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Le jeu
27 août 2015Une femme offerte, une maîtresse de cérémonie, des candidats recrutés dans la rue, un bandeau, des cartes… Un étrange jeu. Le reste n’est que plaisir des yeux !
Comment en étais-je donc arrivée là ? Quelle folie m’avait poussé à accepter ce jeu, cette mise en scène qui allait me voir offerte a des queues dressées, prêtes à me prendre par tous les trous ? Une pulsion, un désir incontrôlé de dépasser mes limites ? Sans aucun doute, mais maintenant, il me fallait être à la hauteur car l’heure n’était plus au fantasme, mais bien à la réalité. Crainte ou excitation ? Je ne savais pas encore quel sentiment prédominait durant cette attente… La charmante “organisatrice” avait sélectionné dans la rue ceux qui auraient le droit de m’offrir leur queue. Pour l’heure, dans ce grand salon parisien, sur ce tapis moelleux, je m’apprêtais à vivre une expérience sexuelle intense, unique, sans lendemain, offerte par mon homme à des inconnus dont, pour la plupart, je ne connaîtrais que le gros bout de chair qui, déjà, gonflait entre leurs cuisses.
Désormais à la merci de ces bites que j’imaginais déjà dures, je me demandais ce que ces types dont je ne connaissais même pas le nom regardaient. Mes seins ? Ma bouche dans laquelle ils allaient bientôt s’enfoncer ? Ou encore ma chatte qui, déjà, perlait de désir dans ma culotte, laissant deviner ma toison fournie ? Sagement, les hommes attendaient que le jeu commence enfin, et j’entendais déjà le bruit de leurs mains qui coulissaient sur leurs grosses tiges…
Puis, enfin, des doigts sont venus effleurer mon visage. Cette simple caresse a suffi à faire dresser mes tétons, alors que ma chatte s’emplissait d’une mouille visqueuse et abondante. Les caresses n’ont pas duré bien longtemps et, déjà, je rentrais dans le vif du sujet.
Une queue se frottait et glissait contre mes gencives, m’obligeant à la recevoir entre mes lèvres. J’ai sucé goulûment, au rythme de cette main qui, appuyée sur ma tête m’imprimait la cadence de ce coït buccal. J’imaginais les autres types, autour de moi, qui me regardaient en se masturbant, prêts à remplacer leur partenaire de jeu au fond de mon palais. Quelques secondes plus tard, un nouvel engin chaud venait en effet s’approprier mon visage. Les hommes ne restaient jamais longtemps, guidés par la voix de la belle organisatrice qui leur avait attribué à chacun des cartes afin de les différencier. Des queues, des queues, et encore des queues, ne cessaient désormais de me posséder. Quelques gouttes d’excitation suprême perlaient même sur ma langue. L’odeur dans la pièce se faisait de plus en plus forte, signe de l’état d’excitation croissant des participants.
Puis, après que l’on m’a entièrement déshabillée, j’ai été conduite vers ces tiges bien raides dont le souhait évident était désormais de me posséder, de me pénétrer pour qu’enfin, je me sente tout à fait chienne. Chienne je l’étais, et même en chaleur à mesure que mes coups de reins me faisaient changer de partenaire afin de satisfaire ma soif de plaisir ultime…
Les verges s’enchaînaient en moi, me prenaient, me laissaient, revenaient au creux de mon sexe ouvert, labouré, écartelé… Les orgasmes se multipliaient, mes cris de plaisir emplissaient la pièce, et les râles de ces partenaires anonymes ne faisaient qu’accroître mon propre déchaînement. Encore, encore, des bites, des bouches, de la sueur, du sperme… La chienne sauvage que j’étais devenue ne comptait pas s’arrêter en si bon chemin. La femme s’était muée en garce avide de sexe. Je voulais désormais que ce groupe masculin me recouvre de sa semence. Sucer, lécher, branler, me faire défoncer… Tout était bon pour arriver à mes fins.
Photos R.Stuart –
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Olivier
J’ai une copine qui est adepte de ce genre de plan. De temps en temps, elle vient chez moi et je passe toute ma journée à la défoncer. Pour le moment, je suis le seul homme qu’elle laisse jouir dans sa chatte.