Ero-tourisme au Maroc
28 février 2020Maroua, 25 ans
L’année dernière pour les vacances, je suis partie dans ma famille au Maroc. Je ne les avais pas vus depuis cinq ans. C’était super de se reconnecter, de sentir les odeurs locales, d’halluciner devant l’agitation dans les rues (toutes les boutiques avaient changé!), d’entendre le muezzin chanter… J’ai fait la touriste de base, quoi. Mais surtout, ça m’a donné l’occasion de revoir un certain cousin super sexy dont je ne vous dirai pas le prénom. Il avait bien grandi, ma parole! La dernière fois que je l’avais vu, c’était un ado boutonneux de 15 ans qui écoutait du rap. Mais maintenant, c’était un homme, un vrai, avec des épaules de déménageur et une barbe de trois jours qui piquait les joues.
Un jour que nous nous sommes retrouvés tous les deux, sans personne autour, il a commencé à me poser des questions. « C’est bien la France? Tu vis des trucs cool ? C’est quoi déjà tes études? Tu as un copain ?’, et ainsi de suite… Je l’avais pris pour un timide, mais en fait, c’était un petit malin. Il attendait seulement qu’on soit en tête à tête. J’étais sous le charme, franchement. Il était mignon et courtois. Ses yeux se baladaient le long de mes formes, mais je n’étais pas du tout gênée. En plus, j’avais l’habitude, surtout depuis le début de mes vacances au pays, car les hommes étaient assez peu discrets, là-bas.
Bref, le cousin s’est approché de plus en plus près de moi. Nous sommes passés du thé à la menthe à l’anisette. J’étais étonnée par son assurance, mais je souhaitais voir jusqu’où il irait avec son petit numéro. Quand il a posé la main sur ma cuisse, je ne l’ai pas retenu, et quand il a demandé si je voulais m’asseoir sur ses genoux pour regarder un DVD, je n’ai pas hésité. Pendant le film, il a passé ses mains sous mon T-shirt pour me caresser les seins en m’embrassant dans le cou.
À ce stade, cela faisait déjà longtemps que j’avais senti sa bite dure contre mes fesses. J’étais mouillée dans la culotte, j’avais chaud dans le ventre. Je n’ai pas pu m’empêcher de gémir au moment où il a pincé mes deux tétons en même temps. Ça m’a fait comme un arc électrique dans le dos, jusqu’au derrière et dans la chatte. Je n’avais jamais ressenti un truc pareil. Je me suis immédiatement retournée pour l’embrasser à pleine bouche en lui attrapant la tête de mes deux mains. Je frottais mon entrejambe frénétiquement sur sa grosse bosse. Je m’enfonçais presque sa queue à travers nos vêtements, pour qu’il sente le feu dans ma fente.
J’ai voulu prendre l’initiative, mais il avait déjà de l’expérience, le cousin ! Il m’a relevée en me tenant par la taille pour mieux m’allonger sur le canapé. Je n’ai pratiquement pas touché le sol. J’ai voulu palper son engin à travers son pantalon. Je l’ai pris dans la main, il était excité comme un taureau. Il a viré son maillot de corps et le bas aussi. Il a tout arraché d’un coup, si bien qu’il s’est retrouvé à poil devant moi. Ne sachant pas trop comment réagir, j’ai aussi enlevé mon haut. Il s’est jeté sur mes nichons. Il les adorait. J’ai branlé sa bite pendant qu’il léchait mes aréoles minutieusement. C’était trop bon.
Le fait qu’il soit mon cousin ne me dérangeait pas. Je ne l’avais pas réellement vu grandir et nous n’étions liés que par la cousine de mon père… De toute façon, j’étais chaude comme la braise et j’avais une envie pressante de me le faire. J’ai porté son gland jusqu’à ma bouche et je l’ai léché doucement avant de l’engloutir. J’ai pris sa tige comme une sucette. Il a continué à me titiller les bouts de seins qu’il pinçait maintenant entre ses doigts.
À un moment, il est allé chercher un appareil photo dans sa chambre et il est revenu se poser sur moi pour une branlette espagnole. Décidément, ma poitrine lui faisait de l’effet. J’ai un peu tiqué quand j’ai vu le numérique, mais il a aussitôt contré en me disant qu’on ne se voyait pas souvent et qu’il voulait un souvenir. C’est bête, mais ça m’a touchée, alors je l’ai laissé faire. Il s’est bien défoulé. Il devenait de moins en moins gentleman. Pas grave, j’aimais bien le genre sauvage. Il s’est enlevé de moi et a frotté ma vulve à deux mains en insistant bien sur le clitoris. J’ai décollé directement.
À partir de là, c’est plus flou. Je sais que j’avais sa verge tendue dans la main et que je la branlais fort, mais j’ai dû fermer les yeux pendant un moment. Je n’ai pas gardé beaucoup de souvenirs. Je me rappelle comment ça s’est fini par contre: je l’ai terminé en le frottant contre l’entrée de ma minette et il a joui partout dessus. Il a même eu peur de me mettre enceinte: « Tu imagines, la tronche de ma mère… Et du gamin ! ? »Je me suis assoupie quelques instants. Quand je me suis réveillée, je portais mon T-shirt et mon cousin ne se trouvait plus dans la maison. C’était bizarre, mais honnête. On avait baisé entre cousins, quoi !
On n’en a pas reparlé lui et moi, mais quelque temps après mon retour en France, j’ai reçu un e-mail de sa part avec deux photos. D’habitude, je ne suis pas exhibitionniste mais, récemment, quelque chose a changé dans ma vie intime et je n’ai plus la même mentalité qu’avant. Ces photos, je les trouve belles et je veux vous en faire profiter! Bisous à tous les lecteurs.
(Image à la une : Getty Images)
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