Un quicky bien foutu

La rédaction 20 mai 2021

Le mari d’Aurore, est excité par l’idée de voir sa femme avec d’autres hommes, pour lui faire plaisir, elle lui envoie des petites photos de ses ébats avec ses amants.

Je m’appelle Aurore, mon mari et moi lisons avec plaisir chacun de vos numéros depuis plusieurs années maintenant. Et c’est pour mon mari que j’écris cette histoire porno aujourd’hui. Nous sommes en couple depuis quinze ans, et ce qui l’excite le plus, c’est de me voir avec d’autres hommes. Donc, pour assouvir ses envies, je passe voir de temps en temps un amant pour une séance photos que je lui envoie ensuite par texto. Mais la dernière fois, rien ne s’est passé comme prévu… C’était un mercredi après-midi. Comme d’habitude, je ne travaillais pas, mais je courais dans tous les sens déposant un enfant à son activité, l’autre à son club sportif et ainsi de suite. Vers 16 heures, j’ai eu un petit temps mort dans mon emploi du temps : il me restait une demi-heure avant de retourner chercher ma petite à la gym. C’est alors que j’ai reçu un SMS.

L. : « Ai fini le boulot de bonne heure. Envie de te voir. »
Moi : « Impossible, je dois aller chercher la petite à la gym. »
L. : « Juste un café, le gymnase est à côté ! »
Argh, c’était vrai ! Le gymnase était effectivement juste à côté… Un café en une demi-heure, c’était faisable… Nouveau SMS.
L. : « Juste un café, promis. Mais très envie de te voir. »
Et voilà ! Il avait eu raison de moi !
Moi : « OK ! Mais un café rapide ! À 16 h 30, je file. »

De toute façon, c’était mercredi, j’étais en jeans, avec un gros pull, rien d’hyperexcitant, et puis je le connaissais : il aimait prendre son temps, me faire gémir longuement quand il me caressait le clito avant de glisser ses doigts dans ma fente trempée et de me lécher, pour finalement me prendre sur son canapé, dans les escaliers ou sur son lit…

J’ai sauté dans la voiture. À 16 h 07, j’étais chez lui. Il m’a ouvert avec le sourire, comme d’habitude. Il m’a proposé un café… Mais voilà qu’il a commencé à m’embraser, me chuchotant qu’il avait envie de moi. C’était imparable ! Je sentais cette chaleur se diffuser doucement dans mon ventre, entre mes cuisses. Je l’ai repoussé, lui ai dit que je n’avais pas le temps. « Pas de souci ! Tu seras à l’heure ! » a-t-il rétorqué. Et il m’a attirée sur le canapé et a commencé à glisser ses mains sous mon pull. Il adorait mes seins, gros, ronds et sensibles. Il a commencé à jouer avec mes tétons, les a caressés, puis doucement il les a pincés, tirés. J’ai commencé à gémir, ma chatte devenait humide. Je lui ai grimpé dessus.

À travers nos jeans, je sentais sa bite dure et gonflée. J’avais envie de son sexe. Je mouillais de plus en plus. « Je suis en train de complètement tremper mon string ! – Montre-moi ! – Mais il est 16 h 15 ! Je joue encore cinq minutes et je me casse ! »

J’ai déboutonné mon jean, je l’ai descendu, à peine juste ce qu’il fallait pour qu’il puisse glisser sa main et constater comme je mouillais. Mais ma chatte glissait tellement qu’il a enfoncé deux doigts sans aucune peine. Il m’a tiré des gémissements de plaisir. C’était trop bon ! Je me sentais devenir chienne ! C’est alors qu’il a pris le contrôle de la situation. Il a enlevé son pantalon et m’a présenté son sexe dressé juste devant le visage. D’un geste, il m’a agrippée par les cheveux et m’a enfoncé sa bite dans la bouche. Je me suis mise à la sucer, à la lécher sur toute la longueur. Elle était bonne, c’était un délice, si dure… J’ai léché les quelques gouttes. J’avais terriblement envie de la sentir en moi, qu’elle me remplisse la chatte, bien profondément. J’avais envie qu’il me baise ! Je n’en pouvais plus, je gémissais, j’ondulais mon cul de frustration ! « J’ai envie de que tu me prennes. – Supplie-moi, petite cochonne ! »

Alors, je me suis mise à quatre pattes sur son canapé, le jean sur les genoux. Je lui ai exposé mon cul et ma chatte, il n’avait plus qu’à se servir pour me baiser comme une chienne. « Pitié ! Prends-moi ! J’en peux plus ! J’ai besoin de me faire remplir ! » Ni une ni deux, il a enfilé un préservatif et m’a enfoncé sa bite jusqu’à la garde ! Du premier coup, il me l’a enfoncée jusqu’au bout. J’ai poussé un cri. « Oh oui ! Hurle, vas-y ! » Tout à coup, j’ai réalisé que plus rien ne me retenait, je me suis lâchée. De son côté, il me bourrait comme un taureau. De grands coups de butoir ! J’en demandais encore plus, toujours plus et plus fort ! J’adore me comporter comme une salope et me retrouver comme ça, à quatre pattes, à me faire baiser par n’importe qui.

Puis, d’un coup, quand il m’a ordonné de jouir, étrangement, un flot de plaisir s’est déversé en moi. Dans mon dos, j’entendais son râle d’homme à bout de souffle. Lui non plus ne pouvait plus résister à cette situation si excitante. Il était 16 h 20, j’ai remonté mon jean que je n’avais même pas eu le temps d’enlever. Je venais de me faire prendre comme une fille légère en moins de quinze minutes et c’était trop bon.

Un dernier bisou pour dire au revoir. En plus, j’étais en avance à la gym ! Par contre, il n’y a pas eu de photos comme tu les aimes tant mon amour. On était un peu pressé ! J’espère que tu vas découvrir avec beaucoup de plaisir cette aventure et que tu ne seras pas trop déçu de ne pas avoir d’images !

(Photo à la une : Getty Images)

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