Le pote de mon frère
2 juin 2023Agnès, 23 ans, est une femme libérée et cela ne plaît pas à son frère. Elle va pourtant vivre une petite idylle avec un de ses amis…
Bonjour interstron.ru, voici mon histoire de sexe !
Je suis une jeune femme assez curieuse, sexuellement parlant. Je suis ouverte à toutes les opportunités qui se présentent. Le problème, c’est mon grand frère qui est un peu sur mon dos et qui a du mal avec le fait d’avoir une petite sœur aussi libérée que moi. Il me fait souvent des remontrances quand il me voit à des fêtes rentrer avec un homme. J’essaie de lui faire comprendre qu’il me saoule et que je suis bien libre de faire ce qui me chante ! D’autant que récemment, c’est un de ses meilleurs potes qui a atterri dans mes filets… Je m’explique.
Draguée par par l’ami de mon frère
Mon frère devait m’emmener en voiture à mon cours de tennis et il était coincé dans les bouchons. Il avait alors demandé à Mathias, un ami de longue date et de confiance, s’il pouvait le faire, pour le dépanner. Bien mal lui en a pris ! Il se trouve que depuis longtemps, Mathias et moi nous tournions autour. Il était plus âgé, 35 ans alors que j’en ai 23. Il m’attirait et j’avais remarqué que je ne le laissais pas indifférent non plus.
Il est arrivé pour me prendre en moto, avec tout un attirail en cuir, ce qui le rendait terriblement sexy. Sur sa bécane, nous nous sommes nous aussi retrouvés coincés dans des très gros bouchons. On avançait plus vite que les autres, mais nous étions souvent contraints d’être à l’arrêt.
Bien installée derrière lui, j’en ai profité pour lui raconter des blagues et discuter. Le fait de ne pas être face à face nous donnait plus de liberté. Le temps s’écoulait et je ne le voyais pas passer. Quand nous nous sommes remis à rouler, je me suis plaquée avec insistance dans son dos et j’ai serré mes bras et mes mains autour de lui, poussant l’audace jusqu’à lui caresser tendrement le torse. « On ne devrait pas faire ça, ton frère va nous tuer », murmurait-il. Et plus il le disait, plus je me pressais dans son dos pour lui signifier mon désir.
Un doigt dans le minou
Comme nous n’en pouvions plus, nous nous sommes arrêtés sur le trottoir. Mathias a retiré mon casque et m’a emballée alors que j’étais encore sur la moto. Nous avons poussé la porte cochère d’un immeuble et avons trouvé un coin discret, à l’abri des regards. Sa bouche pressante me dévorait le visage et nos langues se mêlaient si furieusement, si intimement, que j’en avais l’entrejambe toute inondée.
Il a écarté ma robe et ma culotte pour me doigter et je me sentais fondre autour de son gros doigt puissant. Ses mains m’appelaient, me pétrissaient tout entière et je le lui rendais bien. Il a retiré ma robe et j’étais nue, frissonnante, dans ce recoin sous l’escalier de service.
Je me suis agenouillée pour déboutonner son pantalon de cuir. Sa queue était comprimée tant il bandait. Je l’ai libérée et me suis mise à la lécher de haut en bas. Elle était très tendue et parcourue de veines saillantes. Je me délectais de sa grosseur. Il ne faudrait jamais que mon frère l’apprenne ! Aussi, j’ai flippé quand Mathias m’a prise en photos pendant que je le suçais, mais bon c’était excitant. Alors j’ai tout donné pour la caméra de son téléphone.
J’offre une pipe à l’ami de mon frère
Je l’ai sucé jusqu’à avoir mal à la mâchoire, savourant chaque centimètre carré de sa peau. Sa bite remplissait totalement ma bouche, m’étouffant presque. Je me sentais mouiller entre mes cuisses nues. Je l’ai fini à la main en branlant cette belle bite turgescente qu’il m’était donné de caresser. J’adorais ça, ce contrôle d’un membre dur pour moi.
Il m’a fait mettre à quatre pattes pour me caresser tout le corps et me lécher la minette et le cul par derrière, astiquant ma fente. Puis je me suis mise debout contre le mur pour être plus à l’aise, et il s’est agenouillé à son tour pour me faire un cunni. Waouh ! Personne ne m’avait jamais léchée comme ça ! Je prenais ses cheveux pendant que sa langue percutait habilement mon clito et faisait monter le plaisir comme une bombe à retardement.
J’étais complètement folle de cette caresse si intime et si puissante, avec un simple bout de langue pourtant ! Même si mon frère venait à le découvrir, jamais je ne renierais un moment aussi beau. J’ai joui, debout contre le mur du vestibule, avec ma mouille qui dégoulinait en se mêlant à sa salive, folle d’avoir joui aussi fort, sous le coup de l’adrénaline.
Mathias m’a ramenée chez moi et ce rendez-vous est devenu une habitude, Mathias et moi dans le vestibule, à se lécher mutuellement, lui me prenant parfois par derrière contre un mur. Nous ne l’avons toujours pas dit à mon frère, mais nous vivons notre aventure passionnément.