Les joies de la coloca »fion »

La rédaction 16 juin 2022

Paola s’est enfin décidée à quitter le cocon familial désireuse de s’émanciper en goûtant aux joies de la colocation avec Pierre, un ami de Fac. Pour inaugurer ce nouveau nid douillet, la demoiselle va s’offrir une visite en profondeur de toutes ses “pièces” personnelles et inaugurer comme il se doit les pièces de son nouveau logis.

Mon nom est Paola et, à 18 ans pétantes, j’ai décidé de m’émanciper du domicile parental en allant vivre dans une grande ville, en colocation. Mon rêve !

Surtout, ne plus vivre chez mes parents voulait dire pour moi conquérir enfin ma liberté sexuelle ! Imaginez, devoir baiser seulement quand ils sont absents dans votre chambre en ayant toujours peur de se faire surprendre, c’est pas une vie, ça ! Moi, j’avais envie de vivre ma vie sexuelle à fond dans un endroit qui serait à moi, où je pourrais faire tout ce que je veux et céder au moindre de mes fantasmes en y ramenant tous les mecs dont j’avais envie.

J’avais une telle soif de liberté que j’ai même pris le risque d’emménager avec un mec qui allait à la même fac que moi. Je ne le connaissais pas très bien, mais je l’avais déjà vu à certaines soirées et il était très sympa. J’étais assez curieuse de vivre avec lui.

J’étais vraiment avide de le connaître. J’avais l’impression d’être un animal captif qu’on venait de remettre en liberté et qui désirait renifler tous les autres animaux à sa portée. Après seulement quelques jours de cohabitation, je me suis rendu compte que ce nouvel ami m’attirait de plus en plus.

Sa présence masculine dans la maison me perturbait, dans le bon sens du terme.

J’avais hâte qu’il rentre le soir, son sourire me manquait la journée, et au moment de se dire bonne nuit, j’avais une furieuse envie de le suivre dans sa chambre. De surcroît, il était aussi libéré que moi et nous nous sommes rapidement mis à converser de notre passion commune : le sexe.

Il m’a dit qu’il ne l’avait pas beaucoup fait non plus, mais que si les deux parties en avaient envie, ça pouvait être très fort en termes de sensations. Le soir, je me suis surprise à rêver qu’il me prenait par le cul. Avoir une discussion aussi ouverte sur le sujet m’avait mise en confiance et ces échanges me donnaient l’envie d’aller encore plus loin…

Un soir, il était justement en train de lire Cosmo, le magazine, sur le canapé et j’ai vu sur la couverture que ça parlait de sodomie. Je me suis demandée si ce n’était pas fait exprès.

Je suis passée devant lui en faisant ma belle, en agitant mes cheveux blonds et en roulant un peu du cul. Je voulais qu’il me remarque. « Tu fais quoi ? » m’a-t-il demandé. « J’essaie d’attirer ton attention. Tu veux pas qu’on mette en application ce que tu es en train de lire dans ton article ? » Il m’a regardée, interloqué par mon aplomb. Je suis allée me servir un truc dans la cuisine en me penchant allègrement en avant, pour qu’il mate mon cul bien serré dans mon jean moulant. « Si, je veux bien… Mais est-ce vraiment une bonne idée pour l’esprit de la coloc ? »

Je suis arrivée à sa hauteur au niveau du canapé. Tout naturellement, il a ouvert les jambes et les bras et je me suis blottie contre lui. « J’en sais rien, mais j’en ai envie depuis le premier jour. » « Je te mentirais si je te disais que ce n’est pas mon cas », a-t-il rigolé avec son rire cristallin et son regard de braise braqué sur moi. Mes seins étaient à hauteur de son visage. Il l’a posé contre moi et a attendu que je baisse ma tête vers lui pour l’embrasser.

Il a pris ma bouche dans la sienne, nos lèvres se sont ouvertes l’une à l’autre dans un grand frisson d’évidence : l’alchimie entre nous était réelle. Il a sucé ma lèvre inférieure en la roulant doucement dans sa bouche. Ça a instantanément allumé la mèche du plaisir entre mes cuisses. J’ai senti ma chatte se réchauffer et cette chaleur se répandre dans tout mon bas-ventre.

J’ai retiré mon t-shirt pour sentir sa peau contre la mienne. Il a embrassé et caressé mes seins avec tendresse, et chacun de ses gestes contre mon épiderme créait une explosion de frissons qui, tous, convergeaient vers mon clitoris palpitant.

Il s’est allongé contre le canapé pour m’admirer. J’avais envie de le lui arracher, mais j’ai préféré faire durer pour laisser lentement monter le désir.

Je sentais la bosse de son érection sous moi. Celle-ci m’allumait la chatte tandis que je cambrais les hanches d’avant en arrière.

Je voulais sentir la barrière de sa tige contre ma fente et la chaleur créée par le frottement des tissus et des organes.

J’ai fini par baisser mon pantalon pour me retrouver en culotte dans ses bras.

J’ai tortillé du cul pour qu’il se rince l’œil. « Je savais que t’étais gaulée comme une déesse, mais là je suis impressionné », a-t-il dit, flatteur. Ça m’a encouragée à me mettre enfin vraiment toute nue. Tout mon corps était posé contre le tissu de notre sofa et la partie de ma peau qui était exposée à l’air libre, il la réchauffait de ses mains et de ses baisers.

Son visage s’est niché dans tous les recoins de mon corps pour l’explorer. Il a embrassé mes genoux, mes aisselles, mes seins, la ligne qui va jusqu’au nombril, et il a continué sa course jusqu’à mon sexe où il a enfin posé sa bouche incandescente. Son cunni était un petit bonbon, tellement il était bien fait et précis. J’étais aux anges et j’ai pensé que j’aurais du mal, désormais, à ne pas lui réclamer cette gâterie à tout moment.

Il s’est enfin mis nu à son tour. J’ai saisi son manche et je me suis mise à l’astiquer entre mes doigts. Une fois que j’ai senti sa grosseur bien gonflée et fin prête entre mes mains, je l’ai faufilée dans ma bouche.

Elle a pris un espace conséquent, déformant mes lèvres et mes joues, mais j’aimais être pleine de lui, pleine de sa chair et de sa grosse pine que j’avais envie de me prendre jusque dans mon trou le plus étroit.

Mon cul et ma chatte appelaient de leurs vœux sa présence en eux. Je voulais qu’il me fourre jusqu’à suffoquer sous l’étreinte, au fond de mes entrailles.

Assise sur lui, de dos, il a relevé mes jambes pour les tenir en l’air et me prendre par-derrière.

J’étais postée au-dessus de lui, accrochée à son corps par sa bite qui me fendait en deux par sa puissance, jambes relevées, complètement dépendante de ses décisions sur mon corps.

Fier de sa performance, il m’a couchée sur le côté pour se blottir tout contre moi, dans mon dos. Il a continué à me prendre par-derrière en caressant mes seins et en soignant ses allers-retours toniques et fermes dans mon sexe extatique. Ma chatte ressentait chacune de ses percées comme une offrande. Il stimulait tout l’intérieur de mon être et je découvrais enfin cette liberté dont j’avais tant rêvé jusque dans ma chair.

J’ai senti le plaisir inonder mon entrejambe alors qu’il commençait à me stimuler l’anus à l’aide de deux doigts agiles. « Tu veux aller encore plus loin ? » Oui, je le voulais, tout mon corps l’appelait.

Allongée sur le côté, il m’a fait écarter les jambes plus largement pour pouvoir s’introduire en moi. Il y est allé avec des caresses, du lubrifiant, et même un anulingus, qui l’ont aidé à s’enfoncer dans mon fondement très progressivement.

Chaque centimètre de son avancée me faisait un peu plus de bien, comme une pression intense dans mon cul qui diffusait en même temps son pouvoir sensoriel, sa capacité à m’ouvrir, à jouir de sa présence en moi à cet endroit précis.

Il m’a fait basculer sur son ventre, toujours de dos pour mieux pouvoir me manier, et j’étais posée sur son corps, lui en-dessous de moi, son sexe fiché dans mon petit trou, et c’était trop bon de se faire posséder par lui et de le posséder en retour, aussi totalement, aussi profondément qu’à travers cette sodomie.

Les sensations sont difficilement descriptibles, mais ce qui est sûr, c’est que sa grosse teub qui limait les tréfonds de mon intimité était un des plaisirs les plus extrêmes que j’aie connus.

Avec ses mains libres, il astiquait mon clito en le frottant comme pour y allumer un nouveau foyer d’incendie.

J’allais finir carbonisée. La combinaison de la stimulation du clito et de la sensation profonde de le sentir m’enculer était la chose la plus jouissive jamais ressentie dans le labyrinthe de mes terminaisons nerveuses.

Je voulais prolonger ce moment intense avant la déferlante imminente qui se profilait. Alors je me suis tournée face à lui, à califourchon sur son ventre, sa bite toujours fichée dans mon cul.

Nos quatre mains écartaient les boules de chair de mes fesses pour lui faciliter l’entrée dans mon corps.

Le brasier dans mon cul était aussi puissant que les torrents de mouille qui dégoulinaient de mon sexe. J’aurais voulu qu’il trempe sa queue dans ce puits humide pour la lubrifier encore plus et qu’il m’enfile par le cul juste après, pour l’honorer encore plus fort, encore plus loin.

Pierre était à deux doigts de tout lâcher. Moi, je me suis frottée encore plus vite contre son ventre pour embraser mon clitoris à nouveau, tandis que dans mon cul, sa queue faisait toujours des allées et venues.

L’alliance de ces caresses m’emmenaient vers un paroxysme de plaisir qui me donnait le tournis.

J’ai malgré tout réussi à continuer de frotter mon entrejambe contre lui et j’ai accueilli ses derniers coups de queue dans mon cul pour laisser éclater mon orgasme, sentant que lui aussi jutait dans mon intimité, dans un long tressaillement qui nous a transportés tous les deux vers des contrées de plaisir rarement visitées.

Épuisés, nous nous sommes reposés dans les bras l’un de l’autre, allongés sur notre canapé que nous avions inauguré de la plus noble des manières… La prochaine fois que des invités s’y installeront, il sera difficile de ne pas avoir une pensée pour cette comminterstron.ru de nos corps enlacés.

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