Belle des champs

La rédaction 14 décembre 2017

Rémy a donné rendez-vous à la fille du boulanger dans les champs, à l’abri des regards. C’est dans cet endroit champêtre que le couple illégitime va s’adonner à un corps à corps sur l’herbe des plus torrides. C’est l’appel de la nature…

Nous nous étions donnés rendez-vous au beau milieu d’un champ. J’avais trouvé cela très bizarre mais, en même temps, je suis de nature joueuse. Je me suis planquée derrière un ballot de foin, bien décidée à lui filer la frousse de sa vie. Rémy, un des clients les plus réguliers de la boutique de mon père, croirait certainement à un lapin, ou mieux, à un kidnapping !

Justement, le voilà apparaître tout au bout du chemin, le visage déformé par un regard inquiet, et le pantalon déformé par une bosse douteuse !

Le petit coquin devait certainement anticiper avec délectation la superbe partie de baise dans laquelle nous allions nous lancer. Je suis sortie derrière le gros ballotin en criant « Surprise ! » Rémy s’est retourné vers moi en hurlant comme une jeune fille.

Je n’ai pu m’empêcher d’exploser de rire, très fière de mon coup.

Bon, il n’avait pas sorti la grande tenue de gala, il était en short et baskets fluo, habillé avec une harmonie de couleurs qui me dépassait totalement, mais ses petits yeux émerveillés de me voir en ce lieu suffirent à me faire craquer. Mieux, il était carrément allé cueillir une gerbe de fleurs sauvages dans un pré, qu’il m’a apportée comme un cadeau de remerciement. « Je sais que c’est un peu ridicule, mais c’est le geste qui compte.

Je te désire depuis tellement longtemps et j’avais vraiment peur que ton père ne s’aperçoive que je ne retournais plus dans cette boulangerie que pour tes beaux yeux. Ne lui dis pas, surtout, mais son pain ne vaut pas celui de son concurrent, dans la rue parallèle. » Son honnêteté était amusante. Au moins, je n’étais pas confronté à un beau parleur comme c’est souvent le cas. En acceptant son cadeau, nos deux mains se sont effleurées, créant une étincelle de plaisir dans ma chatte !

Cela faisait tellement longtemps que je fantasmais de me faire prendre par un mec un plus mature que mes potes de mon âge. J’étais convaincue qu’il avait plein de choses à m’apprendre sur le cul, et qu’il serait me conduire à la jouissance avec beaucoup plus de facilité que n’importe quel autre homme. Comme il n’osait pas bouger, certainement pour ne pas me brusquer, j’ai pris l’initiative de l’embrasser à pleine bouche. J’ai collé mes lèvres bien humides contre les siennes, et j’ai ajouté ma langue à l’équation.

Rémy enserrait tendrement mon cou, on se serait presque cru dans un film romantique, scène finale, bien évidemment.

Alors que là, ce n’était que le début d’ébats torrides.

Nous avons ensuite étalé le plaid rose qu’il avait ramené à terre. Décidément, il avait le chic pour oser les couleurs les plus nunuches pour un rendez-vous romantique. Mais tant pis ! Je suis passée bien volontiers sur ses évidentes fautes de goûts, et j’ai retiré mon top pour lui montrer mes deux petits seins. J’ai toujours été complexée par ma poitrine : je la trouve trop petite par rapport à mon buste massif, j’ai l’impression d’avoir des tétons ridicules, comme des petites piqures de moustique. Pourtant mes deux petits melons (ou grains de raisin !) ont eu l’air de plaire à Rémy qui s’est empressé de se jeter goulument dessus. Il n’était pas du genre à flasher sur les blondes à la poitrine refaite.

Ouf, heureusement, je ne comptais pas passer sur le billard avant au moins mes 60 ans. Il m’a ensuite demandée de retirer lentement mon jean, pour qu’il puisse admirer ma petite culotte en coton. Moi, je n’en avais rien à faire, je voulais qu’il me prenne au plus vite ! Il m’a ensuite allongée sur le plaid, et je dois avouer qu’il était bien plus confortable que joli.

Le tissu doux et chaud me caressait la peau pendant que Rémy a entrepris d’aller en expédition entre mes cuisses, pour une mission cunni ! Et je dois dire qu’il se débrouillait merveilleusement bien.

Sa langue se mouvait telle une anguille prise dans les filets d’un pécheur, avec dextérité et surprise.

Il alternait le rythme pour ne pas me lasser de sa caresse buccale. Je dois avouer que personne ne m’avait jamais léchée de cette façon. Les garçons de mon âge sont souvent bien trop empressés de me fourrer leur grosse arme à feu au fond de mon étui pour s’attarder sur ce genre de détail. Car oui, pour eux, cela relève du détail ! Alors que c’est tellement important pour avoir une relation sexuelle éveillée. Rémy prenait bien soin de me tenir par les hanches pour retenir mes tortillements que j’avais du mal à ralentir. Sa bouche me rendait tellement sensible !

J’ai décidé de fermer les yeux et de faire quelques exercices de respiration pour me calmer. Je pensais à plein de trucs qui n’avaient rien à voir avec ce que nous étions en train de faire : mon prochain rendez-vous chez le coiffeur, le bruit des oiseaux, les courses de mon père pour la boulangerie. Et puis zut, penser à mon père, ça m’a calmée d’un coup !

Pfff, quelle idiote ! Rémy m’a demandée s’il y avait quelque chose qui n’allait pas et je me suis retrouvée bien nulle à ne pas savoir quoi lui répondre.

« Bon, si tu veux, tu viens me sucer ? Maintenant que j’ai goûté aux délicieuses effluves de ta chatte, j’ai très envie de tester les performances de ton adorable bouche… » Pas de souci, j’adore sucer !

Il s’est mis debout devant moi, et s’est pris de me faire un mini strip-tease pour me dévoiler sa bite. Et là, surprise ! Sa queue était énorme, elle dépassait les 20 cm largement ! Nous avions souvent parlé de cette limite avec une amie, la fameuse barrière des « 20 centimètres », celle au-delà de laquelle toute pénétration devient une épreuve de patience, toute masturbation, un entraînement des biceps intenses, et toute fellation, une performance physique indéniable.

`Mais tant pis, il affichait 20 cm à l’entrejambe, impossible de faire machine arrière, il fallait que j’aille au bout de la démarche. J’ai ouvert gentiment la bouche et j’ai titillé son gland du bout de la langue. En laissant ma gorge à cette distance de sécurité de son gland, je m’épargnais ainsi une douloureuse sensation aux amygdales. Rendez-vous compte ! Son gland était presque aussi gros que mon déodorant à bille. Il fallait que je fasse attention, la police aurait pu l’enfermer pour détention d’objet dangereux.

Plutôt que de tenter de me décrocher la mâchoire, je me suis postée en levrette, croupe relevée vers le soleil. Je me suis caressée le clitoris avant qu’il ne me pénètre afin de détendre au mieux mon abricot. Pendant ce temps-là, j’entendais Rémy balancer un gros crachat sur sa bite, et l’étaler en faisant des « pouic » « pouic ».

J’allais déguster ! J’ai fermé les yeux et j’ai attendu que son gros tronc me défonce.

Heureusement, la pénétration s’est très bien passée. Il est entré dans moi avec beaucoup de lenteur et de précaution, certainement alerté par ses précédentes expériences. Sa queue écartelait totalement mon vagin, mais cela n’avait absolument rien de douloureux. Au contraire, c’était même très bon. Une fois qu’il s’est bien enfoncé en moi de tout son long, il resta quelques secondes comme ça, sans bouger. Je profitais de ce petit moment de répits pour essayer de me détendre au maximum. Puis, il commença à faire des mouvements d’aller et retour, des mouvements très discrets, très doux. C’était juste parfait ! J’avais l’impression de ressentir chacun de ses gestes puissance 10. Au final, quand on bourrine trop fort dès le départ, impossible de ressentir la moindre nuance de plaisir, là, toutes les sensations étaient complètement démultipliées. Il a continué comme ça quelques instants, puis s’est retiré.

« On va y aller doucement, hein ? Je ne sais pas si tu as remarqué, mais je suis plutôt bien équipé et je ne voudrais pas te brutaliser plus que nécessaire… » Il était très drôle ! Comment passer à côté de la taille surdimensionnée de sa bite ? Pensait-il vraiment que je n’avais pas remarqué ? Je l’ai embrassé passionnément pour le faire taire, tout en tripotant sa queue du bout des doigts. Il était tellement sexy, allongé comme ça dans l’herbe, le torse bien bandé, que j’ai immédiatement eu envie de venir sur lui. J’ai bougé mes hanches comme une mauvaise chanteuse d’un clip de RnB, avec entrain.

S’en est suivi une magnifique galipette, et Rémy est passé par-dessus.

Nous jouions comme des gamins dans l’herbe, avec une innocence et une complicité qui me faisait chavirer. Il a attrapé mes deux jambes et a énergiquement tiré dessus pour me remettre des coups bien appuyés.

Après quelques saccades bien senties, il a éjaculé sur mon ventre, certainement de peur que mon père ne l’assassine s’il mettait sa fille unique enceinte.

J’ai fait semblant d’être endormie, juste pour rigoler.

Il s’est approché de mon oreille et m’a murmurée« Ne dors pas maintenant, j’aurai voulu te donner rendez-vous la semaine prochaine dans la forêt de l’autre côté du village. Partante ? »

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