Plan à trois avec la queue du concessionnaire
29 juillet 2022Lors de l’achat de leur nouvelle voiture. Cynthia et Jean Pierre ont décidé de s’adonner à un plan à trois orgasmique avec leur William le concessionnaire…
Bonjour, je m’appelle Cynthia, voici mon histoire érotique. Jean-Pierre, mon mari, et moi-même avions décidé de changer de voiture. La veille de l’essai, une urgence professionnelle lui est tombée dessus.C’est donc seule que j’ai assuré le rendez-vous avec William, le vendeur.
Mon T-shirt noir et serré ainsi que ma minijupe en jean ont très vite attiré l’œil du commercial. Chaque débrayage faisait remonter le liseré du denim sur mes cuisses et découvrait ostensiblement mes bas.
À l’abri des regards
William m’a indiqué un chemin vicinal qui menait à une clairière déserte permettant d’effectuer quelques manœuvres. C’est là que j’ai posé ma main sur sa jambe et l’ai embrassé. Il a passé sa main autour de mes épaules et s’est penché vers moi avec lenteur pour me rouler une pelle magistrale. J’en voulais à Jean-Pierre de m’avoir laissée seule, William était mignon et quand je suis énervée ainsi après mon mari, l’unique chose qui me calme ? C’est un orgasme.
Les phalanges masculines et soignées se sont posées sur ma cuisse et sont paresseusement remontées jusqu’à mon con mouillé et simplement gardé par un string en coton gris. Je lui ai signifié que j’étais d’accord pour qu’il me baise ici et maintenant, mais à une condition. Je voulais qu’il prenne mon portable et qu’il nous photographie afin que Jean-Pierre soit fou de jalousie. Et je lui ai promis que s’il me faisait bien jouir, juré, craché, je ferais en sorte que mon mâle défaillant signe la vente !
Après m’avoir doigté, William est sorti de la voiture, en a rapidement fait le tour et a ouvert la porte-passager. J’ai dégrafé ceinture et boutons de jean pour en extraire une belle queue à moitié bandée, plus courte que celle de mon mari, mais trapue et large avec un gros prépuce. J’ai toujours aimé sucer, depuis le lycée où j’ai goûté ma toute première bite, celle de William a réagi au premier contact, j’ai senti la pression augmenter dans son manche et il est devenu tout dur une fois bien au creux de ma bouche.
Coups de reins dans la voiture
On est alors passé à l’arrière de la voiture, cette fois c’est lui qui s’est allongé sur le dos, je l’ai encore pompé un moment, William, trop mignon, n’arrêtait pas de me dire que j’étais canon et ne tarissait pas d’éloges sur ma science de la fellation. Il ne pouvait faire différemment pour me mettre dans un état d’excitation totale.
Je me suis relevée et retournée, j’ai ondulé du popotin un instant, une main caressant mon entrejambe, je me suis penché en avant ce qui a eu pour effet de bien écarter mes petites fesses potelées, j’ai joué de ma posture pour lui faire monter la pression, je le regardais se branler doucement, sa queue était prête pour le grand voyage. Je me suis reculée et je l’ai laissé guider son beau pieu bien droit dans la fente de mon sexe. Tous les hommes à qui j’ai réservé cette position en sont devenus accros. Elle leur permet d’être passif, mais, à la fois, de pouvoir bien voir la rondelle s’évaser à chaque va-et-vient, de tripoter le cul ou son trou à loisir tout en profitant d’une pénétration profonde au creux de ma chatte. Une autre chose que j’aime particulièrement est le bruit sourd que font mes fesses lorsqu’elles retombent sur la bite sans oublier que je peux branler mon petit clitoris à foison.
Mais dans cette posture de squat, jambes pliées, les cuisses chauffent vite et la crampe me guettait.
Nous avons donc inversé les rôles et j’ai bu goûter le confort du cuir de la banquette arrière, moelleuse et encore chaude de la présence de William, j’ai écarté ma culotte à fond sur un côté, il m’a soulevée par les chevilles, me surplombant enfin et m’a prise comme un jouet. Je me suis beaucoup envoyée en l’air en voiture, mais se faire baiser dans une grande berline allemande, c’est autre chose ! William, toujours dehors, avait toute la place dont il avait besoin pour armer ses coups de reins secs et rapides, mon petit corps était à l’aise sur l’assise très profonde. Autre régal, je pouvais crier tout mon saoul, il n’y avait personne aux alentours pour m’entendre à part quelques chevreuils sans doute.
J’ai eu deux orgasmes très forts, donc le plus délicieux me fut donné par un duo de pénétrations vaginale avec sa queue, anale avec ses doigts. C’est lors de ce dernier que William a, lui aussi, passé la ligne d’arrivée. Il a craché tout son foutre chaud au fond de moi, j’ai ramené à la maison les photos, mon string souillé et le contrat de vente ! Autant vous dire que Jean-Pierre s’est engagé à m’accompagner pour notre prochain achat important ! Mais il m’a baisée fort le soir même, tout excité de me savoir encore pleine de William.
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