Troisième mi-temps 

La rédaction 20 mai 2021

Rachel, 38 ans accueille l’équipe de rugby de son mari pour un apéro. La soirée va très vite virer au corps à corps !

Mon histoire est une aventure comme on en lit que dans interstron.ru! J’espère vous ravir les yeux et l’imagination, mes petits canards ! Je suis une jolie femme brune de 38 ans et si les gens pensent parfois que je suis coincée sur le cul, sachez qu’il n’en est rien. Mon mari Julio l’a bien compris et il se méfie toujours de mes ardeurs sexuelles. Il en a eu une belle démonstration l’autre jour, dont il a toutefois profité comme il se devait… Je vous raconte dans cette histoire porno.

C’était une après-midi de match de rugby. Julio est dans une équipe locale avec plusieurs de ses amis et ils disputaient un match important. J’y assistais et je regardais tous ces corps testostéronés entrer en collision comme dans une arène de corrida. Ça avait le don de me faire me trémousser sur mon banc… Ces bustes musculeux, ces corps en sueur, ses rentre-dedans brutasses… J’ai visualisé un instant ce que ça donnerait de me retrouver coincée entre toutes leurs grosses paluches, comme un ballon oval à qui ils feraient un sort… C’est une pensée cochonne qui m’a accompagnée tout le long du jeu.

La fin du match a sonné : notre équipe avait gagné ! Je me suis levée pour les acclamer en sautillant et j’avais les seins qui bondissaient dans ma petite robe, à l’unisson de ma joie candide d’apprentie pom-pom girl. J’ai dit à mon mari que je filais à la maison préparer l’apéro pour les accueillir en triomphe.

Ils m’y ont rejointe quelques temps plus tard en chantant, bras dessus-bras dessous, encore pleins de cette énergie vigoureuse qui avait marqué le match. Ils s’empoignaient, trinquaient au champagne, me serraient dans leurs bras. Les phéromones me montaient à la tête. Les garçons me faisaient valser entre eux. C’était une belle brochette de rugbymen de quarante à cinquante ans, et bons vivants ! Grosses épaules, poigne ferme, belle virilité, un humour potache qui moi me fait rire, bref, je roucoulais de plaisir d’être parmi ces dieux du stade. En prime, je goûterais bientôt à leurs techniques de jeu éprouvées…

Julio me surveillait en coin, mais il semblait prendre plaisir à me voir passer de mains en mains, les joues rosies, et il paraissait flatté que je capte autant l’attention de ses camarades. Quant à moi, les images salaces qui m’étaient venues pendant le match refaisaient surface dans mon esprit et j’imaginais les choses déraper… J’étais loin de m’imaginer qu’elles déraperaient pour de bon.

C’est Lucien, un grand gaillard bien gaulé, qui a lancé les hostilités. « Et si on faisait tous un bisou à Rachel pour chaque point marqué ? » Il m’a poussé dans les bras de mon mari qui m’a roulé une grosse pelle bien baveuse, ce qui a le don de mettre le feu au plancher chez moi, et a attendu sa réaction. « T’as envie ? » a-t-il demandé à mon oreille. Les joues toujours plus roses, j’ai dit que oui. Alors il m’a délicatement conduite vers les bras de Lucien qui m’y a recueillie. Entourée de ses gros biceps, j’ai collé ma bouche à la sienne. Là, ça devenait carrément hot. De mon plein gré, je suis passée d’homme en homme pour fourrer ma langue dans leurs bouches. Mais quels préliminaires incroyables ! Je me délectais du mélange des sensations, de la diversité de leurs lèvres sur moi. Le champagne a coulé et nous en avons été aspergés. La musique a retenti. Nous avons dansé, mouillés de champagne, et les hommes se sont resserrés autour de moi. Mon homme s’est mis à me déshabiller et à me caresser au milieu des autres. Puis, par un accord tacite, ceux-ci se sont avancés pour me tripoter à leur tour. Je n’avais jamais eu autant de mains sur moi en même temps : sur mes cuisses, mes reins, mes seins… Mon cœur battait la chamade. Comment allait finir cette plaisanterie ? Est-ce que mon fantasme était actuellement en train de se réaliser ?

Emportée par ces caresses démultipliées, je me suis vite retrouvée à genoux. Là encore, j’ai commencé par honorer mon mari en enfilant sa bite dans mon sifflet, souffle coupé par la grosseur de son érection. Et encore une fois, j’ai vu tous ces corps boursouflés de musculatures d’acier se dresser tout autour de moi, leurs queues surgir de leurs futals et, sans même réfléchir, je me suis retrouvée à avaler des centimètres et des centimètres de bites – ils étaient au moins huit ! Différentes consistances et goûts se bousculaient au portillon. J’étais sous le feu de la rampe et cela m’étourdissait de désir. Qu’est-ce que j’allais prendre ! Je me suis retrouvée à quatre pattes à terre. Mon mari m’a prise en levrette, j’adorais ça !

Les autres se branlaient en nous regardant ! J’avais l’impression d’être une star du X en plein tournage… Quel délire ! Puis j’ai offert ma croupe à ses messieurs qui se sont pressés pour me fourrer les uns à la suite des autres. Là encore, multitudes de grosseurs, de rythmes de sensations dans mon minou enchanté… J’étais une diablesse qui se démenait : cambrée en tous sens, des queues qui lui entraient par toutes les extrémités. Pendant que l’un me besognait, un autre me doigtait le cul, le suivant s’y enfonçait en me tirant des cris de chienne, un troisième me baisait la bouche… Mon corps était sollicité sans répit… Il enregistrait tellement de stimulations et d’excitation visuelle que les orgasmes me cueillaient les uns après les autres. Je n’étais qu’un vaste réceptacle de plaisirs… Eux aussi ont giclé tour à tour et nous ne savions plus quelle substance, du sperme ou du champagne, nous recouvrait tous.

C’était une soirée de victoire mémorable et, à chaque nouveau match, son souvenir nous traverse et fait bander mon mari un peu plus dur.

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