Ma femme la candauliste

Orane 1 mai 2021

La femme d’Ernest, 60 ans, est une coquine adepte du candaulisme. Ce couple non conventionnel sont à la recherche de partenaire de jeux. Ils nous raconte leur expérience.

Notre couple avec ma femme Katia n’est pas très conventionnel, car chez nous, c’est madame qui est candauliste. C’est elle qui, dans nos jeux, m’offre à d’autres femmes et y trouve son plaisir. Vous devez vous dire que je suis bien chanceux, mais c’est un vrai contrat sincère entre nous, et je me suis bien assuré qu’elle n’en souffrait pas et qu’elle aimait ça. Je vous raconte dans cette histoire de sexe. 

Nous sommes des sexagénaires en bonne forme, nous faisons beaucoup de sport et beaucoup l’amour, ce qui nous a bien conservés à travers le temps. Ma belle est une dame aux cheveux bouclés teints en blond, corps athlétique, seins magnifiques, et moi je suis encore joli homme, aux yeux bleus, et sans trop de ventre !

Pour nous faire plaisir, nous recherchons donc souvent des partenaires de jeu. La dernière fois, notre dévolu s’est jeté vers Betty, notre libraire. Elle tient son magasin à côté de chez nous et nous lui commandons souvent des ouvrages coquins. En plein confinement, je suis allé chercher un livre que j’avais commandé sur son site et nous avons échangé à la porte de la librairie.

Nous l’aimons beaucoup avec ma femme, c’est une quinqua bien en chair, toujours sexy, impeccablement maquillée et avec des bijoux dorés qui lui donnent toujours bonne mine. Ça faisait longtemps que je parlais d’elle à Katia et elle m’avait mis au défi de l’attirer chez nous. J’avais donc commencé à lui faire du gringue en commandant un livre par semaine. Elle avait vu clair dans mon petit jeu, et, coquette, elle se laissait gentiment draguer.

Cette après-midi là, j’étais allé chercher un livre sur le candaulisme et elle m’a demandé de lui expliquer en quoi cela consistait. Je lui ai fait mon petit exposé et lui ai dit que si elle voulait découvrir cette pratique, elle était cordialement invitée chez nous le soir même. Je ne pensais pas que ça marcherait, mais Betty a sonné chez nous après son service ! Elle était dans l’encadrement de la porte, belle, souriante. “Je ne suis pas si innocente que vous le croyez”, a-t-elle lancé, malicieuse. Ma femme l’a accueillie et l’a fait asseoir au salon. La soirée s’est étirée, l’atmosphère était à l’acoquinement. Elle nous a dit que la sexualité lui manquait depuis sa séparation.

Ma femme, assise entre nous, a saisi nos mains pour les faire se rencontrer. J’ai senti la paume tiède de Betty. Nos visages se sont penchés par-dessus de ma compagne pour nous unir dans un baiser. Nous nous embrassions à quelques centimètres du visage de Katia et c’était terriblement excitant. Pour elle aussi, je savais que c’était un moment plaisant. Ma femme s’est extraite d’entre nous et, pendant que je continuais de baiser la bouche de notre amante et de déboutonner son chemisier pour lui bécoter la poitrine, elle s’est placée derrière moi sur le canapé et s’est mise à toucher mon érection, à la libérer de mon pantalon pour la sentir frémir dans sa main et se mettre à accompagner son durcissement en la branlant. Elle est merveilleuse, dans sa manière d’accueillir mon désir.

Je tripotais Betty et ses mains douces et précises me cajolaient. J’étais plus dur que jamais. La lascivité de Betty m’apparaissait au grand jour : sa gorge dénudée appelait au sexe, j’avais envie de la souiller de mon foutre… De faire jaillir des cris de sa bouche peinte en rouge… “Tu la veux ?” a murmuré ma femme à mon oreille. “Oui.” “Elle te veut aussi.” Betty a pris les devants et m’a allongé sur le canapé pour venir m’enfourcher. Chemisier ouvert, jupe relevée, elle frottait sa chatte à travers sa culotte contre mon gourdin gonflé. Ma femme avait pris place sur un fauteuil en face de nous et s’était mise à se masturber, jambes écartées nous dévoilant son sexe, tout en nous regardant.

Pendant que Betty se chauffait sur moi, je regardais la beauté de ma femme et sa manière si sensuelle de se donner du plaisir. J’étais encore plus excité dans cette configuration que si je l’avais trompée en cachette. La situation semblait exciter Betty aussi, qui se frictionnait contre mon pieu. Sur ma queue, je sentais le tissu de sa culotte s’humidifier. Elle était déjà toute essoufflée. Je la laissais faire, selon ses envies.

Voir son plaisir à elle aussi suffisait au mien. Elle a retiré sa culotte de sous sa jupe, ses seins étaient comprimés l’un contre l’autre hors de son soutif et de son chemisier, ils tenaient comme deux ballons de baudruche. Vision féérique ! La libraire a aspiré ma bite dans les replis de sa chatte et a continué de me monter avec toute la frénésie née de la frustration accumulée pendant plusieurs mois par le fait de ne pas baiser. Son bassin s’agitait dans une danse endiablée et mon sexe au coeur d’elle entrait en ébullition avec sa chair et ses muqueuses imbibées des sécrétions du désir.

Elle a aussi regardé ma compagne et a vu qu’elle se caressait. Les deux femmes ont joui en se regardant : deux corps affranchis qui jouissaient de la situation et de ma mise à leur disposition. Betty s’est dégagée de moi et m’a branlé, pour me rendre le plaisir qu’elle avait pris.

J’ai éclaté à mon tour en regardant son visage fasciné de voir le sperme se répandre sur sa peau et mon plaisir n’en fut que plus fort.

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