Mon amour de belle-soeur
1 décembre 2020Bertrand, 21 ans, surprend la copine de son frère avec son cousin dans la cabane du jardin, il va pouvoir en profiter aussi… mais plus tard !
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Je m’appelle Bertrand, j’ai 21 ans et je suis étudiant. Je vis chez mes parents avec mon frère et sa nana, Monika. C’est une très belle brune de 23 ans. Elle est infirmière.
L’année dernière pour l’anniversaire de notre grand-mère, nous sommes allés chez notre oncle en bord de mer. Il y avait aussi nos cousins. On s’entend très bien tous ensemble. Après le repas, toute la famille est partie faire un tour sur la digue, sauf un cousin, Armand, et Monika qui débarrassait la table pendant que mon frère avait rejoint les autres.
Je suis allé avec la famille, mais j’en ai bientôt eu marre, alors je suis revenu (en plus j’avais oublié mes clopes dans mon sac), mais quand je suis arrivé dans la salle à manger, il n’y avait personne. J’ai appelé Armand en vain. Je ne le trouvais nulle part dans la maison, alors je suis allé dehors…
J’ai entendu des drôles de bruits qui venaient de la cabane du jardin. Je me suis approché lentement, j’ai jeté un œil… Et j’ai eu un choc ! Armand était monté sur l’établi, le pantalon baissé, et Monika lui suçait la queue ! Le membre était fin et long, bien tendu. Ma belle-sœur avalait le truc en entier, elle lui léchait les couilles avec sa petite langue, et lui, soupirait de plus belle.
Il est descendu pour lui peloter les seins, elle avait de belles poires qui avaient l’air bien fermes. Elle le regardait avec un petit sourire, il était aux anges le salopard. Il lui a demandé s’il pouvait la lui mettre dans le cul. Elle a fait non de la tête, alors il s’est remis en position pour se faire sucer. Elle l’a repris en bouche et il a tiré sur sa tête pour l’attirer plus loin sur sa tige. Ses couilles touchaient le menton de Monika à présent. En quelques secondes, il a commencé à râler et il a giclé dans sa bouche. Elle a tout avalé et a fini en lui nettoyant bien la bite avec sa langue.
Entre temps, j’avais réussi à prendre quelques photos avec mon portable. Ma queue était toute raide, je me caressais en douce. Je suis reparti avant qu’ils ne s’aperçoivent de ma présence. Le soir dans mon lit, j’ai regardé les photos. C’était vraiment excitant.
Dimanche dernier, j’étais seul dans ma chambre et j’ai eu envie de revoir les photos. J’ai fait un gros plan sur le visage de Monika en train de pomper le cousin. J’étais nu sur mon lit, avec la bite raide comme un piquet. Tout à coup, la porte s’est ouverte sur Monika qui était venue me demander un service ! Je ne savais pas qu’elle était à la maison. La surprise a été grande des deux côtés… Elle m’a vu comme ça, la bite à la main, le portable dans l’autre. Je lui ai hurlé de sortir de ma chambre bien entendu, en ajoutant qu’elle pourrait frapper avant d’entrer…
Mais elle ne s’est pas laissé démonter et m’a répondu qu’il fallait fermer à clé dans ce cas-là et qu’il y avait d’autres moyens de s’exciter qu’un téléphone portable. J’ai été tellement étonné qu’elle ne sorte pas de ma chambre que je suis resté estomaqué. Et là, elle a vu. J’ai compris qu’elle regardait le téléphone dans ma main et qu’elle s’était reconnue.
Elle est devenue toute rouge et m’a sommé de m’expliquer. Je lui ai tout raconté dans les moindres détails. La honte passée, tout cela m’amusait bien en fin de compte. J’avais fini mon honteux récit, et elle s’est aperçue que j’avais toujours la queue raide et peut-être plus rouge encore qu’avant qu’elle ne me découvre.
Elle s’est approchée et m’a demandé si je voulais qu’elle me soulage. Je m’apercevais qu’elle voulait acheter mon silence et j’avais bien l’intention d’en profiter. Je l’avais toujours trouvée trop belle pour mon frère de toute façon ! Singeant la timidité, j’ai fait oui de la tête. Monika s’est appliquée à me faire une pipe de légende. Je sentais enfin sa bouche sur ma bite tendue et dure comme une barre de fer. Je caressais ses beaux seins pendant qu’elle me suçait si divinement bien. Sa poitrine était encore mieux que dans mes rêves les plus humides : douce et ferme.
Elle s’est redressée pour aller fermer la porte de ma chambre, à clé. Ensuite, elle s’est mise toute nue devant moi en disant : « Tu vois, comme ça, on ne sera dérangés par personne. » Comme elle était belle ! Je bandais comme un âne. Elle est montée sur le lit, elle s’est blottie entre mes jambes et a recommencé à me pomper. Elle m’a dit qu’elle ne m’imaginait pas avec une queue aussi épaisse et qu’elle l’adorait déjà. De fait, elle en prenait grand soin et la cajolait.
J’ai repris ses magnifiques seins à pleines mains. J’ai pincé ses jolis tétons qui durcissaient. Puis j’ai posé les mains sur sa tête pour mieux guider mon membre au fond de sa gorge où j’ai déchargé tout mon foutre. Ma sève était abondante. Elle l’a complétement avalée.
Monika est remontée vers moi et m’a embrassé à pleine langue. Elle était à cheval sur moi, et ma bite en redemandait déjà. Elle l’a sentie. C’était fou. Je sentais son cul très doux qui frôlait mon gland en feu. Elle s’est soulevée légèrement avant de redescendre tranquillement tout le long de mon piston. Sa chatte trempée et en chaleur était un vrai régal. J’en ai senti chaque millimètre jusqu’à ce que ses adorables fesses touchent mes couilles. Nous étions en amazone. Nous avons commencé à onduler comme de vrais amants. Ses hanches merveilleuses étaient très actives.
La baise est devenue incroyable, épique. Nous étions dans une frénésie de cul. Elle s’accrochait très fort à moi. Je lui donnais de formidables coups de queue, je lui labourais le ventre. Je me donnais corps et âme pour la faire jouir. Je la défonçais, c’était du vrai plaisir. Ses longues jambes étaient un étau. Elle me suppliait d’aller plus loin. Mes couilles étaient trempées de sa jouissance.
Elle s’est mise sur le côté, je me suis replongé en elle avec ardeur. Ma bite était de plus en plus raide et gonflée à bloc. Nous étions en sueur. J’ai senti la sève remonter… Je sentais les parois de sa chatte qui me pompaient la queue. J’ai râlé de bonheur. Elle a gémi, ma liqueur a coulé. Nous sommes restés un long moment comme ça, moi sur elle.
Monika s’est relevée doucement. Je bandais toujours. J’ai vu ma semence s’écouler de sa vulve. Elle s’est essuyée avec mon caleçon qui traînait là. « Ça te fera un souvenir ! » Quelle coquine… « Et tu seras gentil de ne pas envoyer mes petites photos à n’importe qui, ça restera notre petit secret, ok ? » Elle s’est rhabillée et elle est sortie après m’avoir fait un clin d’œil. Je les ai toutes effacées sauf une : celle où elle suce notre cousin, celle-là, je l’aime trop. Maintenant, elle et moi, on est très complices…
J’attends notre prochain rendez-vous et j’ai hâte ! Peut-être au moment des fêtes de Noël ? Qui sait…
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Fiala
Putain c’est cool