Ça se Corse pour Samia !
20 décembre 2025
Je suis une jeune femme très portée vers la chose, à tel point que j’aime imaginer en permanence de nouvelles expériences sexuelles. Ma dernière lubie en date était de me faire photographier, par une femme de préférence, en pleine action. Pour ça, j’ai songé à mon amie Léa. Voici mon histoire de sexe érotique.
Désirs lesbiens et multiples
Ses mains calmes, son œil précis. Elle m’avait déjà prise en photo, souvent. Mais là, je voulais autre chose. Je voulais qu’elle me voie dans ce que j’avais de plus trouble. Pas en train de poser, mais en train de jouir. Elle passait le week-end chez moi et je lui ai fait part de mon envie. Elle a rigolé en disant que j’étais décidément pleine de fantaisie, mais elle n’a pas esquivé. « Tu es bien sûre que c’est ce que tu veux ? » Oh oui, j’en étais sûre. Je voulais que ce soit elle, la spectatrice de mes ébats. Je savais en outre qu’elle avait des désirs lesbiens plus ou moins secrets. Et j’espérais bien que, par la même occasion, cela lui permettrait d’expérimenter les sensations que cela lui procurerait de me regarder en train de baiser – certes, avec un homme, mais tout de même. Je lui ai dit que je voulais me voir dans le désir, mais à travers ses yeux. Je sais que je peux tout lui dire et j’ai bien vu qu’elle était intriguée et même davantage tentée par mon invitation surprenante, voire saugrenue.
Le lendemain soir, j’ai proposé à l’un de mes amants, Gaspard, de passer à la maison tout en le mettant au courant de notre petit jeu. Il a été bien sûr emballé par l’idée. Je rêvais déjà du moment où il poserait sa bouche sur moi et où Léa poserait son regard sur mon corps. Quand il est entré dans l’appart ce soir-là, – il avait les clés – il m’a rejoint directement dans la chambre. Léa était là elle aussi, tapie dans l’ombre. Nous avions déjà commencé toutes les deux et elle m’avait photographiée en train de me caresser avec ma main sur le lit. J’avais même pris une pose assez provocante, les genoux relevés, en tenant mes chevilles avec mes mains, pour qu’elle puisse regarder mon sexe, en observer toutes les courbes et toute l’intimité secrète. C’était déjà un moment très fort et très intime de partager cela toutes les deux. Je me sentais en pleine confiance devant elle et même troublée de la savoir troublée. Je sentais son objectif quelque part derrière moi. Léger, flottant comme un souffle. Et moi, j’étais plus présente que jamais à l’instant présent.
Voyeurisme et partie fine
Gaspard s’était déshabillé en un tour de main et m’avait désormais rejoint sur le lit, nous étions tous les deux en train de nous embrasser. Il s’est allongé et je l’ai pris dans ma bouche avec tendresse. Sa bite frétillait entre mes lèvres, je sentais son désir monter dans son membre comme une sève inarrêtable, intarissable. Était-il, comme moi, boosté par la présence de Léa ?
À son tour, il m’a invitée à m’allonger sur le lit et s’est penché sur moi approchant dangereusement sa bouche de ma chatte. Ce fut un des meilleurs cunni de ma vie. J’étais très excitée par la présence de mon amie, par le fait de lui montrer comment j’aimais être touchée, allumée. La langue de Gaspard, agile, me faisait monter au bord de l’orgasme, puis s’arrêtait, me faisait repartir, puis s’arrêtait à nouveau. Je crois qu’on appelle ça « l’edging » maintenant, arriver au bord de la jouissance et la laisser en suspens, puis reprendre…, ce qui fait que l’orgasme au final est encore plus puissant qu’escompté. Et ça n’a pas raté…
J’ai eu besoin d’un petit moment pour reprendre mes esprits avant que Gaspard me prenne en levrette. Cette position plus classique a le mérite de faire son effet à qui la regarde et rien que d’y penser, mon esprit reparti sur les vagues du plaisir. Son corps bougeait contre le mien, je souriais à demi couchée sur le lit, je regardais mon amie qui s’était animée et qui avait commencé à tourner autour de nous pour nous prendre en photo de plus près. Au plus près de nos souffles qui s’étaient accélérés d’un coup… Je voyais son visage et le plaisir qu’elle prenait à nous regarder, son plaisir à voir mon propre plaisir. Celui de Gaspard, elle s’en moquait un peu, je pense. Je me suis retournée accueillant mon amant au-dessus de moi. Il m’a prise comme une bête et j’ai savouré les dernières sensations de son membre au fond de mon antre.
Je savais que cette débauche d’énergie annonçait son retrait. Il s’est retiré pour éjaculer sur mon corps nu. Et moi, pendant qu’il giclait sur mon ventre, je me branlais, si vite, si fort, que mon dos s’est cambré, mon visage et mon regard sont partis en arrière. Les spasmes du plaisir ont pris tout mon être. La dimension mécanique du plaisir, je la devais à ma main et aux précédentes caresses de mon amant, mais la part cérébrale de mon excitation, je la devais à Léa, à son observation attentive, à sa captation de ma sexualité. C’était là, le vrai sommet de cet instant-là. Cet orgasme-là, il était pour elle.
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