
Ca pine à la piscine
2 octobre 2025Julia s’accorde un petit bain de soleil au bord de la piscine pour parfaire son bronzage estival. Quand deux beaux mâles se proposent gentiment de la couvrir de crème protectrice personnelle, comment refuser un tel altruisme ? Attention, Julia, on a dit que la crème solaire n’était pas comestible !
Julia venait à peine de s’installer sur sa chaise longue pour laisser les rayons du soleil mordre sa peau et la parer d’une armure de bronze que les deux piscinistes venus pour entretenir le bassin bleu azur s’approchaient d’elle !

Quoi de mieux, alors, que de joindre l’utile à l’agréable en profitant de deux belles bites ainsi que de leur onguent épais et de leurs possibles effets prophylactiques !?
Jimmy fut le premier à venir roder autour d’elle, se déplaçant à quatre pattes, imitant un toutou bien sage et curieux. Il fit éclater de rire la sublime Julia, qui ne referma pas ses cuisses, non plus qu’elle ne tentât de cacher son sein, en proie à la morsure de Râ en personne.
Bien au contraire, lorsque le pisciniste, ayant fait le tour du dossier, réapparut à sa droite, elle afficha un sourire encore plus entendu et écarta les jambes plus largement tout en dénudant son second mamelon.
Le consentement était muet, mais néanmoins très franc et très clair !
Jimmy émit un sifflement, juste avec ses lèvres et sa langue pour avertir Olivier, son collègue, affairé à ramasser des feuilles à la surface de l’eau avec une épuisette. Intrigué par cet appel autoritaire (Jimmy n’avait rien d’un dictateur), il abandonna son outil et se rapprocha du duo déjà à touche-touche. Son patron caressait le mollet de la propriétaire des lieux et son short ne parvenait pas à dissimuler une très forte érection, il avait même l’impression de voir un gland dépasser du caleçon.
Tout en se dirigeant vers le couple, il ne put que constater qu’il avait raison, son boss bandait comme un beau diable et il comprit vite pourquoi, celui-ci avait les yeux rivés sur la chatte de Julia et, du bout des doigts, commençait à effleurer des nymphes totalement imberbes, un coquillage qui était ouvert et dont la brillance ne pouvait provenir que d’une chose… la dame mouillait abondamment.

Julia avait eu, à quelques reprises, l’occasion de jouer avec deux hommes en même temps, mais jamais avec deux athlètes aussi bien balancés, de surcroît, propriétaires de si grosses et jolies bites !
Elle ne fit qu’une bouchée du duo de priapes qui l’entourait.
Une aspiration à droite, une léchouille à gauche, un lent coup de langue sous une colonne, une gorge profonde à son vis-à-vis, elle voulait obtenir deux phallus roides comme l’airain, tout en espérant que ces deux amants providentiels allaient savoir tenir la distance.
Elle aimait par-dessus tout que les frénésies sensuelles durent longtemps, le plus longtemps possible. Elle agitait une main tandis que sa bouche s’appliquait en une fellation des plus torrides sur Jimmy, puis elle renonçait à la queue qui émergeait d’une touffe de poils entretenue pour avaler la gaule d’Olivier, masturbant le manche délaissé.
Elle s’activait en rythme, ne laissant aucun de ses deux amants sans caresse ou effleurement. Sur sa langue, les sucs des deux vits se mêlaient, comme une gorgée d’eau de mer, salée et puissante. Elle abandonna tout de même ses deux jouets quelques instants pour permettre à ses Apollons de se dévêtir entièrement. Plus libres de leurs mouvements, ils prirent l’initiative, la baisant à tour de rôle par la bouche. Julia prenait bien soin d’arrondir ses lèvres en forme de « O » et en recouvrait ses dents afin de ne prendre aucun risque avec les outils de ces messieurs.
Les glands s’enfonçaient de plus en plus profondément dans son canyon et elle mouillait de plus en plus fort, ses mamelons et ses tétons en proie à des érections exponentiellement violentes.
Olivier saisit sa chance lorsque Julia chavira sur le côté, offrant l’intégralité de sa féminité à ses regards pleins d’appétit, l’occasion était trop belle. Le bout de sa queue se retrouva juste en face de l’accès au vagin, trou rose et luisant de cyprine. Il n’eut qu’à bloquer les cuisses de la sulfureuse blonde pour les écarter au maximum et laisser basculer son bassin vers le sol, sa colonne se ficha dans le fourreau naturellement. La tige se logeât dans cette gangue de chair brûlante jusqu’à la garde, ce qui ne fit, en rien, réagir Julia, qui, après un léger sursaut de plaisir, reprit sa pipe avec Olivier.
Ce dernier finit, à son tour, par se libérer de son maillot de bain. Son sexe entremêlé dans le tissu n’autorisait pas une fellation complète. Enfin affranchi de toute entrave, il bénéficia encore un instant des délices buccaux de leur donneuse d’ordre pour, finalement, s’allonger sur le dos, lançant une invitation muette à toutes les folies.
Il n’en attendait pas tant. Julia en profita pour s’accroupir, les hommes échangeant leurs rôles, et se laissa coulisser lentement sur le chibre dirigé pile sur sa petite étoile ! La sodomie fut aussi facile que surprenante, la queue du beau blond se retrouvant prisonnière d’un tunnel étroit et serré, alors que son comparse reprenait le chemin d’une pipe interprétée magistralement, sa bite étouffant, cette fois, les premiers râles de leur amante commune.

Julia n’avait finalement conservé, en guise d’ornements, que son collier de fleurs, ses plus magnifiques apparats étaient libres d’accès, ses seins gonflés, sa vulve et son anus totalement disponibles aux caresses et à bien plus encore. Sa bouche gourmande restait aux aguets de la moindre occasion de montrer l’étendue de ses talents de pipeuse.
Elle ne fut pas déçue, la farandole qui suivit aurait pu s’apparenter à un chariot de desserts et de diverses douceurs, plus suaves et sensuelles les unes que les autres. Jimmy et Olivier, n’avaient de cesse de réinventer les positions du Kamasutra, laissant juste de faibles répits à leur hôtesse entre deux assauts menés tambour battant par des pénis massifs et vigoureux.
Même pas le temps de s’attarder sur un cunnilingus – proposé pourtant et par l’un et par l’autre –, Julia voulait qu’on la prenne, qu’on la pénètre, elle désirait caresser, sucer, branler ces deux merveilleuses queues et surtout, surtout, que Jimmy et Olivier la portent au paradis en la limant par tous les orifices.
Le ronronnement du moteur de la piscine au loin était en partie couvert par le chant entêtant des cigales de notre belle Provence, mais surtout par les cris désormais totalement lâchés par Julia, qui encourageait ses amants à la défoncer de plus en plus fort.
S’offrant enfin en levrette, elle n’hésita pas à écarter ses fesses de ses propres mains, montrant et ouvrant la voie au chibre de Jimmy.
Ce dernier n’avait toujours pas honoré son petit trou et elle était bien décidée à accueillir ses deux chevaliers servants dans tous ses puits d’amour et de plaisir.
La bite du blond était encore plus épaisse que celle du brun, un crachat pile au centre de la cible désormais entrebâillée des œuvres d’Olivier et le braquemart imberbe s’enfonça lentement dans le rectum souple.
Quelques poussées supplémentaires et les couilles vinrent au contact de la chatte toute lisse pour mieux reculer et gagner de l’élan pour le prochain coup de boutoir.
La chaleur était accablante, les corps du trio luisaient d’une sueur toujours plus abondante. Ils prirent le temps, après que Julia ait joui de nombreuses fois, d’aller piquer une tête dans la piscine toute proche, les mains féminines continuant de tripoter les queues de ces messieurs, histoire qu’ils ne débandent pas. Son appétit était aussi féroce qu’au début de leurs ébats !
De retour sur les serviettes, la jeune femme consentit enfin à ce que les garçons donnent leur langue au chat … ou plutôt à sa chatte.

Écartant grand ses jambes longilignes, elle libéra ses appâts sensuels. Sa fente dégorgeait toujours d’un suc visqueux qui dégageait des relents de désir très fort. Son anus, palpitant et lisse, était un écueil sur lequel elle souhaitait éperdument que les appendices s’échouent.
Quelques contorsions masculines plus tard, la satisfaction de se sentir léchée de partout la gagna, ça papillonnait du côté de son anneau qui se relâchait de nouveau, ça gigotait le long de son sillon avant de se fixer sur son clitoris exacerbé. Sa petite excroissance à l’innervation magique se révéla, cette fois-ci encore, le catalyseur de son énième orgasme.
Les frétillements se muèrent en milliers de picots qui, une fois libérés, fusèrent dans toutes les directions. Le plaisir envahit son vagin et son anus, pour finir par se réunir en une décharge électrique qui fit imploser son cerveau.
Julia était prête pour le grand final, mais, préalablement à la dégustation des mâles semences, elle était bien décidée à profiter d’une dernière folie, après tout, elle n’avait pas deux queues sous la main tous les jours.
Pour la dernière fois de l’après-midi, elle s’empala de nouveau sur l’un des chibres, lui offrant son cul accueillant et assoupli par l’anulingus qu’elle venait de recevoir. S’enculant sans difficulté, elle saisit la verge libre et dure de son second amant pour la pomper de toutes ses forces.
Elle voulait que les deux engins soient au top de leur forme et que leurs érections soient les plus fermes possibles. Contente du résultat de sa fellation, elle invita Olivier à mettre son chibre dans sa chatte.
Le beau brun se faufila dans l’espace réduit qui lui restait et guida sa queue vers l’orifice disponible. Les hommes s’accordèrent spontanément. Lorsque l’un reculait et sortait du trou qui lui avait été imparti, le second s’enfonçait de l’autre côté, pistonnant une Julia de plus en plus vociférante, les yeux révulsés et se pinçant les nichons, pointant ainsi le meilleur combo envisageable à ces deux forces de la nature qui la travaillaient sévèrement au corps.
L’apogée ne tarda pas, un orgasme encore plus fort que les précédents traversa la silhouette de la blonde incendiaire, elle semblait repue, mais Jimmy et Olivier ne l’entendaient pas de cette oreille, aussi échangèrent-ils, une fois de plus, leurs places.
Julia eut un sourire carnassier, elle allait leur montrer ce qu’elle pouvait encaisser et surtout, avec quelle maestria elle allait les mener, eux aussi, au plaisir.

Les chairs s’entrechoquaient de plus en plus violemment, les sons du sexe résonnaient aux tympans de Jimmy et d’Olivier. Les yeux rivés sur leurs manches écartelant la belle Julia, l’excitation montait crescendo.
Lorsqu’elle leur demanda de se retenir pour qu’elle puisse boire leur foutre, le point de non-retour fut atteint. Ils s’extirpèrent au plus vite de leur rocambolesque position et se branlèrent avec acharnement jusqu’à sentir les prémisses de leur éjaculation arriver.
Ils remplacèrent prestement leurs mains par celles de Julia, qui continua à impulser des mouvements de va-et-vient énergiques. Les premières gouttes apparurent à l’orée des méats, timides et translucides, puis les jets de semence explosèrent quasi en même temps.
Les filets de sperme crémeux se répandirent sur le visage et la poitrine de Julia, épuisée, mais heureuse de cette apothéose.
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CyberA
Texte un peu long. Très belles photos 10 et 12.












