Le job de mes rêves
13 septembre 2024Abdel, 21 ans, est skipper pour un milliardaire russe et fantasme sur la femme de son patron. Tandis que ce dernier n’est pas là, il va en profiter pour rejoindre la belle mannequin dans sa cabine pour une baise torride et mouvementée.
Pendant 6 mois de l’année, je suis skipper à Monaco. C’est un job de rêve : je sors et je rentre les gros yachts du port, pour un salaire de fou et des avantages de dingue. Par exemple, l’été dernier, j’ai skippé pour un milliardaire russe, qui m’a payé pour que je reste sur le bateau pendant 5 jours. Lui, je ne le voyais jamais : il se tirait le matin pour aller pêcher en hors-bord. Moi, je restais sur le yacht avec le staff, au cas où sa meuf veuille aller en mer. Je ne vous raconte pas l’avion de chasse que c’était… Par contre, je compte bien vous raconter notre histoire de sexe.
Un problème de chaleur
Elle s’appelait Ania et avait la vingtaine, alors que son vieux porc de mari dépassait les cinquante. Elle devait être mannequin, vu la taille de ses jambes… Et puis elle avait des lolos énormes mais naturels (pas ces conneries en plastique qu’on voit partout à Monaco), des cheveux longs très clairs et une bouche… Mama mia ! J’avais envie de l’embrasser dès que je la croisais. Le truc, c’est qu’elle flirtait à mort avec moi, mais que le staff la surveillait. Son mari devait savoir qu’elle était chaude. Du coup, je me suis dit qu’on n’aurait jamais d’occasion. Sauf qu’Ania avait une idée en tête.
Un jour, elle m’a appelé depuis sa cabine sur la régie du bateau et m’a demandé, avec son accent sexy : « Tou peux descendre dans ma cabine? J’ai problème avec clim. » J’ai prévenu le second, qui m’a dit en anglais : « La clim’ a un défaut. Tu vas y passer du temps pour rien, ça sera de nouveau cassé dans une semaine. » Je n’ai rien dit et suis descendu voir Ania. Quand je suis entré dans la « cabine » (en vrai, une chambre de palace avec lit king size), j’ai senti qu’on avait bien un problème de chaleur. Mais pas seulement à cause de la clim’, qu’Ania avait sans doute détraquée exprès – à cause du top model, qui m’attendait nu allongé sur le lit. Elle m’a regardé avec un air garce et a dit : « Ferme la porte, on a 20 minoutes avant qu’on cherche nous. » « Vingt minoutes, ça va vite passer », j’ai pensé. Par où commencer ?
Une partie déjà jouée
J’ai rejoint Ania sur le lit et j’ai décidé d’attaquer par ses seins. J’ai avalé la pointe du droit, qui a durci tout de suite, puis du gauche. Un vrai régal, ses nibards, bien fermes et sensibles. Pendant que je les tortillais dans tous les sens, Ania poussait des soupirs qui m’ont fait durcir à mort. Elle l’a senti contre sa cuisse et m’a roucoulé à l’oreille : « Allonge-toi. Tou bande mieux que mari de moi ! » C’est sans doute pour ça qu’elle m’a gobé comme si j’étais sa première queue en 6 mois… Calé contre les énormes oreillers du kingsize, j’ai caressé ses cheveux dorés pendant qu’elle me suçait façon turbine. Jusqu’à ce qu’elle ait envie de se faire plaisir sur moi…
Quand Ania s’est installée à califourchon, j’ai dû me concentrer pour ne pas jouir. Elle s’est enfilée elle-même sur mon braquemart puis a donné le rythme. Pendant qu’elle ondulait, je l’ai attrapée par les hanches et je l’ai bougée de plus en plus vite. Ça a eu l’air de lui plaire : j’ai senti qu’elle mouillait énormément. Ça coulait même sur le bas de mon membre ! Comme j’étais assis, j’ai pu facilement lui tripoter le clito pendant qu’elle coulissait sur moi.
Vu que ça montait dangereusement de mon côté, j’ai enlacé la bombe et je lui ai murmuré à l’oreille : « Je peux éjaculer à l’intérieur de toi ? » Sa réponse a été de tressauter plus vite sur ma grosse queue en agrippant les draps. Elle allait jouir. Je l’ai embrassée à pleine bouche, qu’elle avait à moitié ouverte sous l’effet du plaisir. En me concentrant sur son souffle chaud, j’ai retardé mon orgasme de quelques secondes. C’est le moment qu’Ania a choisi pour se dégager de mon étreinte : elle m’a mordu à l’épaule et a joui, dans un gémissement de chatte en chaleur. J’ai suivi, puis nous nous sommes écroulés en haletant comme des animaux.
Le bateau d’Ania est reparti deux jours plus tard. Deux jours pendant lesquels nous avons joué du regard, en sachant bien que nous avions déjà joué notre partie. J’ai gardé la marque de ses dents sur l’épaule pendant une semaine, « souvenir de Russie ».