Sucette gourmande

La rédaction 29 janvier 2023

Je m’appelle Océane, j’ai 29 ans et je tiens à vous partager une histoire porno qui m’a mis le feu !

La belle au bois dormant

J’ai rencontré un pompier assez sexy il n’y a pas si longtemps. Je suis une coquine dans l’âme lorsqu’un homme attire mon attention. Je sais quelles sont mes qualités et surtout comment les faire craquer. Certains me qualifient de gourmande et ce n’est pas pour me déplaire ! Il faut avouer que j’ai un penchant tout particulier pour les sucettes. Je ne parle évidement pas des sucreries pour les enfants, mais bien des sucettes pour adultes !

J’ai commencé par lui lécher les bourses, elles avaient un relent vinaigré qui n’était pas pour me déplaire. En plus, j’adore cette peau douce dont sont pourvus les hommes sous les couilles (la « table basse » comme on dit dans la série Weeds).

J’ai vu son monstre marin s’éveiller lentement sous mes yeux ébahis. Quelle jolie bite il avait ce Thierry ! J’étais persuadée qu’il commençait à se réveiller, mais qu’il persistait à faire semblant de dormir. Il aimait bien jouer à la belle endormie, c’était mignon. Ça m’a encouragée à m’appliquer, je voulais le gâter mon petit prince. Je le léchais de bas en haut, j’étalais toute ma salive le long de sa lance à incendie.

Je m’acharnais particulièrement sur son gland en forme de champignon. Je roulais littéralement des pelles à son engin qui durcissait lentement mais sûrement. Tout à mon affaire, je n’ai même pas remarqué qu’il était absolument réveillé et qu’il souriait de toutes ses dents en me shootant avec le numérique qu’il venait d’avoir pour son anniv’. Le délicieux salopiaud !

Un palais d’experte !

J’oscillais entre le courroux et le comble de l’excitation sexuelle ! J’ai tranché (enfin, façon de parler) et j’ai englouti son pénis qui a presque vibré de plaisir dans ma bouche. Je l’ai pris jusqu’au fond, la pointe de Thierry a touché ma glotte, je l’ai même un peu forcée dans l’entrée de ma gorge. J’étais épatée par ma propre performance, mais sa bite était tellement gonflée que j’aurais pu la sucer des heures durant. Je l’ai pompé mon Thierry, pompé !

Je montais et descendais à une cadence folle, je caressais ses boules bien fermes. De temps à autre, je le sortais pour jouer avec. Je secouais mon chouchou de chair et je lui faisais subir les « supplices » les plus abominables, je le mordais même un peu pour venger mon droit à l’image scandaleusement bafoué. À un moment, j’ai tenu le membre bien droit devant mon visage et je me suis approchée lentement. Je lui ai fait sentir mon souffle chaud, je voulais qu’il sache que j’allais le polir jusqu’à ce qu’il me balance tout son foutre au visage.

J’aime bien expérimenter avec les jouets des messieurs et là, j’avais tout mon temps. J’ai humecté le bout de mon index à la source de ma chatte débordante de mouille et j’ai massé le dessous du gland dans un mouvement circulaire rapide, puis lent, puis rapide… Pendant ce temps-là, je lapais la base de son bâton d’amour. Il m’a demandé d’accélérer, je me suis exécutée avec bonheur. Je l’ai branlé vigoureusement, des deux mains. Je voulais qu’il vienne.

Il s’est raidi, j’ai approché ma bouche bien ouverte. « Jouis chéri, jouis-moi sur les dents, sur la langue, jouiiis que je t’avale ! » Il a obéi. J’en avais partout, dans les yeux, les cheveux, sur les joues. J’ai avalé tout ce que j’ai pu. J’ai fait une toilette de chat à sa queue qui continuait à produire quelques gouttes sous la pression de mes doigts qui la pistonnaient.

Il avait les yeux écarquillés. Il n’avait pas jouis comme ça depuis longtemps ! Inutile de vous dire qu’il ne me quitte plus depuis ce jour. Mesdemoiselles, Mesdames… Prenez-en de la graine : si vous voulez garder votre homme, sucez-le bien !

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