ans à peine.

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J’ai sucé le boss

« J’ai dézippé sa braguette et j’ai plongé mes doigts à l’intérieur. Ce que j’y ai trouvé était gros et dur, j’en avais plein la main et ça m’a donné une idée. Je me suis mise à genoux et l’homme a sorti son engin. J’ai léché la goutte suintante, jouant de la langue sur toute la longueur du membre. » Aurore.

L’épouse qui jouit d’un autre, c’est génial !

» Tout mon désir de voyeur était comblé. J’entendis qu’il la pénétrait car elle poussa un ha ! prolongé et le lit se mit à grincer en cadence. Elle m’avait dit qu’il avait de très grosses bourses. Ils s’arrêtèrent de bouger. » Fabrice.

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