Le désir en pleine nuit ! 

La rédaction 12 novembre 2023

« Je suis un vrai « french lover » : je ne termine jamais une bonne partie de baise sans un orgasme féminin. Éducation oblige. » Kris, 28 ans, Cambrai

Je m’appelle Kris, j’ai 28 ans et je suis ce que l’on pourrait appeler un vrai « baroudeur ». C’est simple, je ne tiens pas en place. Ma vie peut se résumer à un sac à dos dans lequel je n’oublie jamais mon appareil photo, mon chargeur de portable, mon traducteur automatique et… mes capotes ! Je suis jeune et j’ai décidé de ne m’attacher à aucune de mes conquêtes. Attention, ce n’est pas pour autant que je ne suis pas respectueux avec elles !

Je suis un vrai « french lover » : je fais attention à ce qu’elles se sentent en confiance, à ce qu’elles prennent du bon temps en ma compagnie – et surtout, à les faire jouir à chaque fois. C’est mon point d’honneur, et je ne termine jamais une bonne partie de baise sans un orgasme féminin. Éducation oblige. Voici mon histoire de sexe.

Vous allez certainement vous poser la question de ma dernière destination ? La Croatie ! Il y a 10 ans, j’y suis allé, mais j’avais envie de retrouver ce paysage, ces falaises très abruptes et cette eau si bleue. Les locaux ne sont pas les plus accueillants (j’espère qu’aucun Croate ne lit votre revue) et donc les touristes se regroupent souvent entre eux. 

Dans une auberge de jeunesse, j’ai fait ainsi la connaissance de Tamara, une très jolie Allemande venue en Croatie pour le fun, un peu comme moi. Elle restait trois jours, et elle m’a très vite adopté comme « son compagnon de voyage ». Nous arpentions les villes et faisions les randonnées à deux (nous parlions exclusivement en anglais, bien naturellement) et on s’est vite rapprochés. Alors que le dernier jour de son court séjour arrivait, je lui ai fait comprendre qu’elle me plaisait et que j’avais vraiment envie d’un peu de sexe avec elle.

Connaissance de Tamara

Sa réaction a été très bizarre, elle m’a fait comprendre que je lui plaisais également mais que pour elle le sexe était quelque chose d’important – et qu’elle préférait le faire qu’avec des personnes avec lesquelles elle se sentait en confiance. Je comprenais le discours, mais elle a quand même tenu à s’endormir en petite culotte et dans mon lit durant la nuit. J’avais une gaule d’enfer et je n’ai pas fermé l’œil.

À un moment – et je ne sais pas si elle dormait ou non – elle est carrément venue frotter ses fesses contre ma queue. J’ai essayé de la réveiller pour pouvoir la toucher – et elle m’a juste dit « OK, you can touch me wherever you want », et elle s’est laissée faire à moitié endormie. Ses seins étaient pratiquement parfaits, sa peau d’une douceur infinie. Quand j’ai arrêté, elle a repris en branlant mon stick et en me faisant la fellation du siècle ! Ça m’a rassuré de voir qu’elle prenait elle aussi du plaisir, et quelque part, que je lui faisais aussi ébaisé

normément envie. Nous avons doncbaisé de cette façon, à 3 h du matin, enivrés par le sommeil et le désir de sexe. Mollement. Dans une sensualité engourdie.

Au petit matin, je lui ai murmuré à l’oreille que j’étais quelqu’un de confiance et que j’étais très flatté qu’elle se soit abandonnée à moi durant la nuit. Je lui ai même dit que j’étais prêt à la suivre
en Allemagne pour quelques jours, quitte à mettre fin à mon séjour en Croatie. Ne vous avais-je pas dit que j’étais un baroudeur ?

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