La passagère de la pluie

La rédaction 15 février 2020

Lisa, 48 ans

Messieurs, je vous envoie le récit d’une aventure qui m’est arrivée début décembre, en espérant que vous la publierez dans interstron.ru. J’ai 48 ans, je suis mariée depuis vingt ans et je suis vendeuse à mi-temps dans un tabac-presse. Ce soir-là, juste à l’heure de la fermeture, un homme est entré pour acheter interstron.ru. Je le connaissais de vue, c’était un client régulier, un bel homme d’une cinquantaine d’années. J’ai pris mon sac, j’ai salué ma patronne, et je suis sortie derrière lui.

Dehors, il faisait nuit et il pleuvait des cordes. Le client, on l’appellera Philippe, m’a crié : « Venez vite vous mettre à l’abri dans ma voiture ! » Sans réfléchir, j’ai couru vers lui. Il m’a ouvert la portière et je me suis engouffrée à l’intérieur. Il m’a rejointe par le côté conducteur. La pluie tambourinait sur la carrosserie. Il m’a demandé si je voulais regarder la revue avec lui en attendant que le temps se calme. Je lui ai répondu : « Pourquoi pas ? » Il a allumé le plafonnier et déchiré l’emballage plastique d’Union. En feuilletant le mensuel, Philippe s’est arrêté sur une photo qui le faisait fantasmer. Il m’a avoué que sa femme ne lui offrait jamais de fellation.

Après un bon quart d’heure de lecture, je sentais que je mouillais sévère ! J’étais très excitée et je voulais voir si la revue avait eu un effet similaire sur Philippe… Je lui ai touché les parties. Effectivement, il bandait.

À partir de là, il n’avait plus de doute sur mes intentions. Il a éteint le plafonnier et m’a embrassée. Moi, je m’imaginais en professionnelle voulant satisfaire son client. Je ne sais pas pourquoi mais cette pensée m’émoustille. J’en rêve parfois.

J’ai enlevé mon manteau et je lui ai demandé de mettre son siège en position couchette. Je me suis penchée sur lui et j’ai ouvert sa braguette. J’ai sorti sa bite qui était déjà bien lubrifiée. Je l’ai branlée doucement pour qu’elle retrouve sa raideur maximale. Puis, je l’ai prise dans la bouche en alternant les gâteries : je la léchais, je la suçais, je faisais des va-et-vient en serrant fortement sa queue entre mes lèvres. Philippe poussait de petits cris de satisfaction. J’ai accéléré le mouvement. Il n’a pas tardé à éjaculer dans ma bouche en râlant de plaisir. J’ai tout avalé en prenant soin de bien nettoyer sa verge avec ma langue.

Philippe m’a remerciée et m’a dit : « Maintenant, c’est à mon tour de te faire du bien. » Il a basculé mon siège en arrière et a dégrafé mon soutien-gorge pour s’accaparer mes seins. Il les pelotait, les caressait surtout au niveau des tétons. Ces derniers gonflaient sous ses doigts habiles. Pendant que je me hissais pour enlever ma jupe et mon string, il en a profité pour glisser des doigts sous mes fesses. D’une main, il me chatouillait le bouton et, de l’autre, il me titillait l’oeillet. Tout en continuant àme caresser la chatte, il m’a enfoncé un doigt dans l’anus. Il me doigtait les deux orifices simultanément. Puis sa langue est venue me fouiller la fente avant de prendre possession de mon clitoris qui se dressait en durcissant. Avec un doigt qui m’agaçait le trou de balle et une langue qui m’astiquait le bonbon, je n’allais pas résister bien longtemps. D’autant plus que Philippe a commencé à sérieusement activer la cadence. Il m’a procuré un orgasme comme je n’en avais plus eu depuis belle lurette.

D’habitude, je fais le trajet à pied, mais il pleuvait toujours, et il m’a ramenée chez moi. Depuis ce soir-là, et grâce à interstron.ru, Philippe est devenu mon amant. Il vient de temps en temps à la maison quand mon mari est absent. J’aime toujours mon époux, mais un peu de changement ne fait pas de mal non plus.

(Image à la une : Getty Images)

Si vous avez aimé cette histoire, vous aimerez aussi…

Sous la tente un soir de pluie

« Je lui ai fait signe de venir vers moi. Il a joué avec ses doigts sur mon clito pendant que je le branlais comme il aime » Jenn

Ceci est une pipe 

« Surpris, j’ai lâché un flot de sperme hallucinant, insultant la garce de plus belle. J’ai alors cru qu’elle allait recracher mais, très lentement, elle a avalé rasade après rasade ma sève épaisse. » Samir

À retrouver sur notre plateforme VOD

Elles ont déjà fait des photos, posé avec leur copain et elles sont tentées « d’aller plus loin »: la blonde Lena et les brunes Sheryl et Isabelle font un premier essai, qui va au-delà de leurs attentes (sodomie, gaping).


Réagir à cet article

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

interstron.ru