Sauna au clair de lune
28 février 2022Patrice est en Russie pour quelques temps. Lors d’une soirée il rencontre un couple avec qui il passera une nuit blanche très chaude au sauna !
Cela fait longtemps que j’ai envie d’écrire dans vos pages. Mais résidant à Saint-Pétersbourg, ce n’est pas simple. Je profite d’être à Paris pour vous envoyer le récit d’une de mes aventures. Pour résumé, j’aime le sexe, la liberté et les femmes rondes. L’hospitalité du peuple russe n’est plus à démontrer. Mais certains sont, disons, plus prodigues que d’autres et prêts à partager au-delà d’un simple repas.
Ivanovitch est de ceux-là. Il a tout pour me plaire. Une épouse aux formes généreuses et un altruisme sans bornes. Je m’appelle Patrice et voici mon histoire de sexe !
Nuit blanche à Seins Petersbourg
C’était lors des « nuits blanches ». Cette période où les ténèbres n’existent plus et où la Neva se transforme en canal vénitien. Tous les saint-pétersbourgeois sont de la fête et naviguent dans un clair-obscur propice au rapprochement des corps.
J’avais sympathisé avec un couple qui m’avait invité sur leur embarcation. Accueillant un petit appartement avec chambre à coucher, cuisine et un sauna !
Le roulis du bateau, les degrés de la vodka, le regard embué de Iékatérina, nos nudités dans l’atmosphère saturée d’humidité de l’étuve. La soirée a lentement glissé vers une sensuelle coalescence.
Mon hôtesse, tout en arabesques charnues et en dunes voluptueuses me faisait les yeux doux. Ivanovitch a, le premier, laissé tomber sa serviette, révélant une érection dure comme l’acier. Son épouse, déjà seins à l’air, a replié ses jambes, m’offrant une vue imprenable sur son sexe bombé à la pilosité courte.
Elle a commencé à se caresser la fente, à l’écarter, à en tordre les petites lèvres pour finir par dégager un gros clitoris très rose et dardant comme une épée. J’ai bandé immédiatement, devant l’opulence de cette femme et sa liberté. J’ai dénoué ma propre serviette et je me suis masturbé aussi.
Fellation chaude
Iékatérina s’est levée et s’est agenouillée à mes côtés. J’ai lâché mon membre raide et l’ai laissée s’en occuper à sa guise. Comme souvent avec les dames au physique généreux, elle s’est révélée une suceuse de première. Prenant mon sexe avec beaucoup de délicatesse, le léchant, l’embrassant. Elle le goûtait avec un réel plaisir avant de le faire disparaître entre ses lèvres pulpeuses.
Ivanovitch s’est rapproché et a joint son pénis à la danse buccale en cours. Alternant de droite et de gauche, sa compagne nous a lapés et avalés à tour de rôle. J’ai osé caresser les seins ronds, les tétons étaient visiblement une zone très sensible chez cette femme à la sensualité débordante. Je me suis régalé à les lui pincer doucement, à les étirer au rythme de ses plaintes de plaisir.
Mais nous avions trop chaud d’un coup. Nous sommes sortis entièrement nus, d’autres silhouettes s’agitaient sur les ponts des navires voisins. Pour notre part, nous avons opté pour la chambre douillette.
Nos corps étaient suants, rouges de cette séance de sauna. La chaleur que nous ressentions ne venaient pas uniquement de l’installation scandinave, l’appel du sexe nous avait rendus brûlants.
J’ai bien compris qu’en tant qu’invité j’allais avoir le privilège de posséder Iékatérina en premier. Le cul tourné vers moi cette dernière s’est abandonnée à ma queue ! J’ai écarté ses fesses callipyges et j’ai glissé mon gland à la recherche de sa fente. Je l’ai trouvée gluante de mouille ! Une poussée de mes reins et j’étais en elle. Quelques mots marmonnés en Russes et se matérialisait devant elle la belle bite recourbée de son mari. Armé d’un petit appareil photo numérique, il immortalisait la scène ! J’ai pu admirer un peu plus tard que leur album coquin était bien fourni !
De position en position
Nous avons varié les plaisirs, tantôt debout, tantôt allongée ou bien à quatre pattes. Notre amante était infatigable, nous encourageant à nous relayer pour la posséder encore et encore.
« Trakhni yeye ! Trakhni yeye ! » m’a invité Ivanovitch en russe. (Encule-là ! encule-là). À ces mots, le regard de sa moitié est devenu vitreux. Elle s’est ouvert l’anus avec ses doigts, là, devant moi en levrette, ses fesses joufflues écartées au maximum. Elle me frayait le passage tel un brise-glace qui dégage la route à un destroyer. J’ai saisi la chance qui m’était offerte et j’ai laissé la main de notre belle guider mon pieu jusqu’au fond de son anneau à l’élasticité étonnante.
Je me suis voulu doux, mais une voix féminine m’a encouragée, de nouveau en russe. « Sil’neye ! Sil’neye » (Plus fort ! Plus fort !). J’ai agrippé ses chairs voluptueuses et j’ai lâché les chevaux ! Jamais je n’ai enculé une femme comme ce soir-là. Mon ventre claquait la mesure sur le fessier rebondi, projetant le corps moelleux vers l’avant et permettant ainsi à Iékatérina de gober entièrement la bite de son mari.
J’ai balancé quelques taloches sur le derrière large. Des gémissements me répondaient à chaque coup asséné. Nous étions sur la bonne voie pour faire crier de plaisir cette Walkyrie insatiable.
Un trio magique
Nous avons échangé nos places plusieurs fois, jusqu’à ce que nous décidions de la baiser par les deux orifices en même temps. Ivanovitch a posé son appareil photo et s’est allongé à plat dos, j’ai de nouveau eu droit à la part du lion. Malgré la faible lueur, j’ai parfaitement vu les trous rouges et ouverts par tant de va-et-vient, la queue de mon nouvel ami a disparu dans la fente moelleuse tandis que je m’enfonçais avec délice dans cet anus aux capacités hors normes.
Nous avons éjaculé presque en même temps, j’ai senti les contractions de la bite qui expulsait son sperme derrière la fine cloison séparant nos chibres, une voix de baryton a crié son plaisir et, à mon tour, les vibrations annonciatrices de ma propre jouissance. Iékatérina s’est relevée afin que je puisse de nouveau peloter ses nibards moites de sueur, j’ai balancé ma purée au fond de son étoile dilatée en l’embrassant à pleine bouche.
Nous nous sommes écroulés tous trois, nous étions rendus au stade de flaque, des corps inertes, épuisés, mais ravis de ce trio dantesque.
Nous sommes sortis fumer une cigarette, la lueur du clair de lune le disputait à celle du soleil toujours sous l’horizon, la Néva était calme, tout comme nos bas ventres repus de plaisir.
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