L’abricot de la maraîchère
17 avril 2016Marina cultive elle-même ses fruits et légumes. Tomates, aubergines, salades, melons… Le jeune Gautier, venu faire son marché, ne sait plus où donner de la tête. Bien vite, incapable de faire un choix, le garçon va décider de déguster le plus juteux des abricots…
Aaaah… L’arrière saison ! Enfin ! Rien de tel pour profiter de notre belle région… Les touristes sont partis, il fait toujours beau, les plages sont tranquilles, et les places des villages retrouvent leur calme si agréable. J’en profite pour aller faire mon marché tous les samedis à midi, juste après le travail.
Un peu de ci, un peu de ça, et beaucoup de fruits et légumes… Pour certes garder la ligne, mais surtout pour les beaux yeux de la maraîchère, Marina. Elle est toujours habillée très sexy, et depuis quelques semaines je la sentais assez coquine. Notre différence d’âge l’excitait, je le sentais bien, et moi aussi ça me plaisait à vrai dire. Quand j’ai reniflé un beau melon bien mûr, elle m’a bien fait profiter des siens… J’ai senti une ouverture !
Elle m’a emmené chez elle pour boire un café… Tu parles, Charles ! On a passé la porte et on s’est jeté l’un sur l’autre. Je me suis vite retrouvé assis sur la table de la salle à manger.
Elle a tiré sur ma braguette violemment. Elle avait faim la maman, une vraie vorace ! Elle m’a pompé le gland en experte. Ça bavait fort sur la pompe à coulisse. Elle avait une tellement grande bouche qu’elle me prenait entièrement. Elle aurait même pu placer les bourses avec, je crois bien ! C’était délicieux sa façon de me sucer. Elle me léchait la pointe de la queue avec mille précautions et, en même temps, un certain empressement. Elle attendait ça depuis longtemps, c’était évident.
Mais c’était à mon tour de descendre à la cave maintenant ! Je l’ai soulevée pour la jucher sur la table, j’ai arraché son petit short de grande gamine pas sage et j’ai tiré sur sa culotte qui fleurait bon la femme qui travaille…
J’ai aspiré un grand coup et j’ai léché, léché, léché, jusqu’à ce qu’elle jouisse en roucoulant. Elle avait le bon goût des choses simples, à l’ancienne. C’était comme de rentrer à la maison. Elle a coulé sur la nappe plastifiée.
J’ai baissé mon pantalon et je l’ai déshabillée un peu plus. Elle a écarté les cuisses comme une femme qui avait déjà connu de sacrés bonhommes.
Sa chatte était un vrai paradis, j’y suis entré à petits pas, j’ai savouré chaque millimètre. C’était bouillant à l’intérieur. Mes couilles sont venues toucher ses fesses. J’ai pris tout mon temps pour faire quelques allers-retours bien inspirés. J’ai senti qu’elle contractait tous ses muscles avec une grande maîtrise. Cela faisait longtemps que je n’avais pas baisé une meuf aussi bonne. Elle aimait vraiment faire l’amour, c’était évident, une véritable jouisseuse de la vie. Le genre de nana qui sait vraiment préparer un cocktail et qui fait tout avec passion.
Elle a chaviré sa tête en arrière et m’a agrippé par les fesses pour me faire venir plus loin en elle, ouh la tigresse ! J’étais son sextoy, ni plus ni moins. Ce qui était parfait, en fait. J’ai joué le jeu. Je me suis laissé aller sur elle. Elle voulait de la queue de jeunot ? Elle allait en avoir ! J’ai donné tout ce que j’avais, tout en essayant de ne pas jouir trop rapidement. La jouissance me menaçait déjà, et je ne voulais pas passer pour un gamin.
J’ai commencé à ralentir pour ne pas venir. Elle m’a capté et m’a donné un regard du genre « hé ho, on n’a pas fini là ». Je lui ai dit que j’avais besoin d’une toute petite pause. Elle en a profité pour se retourner, mais j’ai compris qu’il allait falloir me rattraper.
Ce que j’ai fait, je crois ! Je l’ai chopée en levrette sur la table et je lui ai défoncé la chatte franchement. Ce qui était beau, c’est qu’elle ne prenait vraiment son pied que quand elle se faisait vraiment niquer comme une cochonne. Je venais seulement de le comprendre.
J’ai mis tout ce que j’avais. Elle a commencé à prendre quelques claques sur le cul tout en encaissant des coups de reins de plus en plus puissants. Elle kiffait bien. Mais moi je fatiguais à nouveau !
Je me suis allongé sur la table à sa place, et nous avons repris nos jeux de sexe.
Elle est venue s’empaler sur mon membre qui devenait presque douloureux.
Mais dès que je suis revenu en elle, toute souffrance s’est transformée en plaisir. Elle était déchaînée. C’était son tour de jouer les sextoys. Je l’ai secouée comme un flipper. Bam bam bam, flop flop flop, han han !
On s’éclatait comme des bêtes, quelle partie de baise incroyable ! Ça sentait le cul dans la pièce, c’était la cage aux fauves. Elle était lionne et j’étais lionceau. Quand elle a attrapé mes couilles à pleine main pour me donner encore plus de bonheur, j’ai senti la jouissance monter à nouveau. J’ai ralenti, mais ses assauts étaient implacables. Je me suis retenu comme j’ai pu, j’ai pensé à des trucs dégueulasses… Problème : ça m’excitait encore plus ! Heureusement pour moi, elle a commencé à montrer les premiers signes de fatigue. Sa cadence est descendue à un rythme plus raisonnable. J’ai pris le relais en soulevant ses fesses lentement. De grands coups de hampe, bien profonds, bien appuyés. « Tu vas me tuer, toi !, a-t-elle concédé, tu me troues, tu me perfores ! Beau petit salaud ! Il va falloir que tu m’encules maintenant, j’en ai besoin, je veux ta bonne queue dans mon cul, vite ! »
Cette petite supplication annonçait bien des délices à venir… Rien que de l’entendre dire de telles saloperies, j’ai failli gicler ! Mais je n’en avais pas tout à fait fini avec sa minette. Je me suis amusé encore quelques minutes à la perforer. Apéro, mise en bouche, entrée, trou normand, plat de résistance… On approchait à grands pas de la mousse au chocolat !
Le moment était venu de se décider pour cet orifice « le moins lisse » dont parlait Gainsbourg. « Encule-moi petit con, vite avant que je ne change d’avis ! »
Je l’ai basculée sur la table, tranquillement, sans me presser. J’ai pointé mon gland tuméfié sur son petit œilleton, j’ai tapoté ma bite dessus pour jouer à Toc-toc, qui c’est. Ce n’était certainement pas le plombier, ça je peux vous le dire ! Enfin, j’avais un outil spécial pour explorer les conduits de la dame, mais l’ouvrier qualifié c’était plutôt elle !
Elle a pris ma queue et se l’est entrée toute seule dans le cul. C’est passé comme dans du beurre qui n’aurait pas vu la lumière du frigo depuis une bonne semaine ! Elle a poussé le son rauque de la grosse chatte qui se fait un gang bang en bas de votre fenêtre un soir de pleine lune. Je suis allé en elle jusqu’à ce que mes couilles s’arrêtent contre son périnée. Dieu qu’on était bien là-dedans !
Son anus se resserrait autour de ma bite. Je me suis reculé. Et je suis revenu en avant. Dé-li-cieux. Du coup, j’ai tenté le sprint. Fini le contre-la-montre ! J’ai coulissé de plus en plus vite. Mes couilles tapaient à une cadence folle, j’ai failli la faire tomber de la table, nos culs pleins de sueur glissaient sur la nappe. Elle criait à présent, on ne faisait plus mumuse, c’était de l’amour torride, du 100 % matière grasse.
Ma jolie daronne était au septième ciel, j’ai mis tout ce que j’avais à donner. Nos chairs se mélangeaient dans une harmonie parfaite, nous n’étions plus qu’un seul corps. Ma lance en feu allait bientôt cracher des torrents de plaisir. Je l’ai prévenue.
Elle a sauté par terre pour me finir. Elle a commencé à me branler, je lui ai dit : « Laisse, je m’en occupe. »
Elle a caressé ses magnifiques melons pendant que je me suis astiqué face à son visage, ça montait, montait, montait… Et le feu d’artifice est parti. Je l’ai absolument recouverte. J’avais vraiment une grosse réserve ! Elle a étalé toute ma semence sur sa belle poitrine. Elle s’est caressée avec, elle a même goûté du bout du doigt. Puis, elle a recommencé à me pomper pour me nettoyer tout comme il faut.
J’avais pris un pied monumental avec cette belle fleur de femme. C’était vraiment la journée parfaite !