Irène couleur ébène…

La rédaction 8 mai 2020

Un quadra fraichement divorcé nous raconte sa rencontre avec Irène, alors mariée, mais que son mari a accepté de prêter le temps d’une nuit d’amour…

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Bonjour, c’était il y a quelques années, un divorce, un séjour à Lyon pour me changer les idées et attendre que la « Belle » pour qui j’étais parti soit enfin libre. Je suis descendu dans un hôtel magnifique, un joyau de la Renaissance niché dans une venelle (pardon, une traboule) du cinquième arrondissement. J’ai joué les touristes à fond, autobus à impériale avec audioguide, petits bouchons, balades place Bellecourt, visite de l’immense parc de la tête d’or, etc …

Le soir, mon rituel était toujours le même, je rentrais me doucher à l’hôtel, j’enfilais un costume noir par-dessus une chemise blanche et je me rendais au bar de l’hôtel. Leur cave à whiskies étant très abondamment fournie, je me laissais guider par la barmaid pour deux dégustions avant de passer à table.

Dès le premier jour, j’ai croisé le regard d’un couple. Surtout celui de la femme. Une liane d’ébène sublime, un cul superbe, de longs cheveux qui devaient lui demander des heures de labeur, une paire d’obus en lieu et place des seins et un regard franc et direct qui ne me laissait pas indifférent.

L’homme avec elle était vieux, aussi somnolent que bedonnant, j’ai bien compris qu’il n’était rien, sinon son accompagnateur – ou plutôt ELLE était son accompagnatrice.

Ce soir-là, elle était très belle dans sa robe très courte, ces robes portefeuilles fermées par une ceinture attaché à l’arrière. Quelques bijoux d’or réhaussaient l’ambre brune de sa peau, il exhalait d’elle un parfum capiteux et entêtant. Son factotum, comme tous les soirs, semblait avoir plus envie d’aller se coucher qu’autre chose. Il a d’ailleurs pris congé, m’a salué. Je ne sais pas ce qui m’a pris, je me suis levé et suis allé le voir.

« J’allais vous proposer de dîner ensemble mais je vois que vous êtes fatigué. Peut-être un autre soir. »

Le message entre les lignes était clair, miracle, il avait été compris !

« Je vais me reposer oui mais rien ne vous empêche d’inviter Irène. »

Nos deux regards se sont portés sur le diamant couleur ténèbre et un « Oui » un peu trop enthousiaste a résonné à nos oreilles.

« Vous verrez » a repris la vieille baderne « Irène est de charmante compagnie ! Bonne nuit … et amusez-vous bien tous les deux. »

Je suis resté comme deux ronds de flan, ébaubi, ne sachant si je venais de recevoir un blanc-seing ou si j’avais rêvé. J’ai repris mes esprits, j’ai tendu la main vers Irène qui l’a attrapée avec beaucoup de grâce. Elle a repositionné son châle sur ses épaules et nous avons gagné le restaurant bras dessus, bras dessous.

Mes jambes tremblaient, tout mon corps n’était qu’un cotonnade informe. J’ai souvent cette réaction lors des premiers contact avec une inconnue.

Et elle ?! Qu’en était-il d’elle ? Certes, nous avions échangé des regards équivoques … mais équivoques pour qui ? Sans doute me faisais-je des illusions ? Son compagnon avait beau, visiblement, disposer d’elle à sa guise, pour moi il était hors de question d’aller plus loin sans son consentement express !

C’est dans ce contexte très particulier que nous sommes passés à table.

J’ai repris pied après l’entrée et deux coupes de champagne, arrivant désormais à aligner trois mots intelligibles et à recouvrir mon sens de l’humour.

Irène était charmante, cultivée et avait beaucoup voyagé. J’ai éludé les questions concernant son chaperon et visiblement elle m’en su gré. Le dîner aux chandelles s’est déroulé dans une ambiance feutrée et Irène a commencé à rechercher le contact de ma main. Au dessert, nos doigts, telles les touches d’un piano sensuel, s’entremêlaient en un concerto allant crescendo.

Nous avions visité virtuellement le Congo, l’Australie, le Brésil, Miami, le Japon et la Turquie, nous avions évoqué l’été indien au Canada et les plages désertes du front de mer de Nha Trang au sud du Vietnam. Et c’est avec ces images paradisiaques que nous nous sommes vus offrir deux coupes de champagne que nous sommes allé déguster dans le patio. L’air était encore chaud, les pierre exhalait une douce chaleur équivoque, les bruits de la ville étaient étouffés par les hauts remparts de cette bâtisse ancestrale, j’étais enivré par le parfum d’Irène, assis dans ce canapé tout était loin, mon ex-femme, mon travail, mes préoccupations diverses. J’avais la tête penchée en arrière, tirant sur ma cigarette, mon verre dans l’autre main lorsque les étoiles se sont obscurcies ? Le visage d’Irène s’est dessiné, camaïeu d’encres, une œuvre de Pierre Soulages se formait sous mes yeux. Mais nulle place à la rugosité et aux aspérités du célèbre peintre ruthénois, la nuit m’a enveloppé d’un voile de douceur, les lèvres d’Irène ont épousé les miennes.

Le temps s’est figé, c’était ma première escapade en tant que célibataire, c’était la première fois que je vivais un tel moment de grâce, une femme prenant l’initiative du premier baiser, c’était ma première femme de couleur !

Et dieu que c’était fantastiquement bon ! Mais pourquoi n’avais-je jamais été faire la cour à une femme noire ! Ses lèvres, ourlets de chair broue de noix, englobaient les miennes avec une sensualité folle, sa langue était fraîche du champagne que nous étions en train de boire. Elle a collé sa poitrine contre mon torse et a glissé ses doigts dans mes cheveux. Son parfum entêtant faisait pulser mes temps, ses baisers longs exacerbaient  mes sens. Je me laissais faire, victime consentante de cette amazone macassar.

Je suis revenu à la réalité, mes lèvres alanguies par celles d’Irène, ma main dans son dos découvrant une criante absence de soutien-gorge ! Mais comment faisaient ses seins pour tenir si haut sans cet artifice !?

J’ai dû présenter une drôle de tête car elle a explosé de rire, découvrant ses dents blanches qui reflétaient la clarté de la lune.

« Tu n’as jamais caressé les seins d’une femme africaine toi !? Et bien ? Qu’est-ce que tu attends !?»

Et devant ma valse-hésitation elle a dénoué le lien qui retenait les deux pans de sa mini robe ! Le patio était désert mais un serveur pouvait faire irruption d’un instant à l’autre, ce sont finalement les seins d’Irène qui ont surgi !

Comment vous expliquer ce mélange d’excitation folle et d’extase quasi mystique ? Deux monolithes d’onyx, deux pains de sucre d’obsidienne. Fermes, dressés, fiers et guerriers, armés de sagaies aussi pointues que délicieusement douces.

Elle a pris délicatement une de ces géodes extraordinaire en main et a porté son mamelon à la bouche, j’ai gouté timidement de ma langue puis mes lèvres sont venues s’arrimer à ces ogives délicieusement vanillées.

Je ne savais plus à quel sein me vouer, je caressais l’un, tétais l’autre puis j’alternais sucions et douces palpations.

La robe a fini de s’ouvrir complètement, me révélant un corps incroyable. Ses hanches étaient dessinées au pinceau, son nombril brillait d’un piercing argenté étincelant, son corps suivait les courbes d’un violoncelle totalement érotique. Tout appelait aux plaisir chez cette femme, tout !

J’ai penché la tête pour me délecter de sa silhouette parfaite, j’ai deviné un toupet assez fourni qui ornait, telle une couronne, son mont de Vénus. Et là j’ai senti ses doigts déboutonner ma chemise, ma veste était posée sur le dossier du sofa dans lequel nous étions installés. Je bandais comme jamais, ma queue butait contre mon pantalon et mon érection devenait déplaisante. Irène a dû sentir que je me trémoussais. Elle s’est soulevée légèrement et a sorti ma queue. Je ne maîtrisais plus rien, je ne désirais plus rien maîtriser de fait. Irène tenait les rênes de notre étreinte bien en main. Ses phalanges sombres se sont refermés sur la peau laiteuse de ma queue, elle a avancé son bassin et s’est laissé choir lentement, avalant mon pieu avec une lenteur délicieuse. J’étais au bord de la rupture, tout cela était aussi nouveau qu’excitant pour moi.

Une serveuse est arrivée avec un plateau pour desservir notre table, Irène s’est collée à moi pour m’embrasser langoureusement, cachant une partie de sa nudité, le tissus de sa robe devait à peine dissimuler mon sexe fiché dans le sien.

La demoiselle n’a pas pipé mot et s’est en allée aussi vite qu’elle était venue après avoir ramassé nos verres.

« Viens, allons dans ma chambre » ai-je lancé à Irène.

Elle n’a rien dit, elle s’est soulevée en libérant ma bite et a vite renoué sa robe. Je lui ai pris la main et nous avons couru jusqu’à l’ascenseur, j’ai tout juste eu le temps de refermer ma braguette de pantalon.

La nuit a été voluptueuse, sexuelle, sauvage ! Irène aimait tout ! Je l’ai prise par devant, par derrière, je l’ai léché, bouffée, dévorée, elle m’a sucé, aspiré, avalé !

Nous nous revoyons depuis régulièrement sur Paris, nos parties de jambes en l’air sont toujours stratosphériques. Elle vient me rejoindre le week-end prochain avec une surprise qu’elle m’a envoyée : sa cousine, nue, offerte … elle veut que je les baise toutes les deux … je vais sans doute rendre les armes …

En tout cas, Lyon est vraiment la capitale de la gaule !

(Image à la une : Getty Images)

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  • David

    J’adore ce texte!! Il y a tellement de mots nouveaux, de belles phrases. Je ne peux que féliciter du fond du coeur l’auteur de chef-d’œuvre.

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