La MILF de ma vie
4 mai 2019Ichem, 24 ans, Marseille.
Aux dernières vacances, je suis parti dans un village club à Juan-les-Pins. Au début, on devait y aller avec un pote, on avait loué le bungalow ensemble. Mais, au dernier moment, il a eu un empêchement.
Les cinq premiers jours, je me suis retrouvé seul comme un crevard. Heureusement, il y avait la piscine. Dès que je suis arrivé, je me suis posé là-bas, au bord de l’eau, tranquille. À part moi, y avait un couple de vieux, et sinon, une mère avec ses deux filles, des rebeus comme moi. J’ai parlé aux meufs, elles étaient de mon âge, mais elles se la pétaient trop. Et franchement, il n’y avait vraiment pas de quoi.
Par contre, leur mère, elle m’a bien kiffé dès le départ. On s’est tout de suite mis à tchatcher. Elle s’appelait Latifa. Elle m’a raconté qu’elle avait 45 ans, qu’elle était divorcée. Elle était bien conservée pour une femme de son âge, ça se voyait qu’elle faisait attention à elle. Des pieds et des mains nickel, pas trop de cellulite, des belles rondeurs de chez nous, les cheveux décolorés en blond. Franchement, on s’est trop bien entendus. Le deuxième après-midi, on est restés à discuter au bord de la piscine. Ses filles étaient parties faire de la voile.
Je lui ai raconté toute ma life. Elle m’a dit qu’elle ne s’intéressait pas trop à Internet, elle voulait savoir ce qu’on pouvait y faire. Alors forcément, je lui ai parlé des jeux en réseau, des sites de sexe… Au début, ça m’a gêné de causer cul avec elle, mais elle se marrait, elle m’a grave mis à l’aise. J’en suis arrivé à lui raconter des trucs trop hot. À force, j’ai bien vu que ça la chauffait, elle m’a fait des plans « bretelles qui tombent », « je me baisse pour ramasser mes lunettes noires »… Moi, je la jouais tranquille, je continuais à la tchatcher. Mais, à un moment, elle a remarqué que je m’étais pris un énorme coup de soleil sur les épaules. Latifa a insisté pour que je mette de la crème apaisante. Je lui ai expliqué que je n’en avais pas, elle m’a proposé de m’en apporter. Elle est partie. Moi, j’ai tracé dans mon bungalow.
Dix minutes après, on frappait à ma porte. Je suis allé ouvrir. Latifa avait un flacon à la main. Elle m’a ordonné de prendre une douche avant. J’en suis sorti avec la serviette autour de la taille, elle m’a passé la lotion sur tout le corps. Je ne peux pas dire que ça ne m’a pas fait de l’effet ! Elle avait les mains chaudes. Je me cramponnais à ma serviette, mais elle me l’a gentiment ôtée en ajoutant : « Tu sais, mon grand, à mon âge, j’en ai vu d’autres. » Je n’ai rien osé répondre, elle m’a passé la crème sur les fesses. Mon zob s’est tendu. J’ai vite calculé que Latifa avait grave craqué sur ma queue en liberté.
D’un coup, il n’y avait plus rien de la tendresse d’une meuf qui aurait pu être ma mère. Elle s’est brusquement déchaînée, m’a gobé la teub, bouffé jusqu’aux boules, une grosse chaudasse. Ma queue me faisait mal. Elle s’est accroupie derrière moi et a fourré sa langue dans mon cul tout en me massant la bite avec la lotion hydratante. « C’est un très bon lubrifiant pour ce qu’on va faire« , a-t-elle lâché avant de s’allonger sur la moquette de la chambre en me tournant le dos.
Elle a ouvert son boule au maximum avec les mains. Je me suis jeté dessus pour le lui bouffer, ça sentait fort, j’avais grave le barreau. Je suis entré en elle d’un coup sec et je l’ai fourrée comme jamais je n’avais fourré personne. Le cul de cette meuf, c’était carrément une autoroute. Elle m’a fini à la bouche, je lui ai envoyé mon foutre au fond de sa gorge. Elle s’est relevée pour m’embrasser, tous les goûts se sont mélangés sur ma langue.
Les trois jours suivants, on a baisé comme des oufs. Elle ne voulait que la sodomie. Jamais je n’avais rencontré une meuf comme ça. Le problème, c’est qu’elle est tombée amoureuse. Ça se voit sur une de nos photos. Elle a absolument voulu me pomper dans la piscine, un matin très tôt. Il n’y avait personne. Tout le long, elle m’a fixé dans les yeux.
Le cinquième jour, quand mon pote est arrivé, j’ai dit à Latifa qu’on devait arrêter, qu’elle pourrait être ma mère. N’empêche que ça m’a quand même fait un petit pincement au coeur quand je lui ai dit ça.
Je ne suis pas sûr que je retrouverai un coup comme elle avant longtemps…
(Image à la une : Getty Images)
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« Sa bite, aidée par mes mouvements, m’a pénétrée sans difficulté tellement je mouillais. Il m’a attrapé les hanches et a commencé à me baiser fermement. Nos regards ne se quittaient pas, mes seins ballottaient et claquaient au rythme de ses coups de bite. » Sandrine.
« Et alors jeune homme? »
« J’ai commencé à lécher ses tétons, à pétrir ses loches, à gober tout ce que je pouvais. J’en avais la bouche pleine, et ma bite était en feu. Élise gémissait à chaque coup de langue, à chaque morsure. » Jérémy.
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Cailat
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