Les chakras bien ouverts

La rédaction 18 décembre 2020

Eve, 40 ans, s’ennuie avec son mari mais elle va réussir à trouver du réconfort dans les bras de son prof de sophrologie…

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Si beaucoup de mes amies célib’ rêvent de se marier, je peux dire que ce contrat ne me convient pas. Comme je m’ennuie avec mon cher mari, je multiplie les expériences. Attention, ne vous méprenez pas : je parle d’activités bien-être. De quoi oublier le vide dans ma vie.

Ce vide, justement, j’ai trouvé quelqu’un pour le remplir. Il s’agit de John, mon prof de sophrologie. Il travaille dans une salle de mon quartier, où je me rends régulièrement avant d’aller travailler. Il a constaté que j’étais déprimée. Alors, il a décidé de me donner une séance particulière. Dans tous les sens du terme.

À la fin d’un cours, il y a quelques semaines, John est venu me trouver. « Dis-moi, Êve, ça va en ce moment ? » Et là… J’ai éclaté en sanglots. Très gentiment, mon prof m’a prise par les épaules et m’a conduite dans l’arrière salle, où les employés se changent et se reposent entre deux cours. Nous étions seuls. Il m’a assise sur le canapé et m’a serrée contre lui. Je pleurais de plus belle. Il m’a laissée me calmer, puis il a pris mon visage entre ses mains. J’ai pu admirer sa beauté.

John est américain. Il est né en Californie et ça se voit : de grands yeux bleus, un corps athlétique, des cheveux blonds vraisemblablement délavés par la mer… Un rêve. J’étais tellement dans mes pensées quand j’assistais à son cours que je n’avais pas remarqué à quel point il était magnifique !

Avec la manche de son sweat, John a essuyé mes larmes. Puis il a dit : « Eve, quels que soient tes problèmes, je peux t’aider. Pourquoi es-tu triste alors que tu es si belle ? » J’ai dû avoir l’air toute chose car John a bafouillé : « Excuse-moi, je ne veux pas dépasser les bornes alors que tu as l’air mal. » Son accent était tellement charmant… À cet instant, il n’y avait plus que nous dans la pièce. Je me suis penchée vers lui. Et je l’ai embrassé.

La suite, elle s’est passée comme dans un rêve… Sans même nous en rendre compte, nous étions allongés sur la banquette. John n’arrêtait pas de répéter mon prénom : « Eve, tu es si douce… Tu me plais depuis si longtemps… » J’étais consolée, flattée… et surtout très excitée de voir à quel point je lui faisais de l’effet. Quand j’ai posé ma main sur sa queue, j’ai senti qu’elle était énorme ! Je n’ai pas pu me retenir : je me suis mise entre ses cuisses, que j’ai caressé du bout des doigts. Puis j’ai ouvert grand la bouche et j’ai avalé son chibre.

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Cette fellation m’a comme libérée. D’un coup, j’ai récupéré mon corps, mes sens, ma liberté. Mon mari et ses vieilles habitudes pourries étaient loin… J’étais une femme libre. John, tout émoustillé par mes caresses, m’a demandée d’arrêter au bout de quelques minutes de suçage. Il allait jouir… Imaginer que mon prof aurait pu venir sur mon visage encore collant de larmes m’a excitée au plus haut point… Mais j’ai obéi à sa demande : je me suis allongée de tout mon long sur la banquette.

Là, sur le ventre, j’ai laissé John me caresser du bout de sa langue. Il a parcouru mon dos, mes reins, puis mes fesses, avant de s’attarder longuement dans mon sexe avec sa bouche. Je l’ai ensuite senti se branler au-dessus de moi, pour garder toute sa vigueur. J‘ai fermé les yeux et j’ai pensé à ses abdominaux de rêve, et aussi à ce sexe tout droit qui allait venir en moi dans quelques secondes…

Jamais je n’aurais cru que cela pouvait être aussi bon de se faire prendre comme ça, tout simplement, allongée sur un vieux canapé moche dans une salle aux murs en crépi. Et pourtant… La magie de John m’a enveloppée tout entière. En même temps qu’il me pénétrait, il a introduit son pouce dans ma bouche.
Je n’ai d’abord pas compris, mais j’ai aspiré. C’est ensuite que j’ai pu en profiter : très doucement, mon prof est venu enfoncer son doigt dans ma rondelle toute rose.

Malheureusement, John n’a pas pu continuer comme ça longtemps. Il s’est excusé : « Je suis désolé ma belle, mais je vais arrêter de te caresser par derrière, j’ai trop envie de te serrer par les hanches pour te baiser plus fort… » J’ai tourné mon visage vers lui. Il était si beau… J’ai décidé de me laisser aller totalement.

Tout en regardant John dans les yeux, j’ai commencé à lécher mon majeur de façon très sensuelle. Ensuite, je suis venue prendre sa place dans mon cul, me doigtant pendant qu’il m’embrochait de sa queue. C’est ainsi que nous nous sommes fait jouir : lui, cramponné à ma taille et me possédant jusqu’au fond de la chatte, moi, l’index bien planté dans l’anus, une pratique jamais expérimentée jusqu’ici, mais me permettant d’atteindre le nirvana.

Cela fait maintenant deux mois que John et moi nous nous retrouvons régulièrement après les cours. Je ne sais pas encore ce que cette histoire nous réserve, mais je ne me suis jamais sentie aussi épanouie. Mon âme et mon corps sont enfin en harmonie.

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