Vengeance jouissive

La rédaction 14 avril 2016

Lisa a concocté un plan machiavélique pour se débarrasser de la nouvelle compagne de son cher père : coucher avec le fiston encore puceau de cette dernière. Étant donné le physique de la demoiselle, le jeune homme ne saura résister à l’appel des sens. Une première fois qui, pourtant, en amènera bien d’autres car Hugues fait preuve d’un potentiel sexuel sans limites !

Cela ne devait au départ, être qu’un jeu. Et puis, je me suis laissé prendre à mon propre piège. Que je vous explique…Mon père est depuis quelques temps avec une femme que je déteste (et réciproquement), Hugues son fils est un puceau de 19 ans couvé par sa maman qui tente de le protéger des filles « méchantes et délurées » comme moi. Inutile de vous dire que mon plan vengeur était tout trouvé. Séduire le jeune homme bien sûr ! J’ai profité d’une absence paternelle et de sa diablesse du domicile de cette belle-famille recomposée (enfin, provisoirement !) pour mettre mon plan à exécution, en demandant à Hugues, en deuxième année de prépa littéraire, de m’aider à traduire un texte latin.

Lorsque j’ai vu le gus débarquer dans ma chambre avec ses gros chaussons « toutou », j’ai dû me pincer afin de ne pas exploser de rire et compromettre mon stratagème.

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En me découvrant en jupette, les yeux d’Hugues ont roulé comme deux grosses billes.Pour décupler son excitation, je n’avais évidemment pas mis de soutien-gorge, pinçant mes tétons afin qu’ils pointent sous le fin tissu qui couvrait ma poitrine. Mon petit puceau tremblait en me regardant. J’ai approché mes lèvres des siennes afin de lancer les « hostilités ». Hugues était gaulé comme un ablette et je me demandais ce que me réservais ses attributs génitaux.

Lorsque j’ai déboutonné son jean pour en extraire sa queue, j’ai bien cru que le garçon allait tourner de l’œil. Il émettait des petits râles assez étranges, de ceux dont il me gratifiait lorsqu’il s’enfermait des plombes aux toilettes. En extrayant « la chose » de sa cachette, j’ai constaté avec étonnement que sa queue encore vierge de toute main féminine bandait mou. Ca commençait bien ! J’ai donc saisi ce ver de terre mollasson afin de lui redonner tant bien que mal de la vigueur. Hugues se cramponnait au bureau et fixait mes moindres faits et gestes en déclamant d’attendrissants « Oh la la… » Ca devait le changer du virtuel ! Ah oui, il faut vous dire que pour on stratagème soit tout à fait au point et puisse déclencher les foudres de la belle-mère, j’avais bien entendu placé mon ordi portable à un endroit stratégique afin de filmer ce dépucelage d’anthologie que belle-maman ne tarderait pas à découvrir.

Jouant volontairement et avec lui un plaisir non dissimulé les garces de service, j’ai fait disparaître la queue d’Hugues, non sans l’avoir au préalable couverte d’un long filet de bave. La pauvre devait se croire en plein porno pour une première !

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Je sentais tout son corps se tendre et trembler à chaque fois que ma bouche coulissait le long de sa tige d’où déjà perlaient quelques gouttes annonciatrices du degré d’excitation du garçon. Il me fallait vite passer à autre chose avant que mon film vengeur ne tourne au court-métrage !

Je me suis mise debout, bien cambrée, afin que mon partenaire inexpérimenté (ainsi que la cam de mon ordi !) puisse profiter de la vue plongeante sur mes orifices ouverts. Hugues n’a pu réprimer un « Whaouuuu, c’est trop beau ! » admiratif en découvrant mon petit trou et ma chatte totalement glabres. Au lieu de plonger la tête pour me dévorer de l’intérieur, le garçon a bizarrement calé son visage à quelques centimètres de ma croupe tendue pour me humer. C’était vraiment chelou !

J’entendais sa respiration bruyante, et son souffle chaud sur mon intimité commençait à me faire mouiller grave. Hugues a écarté ma chatte et y a plongé ses doigts avant d’en faire de même avec mon petit trou. J’avais l’impression d’être le mannequin d’un cours d’anatomie ! A 18 ans, c’était la première fois que je me tapais un mec qui n’avait jamais « vu le loup », et cela comblait mon tempérament de jeune fille perverse. De surcroît, belle-maman allait être contente de voir son grand garçon passer à la casserole !

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Après cette drôle de revue de détails digne d’un gynécologue, j’ai invité Hugues à faire le grand saut en me pénétrant. Même si, au départ, cette baise programmée avait un objectif bien précis, mon corps entier répondait à l’excitation de la situation.

Ma minette mouillée n’a donc eu aucun mal à accueillir le membre désormais raide de mon puceau qui, à partir de cet instant, n’en était d’ailleurs plus un ! Je me suis allongée sur le bureau, les cuisses largement ouvertes, pour qu’Hugues vienne s’enfoncer en moi. Toujours aussi chienne, je matais fixement de temps à autre la caméra de l’ordinateur en passant ma langue sur mes lèvres et en gratifiant l’objectif d’un petit clin d’œil à destination de belle-maman. Je regardais la belle queue dure et enduite de ma mouille aller et venir dans ma minette. Hugues suivait mes directives et je dois dire que, pour une première, le garçon se débrouillait plutôt très bien ! Ses deux branlettes quotidiennes avaient au moins eu le mérite de lui donner de l’endurance pour ce grand saut.

Volontairement, j’ajoutais quelques dialogues sulfureux à notre partie de jambes en l’air afin que la marâtre puisse se régaler du son et de l’image du dépucelage de son grand dadais de fiston. « Allez Hugues, défonce-moi bien, mets ta queue au fond de ma chatte. C’est quand même mieux qu’un petit plaisir solitaire dans les chiottes, non ? » Le pauvre garçon bafouillait des : »Oh oui, oh oui, c’est bon, merci, merci… » Décidément aucun homme ne pouvait résister à mes charmes, dont je savais déjà parfaitement user malgré mon jeune âge. C’est si simple de jouer avec les hommes…

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Contrairement à mes nombreuses autres fois (eh oui, j’ai beaucoup d’appétit, que voulez-vous !), je n’avais pas exigé d’Hugues qu’il mette un préservatif. Forcément, il était puceau !

Je profitais donc pleinement de sa queue qui me limait désormais sur le côté. J’adore cette position !

Les jambes serrées et le cul bien ouvert me permettent de profiter de toutes les délicieuses sensations d’une bonne baise. Je surveillais Hugues du coin de l’œil afin qu’il ne gicle pas prématurément et surtout, pas en moi, puisque je ne prends pas la pilule. Je ne savais déjà si mon paternel me pardonnerait un jour de m’être envoyée en l’air avec le fiston de son horrible nouvelle nana, alors imaginez si je lui disais que j’étais enceinte d’Hugues ! Là, je pense que les seules options pour moi auraient été le couvent ou l’avion direction les antipodes. Mais à cet instant, le plaisir l’emportait sur les conséquences.

Pour un dépucelage, Hugues s’avérait un excellent amant. Le garçon faisait preuve d’endurance, et sa queue bien raide semblait sculptée pour mon vagin. Assise sur lui, j’imprimais un mouvement beaucoup plus soutenu à notre partie de cul. Je craignais bien sûr de me faire remplir de son jus, mais non, il tenait…Merveilleusement placée devant le petit point rouge de mon ordinateur, je m’écartais les fesses afin de paraître toujours plus provocante.

Dommage qu’Hugues n’ait pas eu le réflexe (ça viendrait avec le temps !), car j’avoue que j’aurais volontiers accueilli sa tige de chair au fond de mes jolies fesses de coquine. Une bonne queue dans mon petit trou, rien de tel pour me faire décoller !

D’ailleurs, ce n’est pas un hasard si je demande à tous mes amants de visiter ma porte de derrière. J’aurais bien évidemment pu me lever et aller chercher mon plug pour me l’enfoncer entre les fesses, mais je pense qu’Hugues se serait évanoui. Il fallait quand même penser à ménager ma monture qui, de surcroît, s’avérait très douée pour le rodéo à deux. L’autre avantage, c’est que ce sexe séjournait à domicile, ce qui permettait de voir l’avenir empli d’orgasmes.

Cette optique avait l’avantage de remplacer mon gode par une belle queue disponible selon mes envies, mais je devais pour cela remettre ma vengeance à plus tard, lorsque, si je puis dire, j’aurais fait le tour d’Hugues et de ses compétences en matière de sexe. Mais ne dit-on pas que la vengeance est un plat qui se mange froid ?

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Je me disais également que le petit film destiné à ma « moche-mère » pouvait se présenter en plusieurs parties afin de montrer à cette vieille peau comment son jeune rejeton avait fait d’énormes progrès en matière de sexe grâce à la professeure perverse que j’étais. De plus, je savais qu’Hugues avait pour meilleur ami un puceau (tout comme lui quelques minutes plus tôt !) avec lequel il ne le restait plus qu’à organiser un joyeux trio. Une telle scène complétée par une magnifique double pénétration ne manquerait pas de donner à la belle-mère une crise de nerfs avec hurlements d’horreur à la clé. J’avais un peu ralenti le rythme de mes va-et-vient sur la queue de mon partenaire car, à ses miaulements de chat errant et à son souffle saccadé, je déduisais que l’évasion de son sperme n’était plus très loin.

J’étais moi aussi proche de la jouissance, et une dernière petite levrette en caressant mon bouton d’amour allait être la bienvenue pour atteindre l’orgasme. Je me suis retournée pour qu’Hugues me défonce sur le bureau.

Le pauvre était à deux doigts (enfin deux coups de queue !) de l’explosion. « Ralentis, attends un peu, je vais jouir moi aussi et après tu pourras te vider sur mon joli petit cul », me suis-je exclamée.

J’ai bien calé ma main sur mon clito alors que mon partenaire restait maintenant totalement immobile au fond de mon vagin (le pauvre chou devait se trouver au point de non-retour !) Je me connais si bien (malgré mon jeune âge, mon corps n’a plus de secret pour moi !) que je suis capable de me faire jouir très vite avec ma main. Je me suis donc caressée tout en demandant à Hugues de venir vider son jus sur mes fesses tendues qui n’attendaient plus que sa semence. Lorsque j’ai senti mon ex-puceau sortir de ma chatte et déverser son nectar sur ma peau, j’ai été prise de spasmes tant l’orgasme a été d’une violence inouïe.

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J’ai repris mes esprits au bout de quelques instants. J’entendais le pauvre Hugues bafouiller des « Oh la la, mais qu’est-ce que j’ai fait. Que va dire maman ? » C’était si touchant !

J’ai bien vite calmé le pauvre garçon qui avait l’air tout penaud. « Ne t’inquiète pas, lui ai-je glissé, cela restera notre petit secret, personne ne sera au courant de nos parties de cul. Mais si tu veux que je tienne ma langue, il va falloir que tu sois très disponible et que tu me donnes ta queue à chaque fois que j’en aurais envie ! » Hugues avait l’air médusé par mes paroles et il a fallu quelques instants avant qu’il ne bredouille un « D’accord, pas de problème, je ferai tout ce que tu voudras ! »

Papa et « l’autre » sont rentrés environ une heure plus tard ; Nous avions eu le temps de nous doucher et, pour l’occasion, j’avais même offert à mon nouveau sextoy sur pattes une bonne pipe avant d’avaler tout son sperme. Le pauvre a failli faire un arrêt cardiaque. Comme d’habitude, la mégère m’a regardée avec condescendance, mais en mon for intérieur, je riais en pensant à la tête qu’elle allait faire le jour où elle visionnerait son rejeton haletant entre mes fesses.

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