1ère sodomie pour la Saint-Valentin

La rédaction 20 mai 2021

Un jeu pour pimenter leurs ébats : avancer masquée pour faire fonctionner la boîte à fantasmes et se laisser aller à des pratiques jusqu’alors inconnues. Le moins que l’on puisse dire, c’est que la jolie demoiselle va largement ouvrir son champ des possibles !

Le jour de la Saint-Valentin, il avait tenu à me faire vivre un moment hors du commun en rentrant du bureau. Il me connaît bien mon amoureux, et sait que je peux me montrer très joueuse, même si cela fait tout juste un an que nous sortons ensemble.

Nous avons très vite été complices et même si nous sommes un jeune couple aux yeux de tous, cela ne nous a pas empêché de louer très rapidement une maison pour commencer une petite vie de famille à deux. Bref, j’en reviens à ce jour de Saint-Valentin donc, et à ce nouveau virage sexuel épicé dans lequel nous nous sommes lancés tous les deux. J’avais trépigné d’impatience toute la journée, anticipant d’avance tous les sévices que j’allais subir le soir venu avec un peu d’appréhension mais surtout une grande excitation.

Enfin, à 18 heures tapante, je sonnais à la maison, le cœur battant comme jamais. Je ne sais pas trop ce je m’imaginais, alors. Peut-être qu’un autre homme allait m’accueillir à l’entrée ? Ou mieux, peut-être que ce serait une femme de mon âge ?

Mais c’est mon chéri qui m’a ouvert la porte, et, sans me laisser faire un pas de plus, il m’a passé un bandeau sur les yeux en me susurrant à l’oreille de sa voix sensuelle, « Ce soir, tu es à moi ».

J’adorais quand il était comme ça ; taquin, mais à l’initiative. Un brin dominateur.

Je me suis donc docilement laissé faire et il m’a installée sur le canapé délicatement, comme si j’étais une petite poupée. De là, il s’est mis à mes pieds et a retiré mes chaussures. Il sait qu’après une longue journée de travail, j’ai les pieds en compote et que je raffole de petites papouilles à cet endroit.

Il a alors commencé à les masser sensuellement. Savez-vous qu’un massage de pied, réalisé en bonne et due forme, est un des meilleurs préliminaires qui soit ?

Dès qu’il a commencé à s’attaquer à mes orteils, je me suis mise à mouiller. En même temps, j’étais tellement à fleur de peau depuis le début de la journée que n’importe quoi aurait pu m’exciter. Il a terminé par un massage délicat des chevilles, du tendon, de la plante des pieds, puis m’a demandé de ma relever. Je l’ai senti tourner autour de moi, puis il a soulevé tout doucement mon tee-shirt, dévoilant mon buste à l’air libre. Il a retiré mon soutien-gorge, et, comme pour mes pieds, il a commencé cajoler le haut de mon corps.

Je suis particulièrement réceptive à ces petits soins et mon émoi était embrasé par le fait d’être masquée et totalement offerte, à sa merci. Il a massé d’abord la totalité de mon torse, effleurant par moment ma poitrine. Je sentais son souffle parfois sur ma peau. Peu à peu il s’est emparé de mes seins. Je sentais tantôt ses doigts, tantôt l’entièreté de se mains. Elles titillaient mes aréoles ou pinçaient délicatement mes petits tétons.

Je tentais de le toucher, de sentir s’il bandait, de lui attraper les fesses, mais c’était difficile tant il virevoltait autour de moi. Je dois bien reconnaître qu’à ce moment-là, j’ai compris pourquoi il m’avait plongé dans le noir. Nous avions l’habitude d’un sexe assez conventionnel tous les deux, souvent en missionnaire, souvent la lumière éteinte (il sait que j’ai des petits complexes et je préfère le sexe dans le noir) et souvent sans chichi. Mais là, il n’y avait que moi qui ne pouvait rien voir, et lui pouvait me mettre complètement à nu.

Je dois bien avouer qu’avoir les yeux bandés ajoutait un réel piquant à la situation !

Peut-être y avait-il même des voyeurs dans le salon ? Des voisins de passage venus mater sa “presque” femme se faire prendre ? J’avoue qu’à l’idée d’imaginer un public excité par la situation, je me suis mise moi-même à ne plus pouvoir tenir. Mon amoureux a baissé mon pantalon et j’étais maintenant la chatte à l’air. Je sentais ses doigts parcourir avec précaution les fines lèvres de ma vulve. Comme si, quelque part, il présentait mon entrejambe à des spectateurs attentifs. En tout cas, c’est comme ça que je me présentais la situation.

Il m’a alors demandée de me cambrer sur le canapé pour bien exposer mes chairs. Je lui ai obéis sans broncher, ravie de ce petit jeu d’exhibition qui n’existait que dans ma tête, puisque je ne voyais absolument rien. Le visage en avant, le cul en arrière, j’ai enfin senti le souffle chaud de mon chéri toucher ma vulve et le haut de mon cul.

J’avais un peu honte que son visage se retrouve si proche de cette partie de mon anatomie, et pourtant j’en avais envie. Ma chatte était détrempée, trop excitée par la première partie du programme et mon cul était offert, piégé par le scénario mijoté par mon homme.

Je gigotais dans tous les sens pour le faire changer de cap mais rien à faire : il en avait manifestement après mon derrière et le croquait à pleine bouche ! Alors je n’ai rien trouvé d’autre à faire, pour dissiper ma gêne, que de me mettre à rire ! Ce n’était pas déplaisant, loin de là, mais jamais je n’aurais pensé qu’il puisse me bouffer le cul comme ça. Quelque part, la situation était totalement absurde. « Bon si tu te moques de moi, ma belle, je vais devoir retirer ton bandeau.  » Enfin, mon bel amoureux m’a rendu la vue et je l’ai embrassé à pleine bouche, encore étourdie des folies sexuelles dans lesquelles il m’embarquait.

Il a eu un geste de recul et m’a dit « Non, non, maintenant, c’est en bas que ça se passe ! » Il fallait donc que je le suce ? Au risque de passer pour une prude, jamais je n’avais sucé un mec. Il a donc sorti son sexe, au summum de son érection et me l’a présenté. J’ai fait une petite moue, j’ai jeté un coup de langue coquin, puis, très lentement, je l’ai pris en bouche. Manifestement, mon copain était en train de tester mes limites, et il avait choisi le jour de la Saint-Valentin pour me faire tenter tout ça !

Je l’ai pris comme un véritable défi personnel et je me suis mise à le sucer le plus fort possible. Je l’aspirais à grand bruit, en mettant beaucoup de salive dessus. Je n’étais pas totalement inculte, j’avais vu quelques films pornographiques, et j’essayais d’en copier quelques trucs. Finalement, je me suis assez naturellement prise au jeu et cela m’excitait de le sucer. Je sentais que ça chauffait à l’entrejambe et j’avais de plus en plus envie de sa queue. J’ai donc retiré son sexe de l’emprise de mes lèvres et je me suis allongée sur le canapé en lui lançant un regard très explicite « Viens me rejoindre ! ».

Le bougre a pris le temps de retirer totalement son pantalon et son boxer rose, il voulait que j’observe avec attention son corps et particulièrement son sexe, une partie de son corps que j’avais rarement vu aussi crument, en pleine lumière. Ça m’a fait très bizarre de le voir s’exhiber de la sorte, quand on fait l’amour dans le noir, je m’imagine ses attributs… différemment. Je laisse mon imagination en inventer la forme et les détails.

Là, tout m’était exposé, déballé ; les poils, les veines, la couleur, la texture. Ce n’était pas forcément très esthétique, mais le côté cru et très brut m’a encore plus chauffé. Finalement, il y a du bon à se confronter à la réalité.

Mon amoureux s’est tendrement glissé dans mon dos et a commencé à m’entreprendre par l’arrière, en cuillère. C’est très tendre. Nous nous sommes roulés de grosses pelles en même temps, le visage collé l’un contre l’autre. J’ai vraiment apprécié ressentir son pénis bien dur dans moi, voir son visage changeant à mesure de ses coups de reins.

Je ne sais pas pourquoi je n’avais pas osé, avant, m’exposer en pleine lumière. Cela avait du bon de découvrir tous les détails du sexe au grand jour. De voir les yeux de mon amoureux, aussi. Son regard lumineux. Le manège de ses mains qui s’emparent de mon corps. Rien à dire, le spectacle du sexe était vraiment magnifique.

Mon chéri s’est retiré, est allé farfouiller dans un sac, puis s’est exclamé « Deuxième surprise ! » Il a sorti un long gode en verre de sa besace et l’a badigeonné de lubrifiant. Décidemment, il n’en loupait pas une pour cette Saint-Valentin !

Je me suis à nouveau allongée, pour qu’il le rentre dans mon sexe qui ne demandait que ça, mais il m’a détrompée : « Oh non ma belle ! On va essayer de dépuceler ton cul… qu’en penses-tu ? » J’avais un peu peur qu’il touche à cette partie-là !

Personne ne m’avait jamais sodomisée. Mais je me suis dit que c’était aujourd’hui ou jamais, il avait su me mettre dans le mood et je pouvais accepter tout et n’importe quoi. Il a, très lentement, enfoncé le gode en verre dans mon anus. J’avais très peur d’avoir mal donc je me suis un peu crispée au début, mais plus ça allait, plus je commençais à ressentir du plaisir dans cette voie-là.

Ce n’était pas aussi agréable qu’en vaginal, mais ce n’était pas déplaisant non plus. Mon chéri a fait quelques allers-retours avec le gode puis l’a retiré, toujours avec beaucoup de douceur. « Félicitations ma belle ! Dis donc, pour une première fois, c’est vraiment impressionnant. Tu as vu comment ton trou de balle est dilaté ? Wouahou ! » Et il s’est mis à lécher mon anus. Plus rien ne l’arrêtait manifestement, j’avais l’impression de redécouvrir mon mec, un homme sans aucune limite ni aucun tabou.

Sa langue encore fourrée loin dans mon cul, il s’est écrié en zozotant : « Allez, maintenant je te sodomise, tu es à point ! »

Il m’a replacée à sa convenance et il a réussi à me prendre par la porte des artistes assez aisément. Il faut dire que le gode lui avait facilité les choses et avait bien écarté mes sphincters. Je sentais sa bite me ramoner l’arrière-train par petits à-coups saccadés et rapides, et plus ça allait, plus je la sentais grossir, annonçant un orgasme imminent. Il s’est retiré juste avant de lâcher son foutre dans mon cul.

Il était moins une, à peine s’est-il extirpé de mes fesses que d’épais jets blanchâtres ont jailli de sa queue. J’ai essayé de rattraper les gouttes comme j’ai pu en me jetant sur son sexe. Évidemment, je lui ai aussi laissé la vue sur mon petit cul en même temps. J’avais bien compris que cette partie de mon anatomie lui plaisait beaucoup. En me pourléchant les lèvres, je l’ai entendu rire « La sodomie de la Saint-Valentin, tu t’y attendais mon amour ? » Non, en effet.

Je m’attendais à tout sauf à explorer cette nouvelle voie-là. Mais je dois bien avouer que maintenant que j’y ai goûté, je n’attendrais pas la prochaine Saint-Valentin pour remettre le couvert ! l

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