Soumises, mode d’emploi

La rédaction 16 décembre 2025

Dominant depuis une dizaine d’années, j’ai deux petites créatures à mes pieds en ce moment. Une blonde, Chantal, et une brune, Jeanne, dont vous ne verrez pas les traits, car elle a un poste très haut placé dans un ministère sensible et régalien. Les deux me sont totalement dévouées, masochistes modérées, mais surtout, affamées de grosses queues. Voici mon histoire de sexe érotique.

Compagnon de baise

Ayant beaucoup de copains célibataires ou, sexuellement, malheureux en ménage, il ne m’est pas très difficile de trouver des compagnons de jeu. Mathieu est de loin mon meilleur ami et il a nombre des qualités requises pour participer à mes soirées orgiaques. Notamment, il est extrêmement bien monté, beau, sportif et endurant au lit ! Chantal et Jeanne nous ont précédés dans l’appartement que j’avais loué pour l’occasion. Meublé en style Napoléon, l’endroit se prêtait particulièrement bien à une séance BDSM, agrémentée d’une débauche de sexe. Lorsque nous sommes arrivés avec Mathieu, la porte était ouverte et nos deux petites salopes nous attendaient en position de soumission, en levrette, cambrées, le cul tourné vers l’entrée de la chambre, chatte et anus bien en évidence. Un bandeau leur ceignait les yeux. Nous nous sommes approchés à pas feutrés jusqu’à ne plus être qu’à quelques centimètres de ces chairs exposées, offrandes consentantes à ce qui allait suivre.

Comme il était convenu, nous étions tous deux munis de notre portable et avons commencé à mitrailler ces belles créatures dans leur posture expiatoire. La séance photo allait durer, de fait, toute la soirée. Toutes deux uniquement vêtues de bas noir, leur cou entouré d’un collier, nous leur avons intimé l’ordre de descendre du lit, toujours à quatre pattes, en haletant, afin d’aller se désaltérer dans des gamelles en inox posées à même le sol. Pendant ce temps, nous discutions avec Mathieu, totalement indifférents aux croupes qui se déhanchaient sous nos yeux. Ce petit manège a duré un moment avant que nous décidions que trop d’eau avait été renversée par terre, les demoiselles sont remontées sur le lit et nous les avons châtiées en fessées communes et croisées, juste ce qu’il fallait pour faire chauffer leur épiderme charnu. Chantal et Jeanne minaudaient ; elles aussi, avaient de plus en plus envie de sexe, d’une baise dure et masculine, elles réclamaient que nous investissions tous leurs orifices.

Deux dominants pour mes soumises

En bons mâles alpha, nous avons donc présenté nos deux pines, encore en mode demi-molle. Les talents de Jeanne et Chantal se sont alors affirmés en différentes variations autour de la pipe, du léchage de bourses et de branlage de priape. C’est qu’il en faut, du savoir-faire, pour amener deux bites comme les nôtres à une érection ferme et durable ! Bien évidemment, nos queues ont changé de bouche et de main régulièrement, la différence de technique, de température et de rythme, menant inexorablement à deux gaules solides et glorieuses. Nous avons demandé aux femmes de s’enlacer sur le lit et de se rouler des pelles, tandis qu’à tour de rôle, Mathieu et moi investissions les antres pleins de promesses des naïades gémissantes. C’est l’anus de Jeanne qui, le premier, a requis nos bons soins sodomites. Son joli petit cul bien bombé est, il faut l’avouer, plus qu’appétissant. D’une main sûre, j’ai élargi le passage et forcé la raie à s’effacer. Le troufignon montrait tous les signes d’un habitué. J’ai enfoncé mon gland, l’anneau s’est évasé et mon membre a gagné les profondeurs chaudes et moelleuses du sphincter vaincu.

J’y suis néanmoins allé doucement, la taille de mon sexe, je le sais, peut être rédhibitoire pour une rondelle connue pour être fragile. Le chemin étant ouvert, si je puis m’exprimer ainsi, Mathieu a pris ma suite, la circonférence de son gourdin étant encore plus impressionnante que celle du mien ! Pendant qu’il l’enculait sévèrement, j’ai léché l’étoile de Jeanne, qui, pour me donner son feu vert, s’est carrément planté la moitié de la main dedans. Lui pénétrer le fion n’a donc été qu’une formalité, ses doigts ont quitté son rectum pour se diriger vers ma verge gonflée et la guider tout au fond d’elle. À quatre pattes, défoncées par le cul toutes deux, Mathieu et moi avons demandé aux femmes si tout allait bien. La réponse est revenue positive, nous avons donc lancé des coups de reins de plus en plus rapides et de plus en plus énergiques. Les bagues de muscles et de peaux soyeuses ont très vite envoyé les signes annonciateurs, les orgasmes féminins ont déboulé, dévastateurs. Le reste de la nuit n’a été que cris, grognements, châtiments sensuels et éjaculations dans des bouches gourmandes.

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