Quand les monos s’amusent

La rédaction 18 octobre 2020

Carla, 23 ans, craque sur un des monos de son équipe. Lors d’une chasse au trésor, il ne vont pas pouvoir s’empêcher de se jeter l’un sur l’autre.

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Coucou interstron.ru ! Pour m’occuper pendant l’été et payer mes études à la fac de Bordeaux, je bosse comme monitrice de colonies de vacances. L’an passé, c’était dans un centre en Ariège, près du lac de Mondély.

Les gamins étaient sympa, le temps magnifique et surtout, il y avait le beau et timide Cédric dans l’équipe des monos. La colo, c’est un moyen génial de rencontrer des jeunes qui ne se prennent pas la tête. Certains moniteurs sont même restés des amis. Cédric, c’était différent. Pas vraiment l’image du mono cool, qui joue de la guitare au coin du feu… Châtain, les traits fins et les yeux sombres, c’était le plus réservé de la bande. Le plus mignon aussi. Je l’avais surpris en train de passer plusieurs fois devant ma chambre sans raison, ou occupé à m’observer discrètement. Je ne le laissais pas indifférent, mais comment le décoincer ?

Au milieu du séjour, j’ai proposé qu’on organise une grande chasse au trésor dans la forêt qui bordait le lac. On a passé un super moment avec l’équipe, à préparer les indices et à les cacher dans les bois. Quand tout a été prêt, j’ai donné le départ du jeu. Les enfants, super contents de jouer les aventuriers, se sont vite dispersés avec un moniteur pour accompagner chaque groupe. Il ne restait plus que Cédric et moi, qui devions nous rendre discrètement à l’emplacement du trésor et attendre les vainqueurs.

J’ai pris la main de Cédric et je l’ai entraîné jusqu’au lieu de rendez-vous. Toujours aussi taciturne, il s’est laissé faire et nous sommes entrés plus profondément dans les bois. J’avais mis mon arme secrète : mon petit short en jean qui me fait un cul de rêve. J’avais complété ma tenue par un T-shirt bleu que j’avais noué au-dessus du nombril, dévoilant mon piercing. En marchant devant Cédric, j’ai senti qu’il me reluquait et j’en ai profité pour avancer quelques pas devant lui, en me tortillant et en poussant de petits gémissements dès que je trébuchais sur une racine ou un caillou.

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Au bout de dix minutes, je me suis tournée vers lui et je lui ai glissé : “Je crois bien qu’on est perdus…” Je n’ai alors pas pu m’empêcher de remarquer la bosse qui s’était formée dans son bermuda ! Il a percuté mon regard, mais au lieu d’être gêné, il a porté sa main à ses parties et m’a souri. Je me suis alors approchée de lui, j’ai défait sa braguette et je me suis emparée de son membre. Il était long et très gonflé, avec le gland bien dessiné qui perlait d’excitation. J’ai léché ces quelques gouttes du bout de ma langue. Cédric a alors posé ses mains sur ma tête et m’a indiqué son rythme. “Pompe-moi, tu m’as beaucoup trop excité !” Je me suis mise au travail : coups de langue, aspiration, caresses sur ses boules très douces, jusqu’à ce que je l’entende grogner de plaisir.

Il a ensuite dégagé son sexe de mes lèvres puis il s’est déshabillé devant moi, m’incitant à me dévêtir aussi. Nos corps blancs se faisaient face, au milieu des bois, mes tétons bien dressés, son sexe humide fièrement tendu vers le ciel. Il m’a prise par la taille et m’a renversée dans les fougères. Sans un mot, il a entrepris d’embrasser mes seins, mon ventre puis ma chatte qui mouillait de plus en plus. Un doigt, puis deux sont venus m’exciter davantage. Il a alors relevé mes jambes et sa pine s’est frottée  contre mon bonbon, maintenant suintant de mouille.

Sans crier gare, Cédric s’est redressé d’un coup et m’a lancé : “Viens, je vais te faire ça comme il faut.” Nus comme des vers, nous sommes rentrés en courant à la maison de vacances, restée déserte. La première chambre que nous avons vue a été la bonne : Cédric m’a fait basculer sur le lit et s’est mis à se branler furieusement d’une main tout en doigtant ma figue juteuse de l’autre. “T’es tellement ouverte, ça va rentrer comme dans du beurre.” Ces paroles salaces m’ont rendue totalement dingue, je l’ai supplié de me baiser immédiatement. Ses coups de boutoir ont ébranlé le lit, ses mains maintenant fermement mes poignets derrière ma tête. J’ai relevé les jambes pour qu’il me prenne à fond, sans ménagement. Nous avons joui ensemble dans un long râle de plaisir.

Cédric s’est alors retiré et a contemplé mon sexe rempli de foutre : “Mets-toi à quatre pattes, Carla.” Sans trop comprendre, je me suis exécutée. “Écarte un peu ta chatte, ma belle, que je vois comme tu coules.” J’ai alors entendu le petit bruit de son téléphone, avec lequel il a photographié ma minette inondée. Cher interstron.ru, je ne résiste pas au plaisir de partager avec toi ces deux photos, souvenirs de ma colo en Ariège !

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