Sextos : l’imagination au pouvoir (2/2)
31 août 2017Comme nous l’indiquions dans notre dossier, il y a quelques règles élémentaires à respecter pour sexter en toute tranquillité. Voici les quelques impairs que vous devrez éviter autant que possible.
- N’envoyez pas de photos de votre anatomie à n’importe qui sous prétexte que vous avez son numéro de téléphone. Ça pourrait paraître élémentaire, malheureusement, les hommes qui envoient leur pénis en érection à ces dames sont légion !
- Veillez à une orthographe aussi correcte que possible. Tout comme sur les sites de rencontres, ceux qui font un effort pour écrire correctement rassurent et marquent des points. Tous les appareils sont équipés de correcteurs orthographiques, bon sang ! On ne vous demande pas de faire la dictée de Pivot, mais un minimum de qualité dans la rédaction de vos missives vous donnera plus de chance et montrera l’attention que vous accordez au petit jeu du sexting.
- Évitez autant que possible les émoticônes mignonnes qui donnent un air faussement innocent à vos paroles et en réduisent l’impact érotique. Un petit cœur par-ci, par-là, pourquoi pas, mais douze de suite avec des raquettes de tennis, des caniches et des étoiles, non. Si vous lisez ce magazine, vous n’êtes pas mineur… Exprimez-vous en adulte, cela sera plus sexy. Promis.
- Ne vous lancez pas dans de grandes tirades sur une pratique sexuelle que vous n’avez jamais essayée, votre interlocutrice s’en apercevrait rapidement.
- N’envoyez pas de sextos à quelqu’un qui ne s’attend pas du tout à avoir ce genre de rapports avec vous. Il faut vous assurer qu’il s’agit bien d’une personne qui est entrée dans le jeu du sexting avec vous et qui veut y participer.
- Évitez les sextos après plus de trois verres. Vous diriez n’importe quoi et risqueriez de brûler tous vos vaisseaux.
- Cela vous paraîtra paradoxal après toutes les mises en garde citées, mais ne soyez pas trop timide non plus ! Si le jeu est lancé, il faut y aller pour de bon. C’est comme lorsque l’on fait l’amour : la prise de risque est récompensée par une montée de température et une accélération du rythme cardiaque !
- Si vous vous amusez à sexter dans un contexte extraconjugal, pensez que votre destinataire n’a pas forcément envie de recevoir des « ding » et des « dong » à n’importe quelle heure du jour et de la nuit. Privilégiez les heures de travail, par exemple. Et si c’est vous qui trompez votre moitié par texto, passez en mode furtif et pensez à nommer votre contact avec une appellation innocente : « Alain – bureau » par exemple, ou « tata zinzin ». Autant que possible, cherchez à supprimer les notifications sonores. Mettre les messages précédents à la poubelle régulièrement peut s’avérer utile aussi… Objectif : discrétion !
A lire aussi : « Sextos : l’imagination au pouvoir (1/1)
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