Histoire érotique : un patron inoubliable

La rédaction 15 mai 2020

Clara, 24 ans.

Bonjour à tous les lecteurs d’Union. Je vous écris à la demande de mon patron, Louis. C’est lui qui m’a fait découvrir votre revue, nous l’avions lue une fois ensemble sur son lit, alors que sa femme était partie dîner avec des copines. Parce que oui, comme vous l’avez certainement deviné, je suis l’amante de mon patron. Cette relation illégitime signifie beaucoup pour moi, et pour rien au monde je m’en passerais !

Tout a commencé il y a un mois environ, ma mère en avait marre que je traîne toute la journée dans ses pattes, elle m’a fait une scène comme quoi j’étais assez grande et mature pour trouver un boulot, ainsi qu’un appartement. Du coup, j’ai tapé aux portes des bars et restaurants en bas de chez moi. Je n’avais pas vraiment d’expérience dans le secteur, alors quand Louis, qui tenait un petit bar pour une vingtaine de couverts, m’a proposé de venir bosser pour lui, je n’ai pas fait la fine bouche. Le salaire était correct, par mirobolant mais suffisant pour louer un studio pas loin de chez moi.

Louis m’a tout de suite prise sous son aile, au départ comme un papa poule (une sorte de père que je n’ai jamais eu, le mien m’a abandonnée à la naissance) ! Il prenait systématiquement ma défense quand un client se montrait un peu agressif et m’autorisait à sortir plus tôt quand j’avais bien bossé. Il me donnait même parfois quelques petites leçons d’œnologie, de dressage ou de cuisine. Un vrai papa, je vous dis ! Au bout d’un moment, j’ai bien senti que notre relation glissait vers quelque chose de plus fort, de plus profond. Un soir, alors qu’il refaisait les comptes, et qu’il manquait 50 euros dans la caisse, il m’a demandé si je ne me souvenais pas avoir fait une erreur, dans l’empressement. Ça arrive parfois, sur 2 ou 3 euros, mais 50, ça fait beaucoup sur une journée !

Il m’a dit que tant pis, il se priverait de resto ce soir pour compenser. Il nous a cuisiné une petite tambouille pour tous les deux. On a rigolé toute la soirée, et de fil en aiguille, on s’est embrassés. Et depuis, il m’a fait découvrir plein de choses ! Je n’y connaissais pas grand-chose à la sexualité, je n’étais pas même très féminine. Et la première chose qu’a fait Louis, c’est de m’acheter un superbe ensemble sexy : porte-jarretelles, string en dentelles, bas résille, je ressemblais à une vraie princesse !

Quand je me suis présentée à lui la première fois (nous ne faisions l’amour que chez lui, quand sa femme n’était pas là), j’ai bien vu que je le troublais un peu. C’est vrai qu’il ne devait pas avoir l’habitude de la différence d’âge, moi aussi, je trouvais ça bizarre. Mais j’étais hyperexcitée à l’idée de coucher avec un vieux (bon 40 ans, mais ça reste vieux !). Il m’a demandé de le sucer d’abord, et moi, je ne savais même pas comment faire ! J’ai essayé un truc avec ma langue, mais Louis m’a montré comment pomper, il a même lancé un film porno pour m’expliquer, en me disant que je n’étais pas non plus obligée d’en faire de trop ! La fille avait un maquillage dégueulasse, je me suis dit que ce ne serait pas mon truc.

Finalement, en prenant bien sa bite en bouche, j’ai trouvé ça supersensuel, même si ça fait un peu mal à la mâchoire. Moi, ce que je préfère, c’est quand il me fait des cunnilingus, et il adore ça en plus ! Il trouve ma chatte très fraîche, toute lisse, ça le change de ce qu’il a d’habitude à la maison, comme il me dit. En plus, je ne peux jouir que comme ça. Louis a donc pris pour habitude, à la fin de notre rapport, de me lécher bien comme il faut le clito pour que j’aie du plaisir aussi.

Écrire pour vous, c’est aussi une étape dans notre couple, il voulait que je pose des mots sur notre relation.

Voilà, Louis, c’est fait ! J’espère que tu as apprécié mon récit, même si je suis restée très sage. Peut-être que dans une prochaine histoire, je me lâcherai un peu plus et que j’oserai enfin dévoiler les fantasmes qui me tiraillent tant !

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Ma belle patronne

« Ensuite, à mon tour, j’ai léché son doux bouton et nous sommes parties dans un 69 d’enfer. J’ai mouillé, j’ai remouillé… Lisa introduisait sa langue au plus profond de mon sexe, allant chercher ma mouille à la source. » Valentine, 22 ans.

Un patron très curieux

« Il m’a baisée en jouant avec mes seins, puis il s’est retiré de ma chatte et a trouvé facilement le chemin de mon petit trou dans lequel il s’est engouffré avec violence. Il m’a fait mal, mais le plaisir a vite repris le dessus. Je sentais ses couilles cogner à l’entrée de mes fesses à chaque va-et-vient. Il m’enculait en m’insultant et j’adorais ça. »Alicia, 32 ans.

À propos de l’auteur

La rédaction


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