Parole de string !
20 octobre 2021J’aimerais vous raconter l’histoire porno autour de mon string favori. Je lui laisse donc la parole…
Ma nouvelle propriétaire
J’étais soigneusement rangé dans le tiroir d’une boutique de lingerie de luxe lorsqu’une jolie vendeuse m’a présenté au grand jour à la vue d’Anna et d’une de ses amies. « Oh le beau string, a dit Anna. Une vraie splendeur ! Et juste à ma taille. Je le prends. » Son amie Prune, elle aussi, me trouvait fin, admirable, et terriblement sexy. Coquin même…
Je suis donc un adorable et polisson petit slip noir, si minuscule qu’on m’appelle string. Tout en dentelle transparente, je suis constitué d’un microscopique triangle sans doublure, tendu par un élastique tout fin, et d’une bande étroite de tissu derrière. Le soir même de mon achat, je côtoyais toute une collection d’autres petites culottes somptueuses, de toutes formes et de toutes couleurs : une en dentelle rouge, fendue à l’entrejambe ? quelle indécence ! Une autre vert pâle, ravissante, en forme de papillon, une blanche avec une ouverture à pressions sur le devant, et bien d’autres strings, tous plus impudiques et affolants les uns que les autres… Bien sûr, je me trouvais le plus sexy et je faisais le fier au milieu de tout ce beau linge parfumé.
Dans l’après-midi, la main délicate d’Anna, ma jeune propriétaire, est venue me tirer de ma torpeur. Aveuglé par la lumière du soleil, je me suis rapidement retrouvé entre ses cuisses. Elle était entièrement nue. J’ai eu le temps de voir son visage radieux avec sa longue chevelure noire, ainsi que son corps magnifique : svelte, avec de beaux seins ronds et fermes, un ventre plat, des cuisses fuselées, et un cul tout musclé. Elle a doucement tiré sur mes élastiques pour me placer directement, presque religieusement, sur sa chatte noir de jais. J’étais bien installé. Derrière, s’enfonçait ma petite bande de tissu, calée au chaud dans la raie de ses belles fesses rebondies. Devant, mon minuscule triangle plaquait la douce fourrure de ses poils. Je ne faisais qu’un avec cette si jolie chatte, me fondant dans son pelage sombre.
Je percevais l’énorme renflement de ses grandes lèvres, entre lesquelles je disparaissais en partie. Ses nymphes très étirées gonflaient ma fine dentelle et son superbe clitoris, particulièrement développé, caressait mon tissu. Je me vautrais littéralement sur ce fabuleux sexe mouillé qui dégageait une odeur fortement musquée.
Baptême de mouille
Rapidement imprégné de ce nectar tiède et enivrant, je me suis retrouvé inondé de sécrétions abondantes et collantes. Quelle joie ! Quel délice ! Exposé devant la grande glace d’Anna, j’ai vibré de plaisir lorsque deux de ses longs doigts se sont plaqués sur mon triangle noyé de jus, m’introduisant presque entièrement dans sa fente béante. L’autre main d’Anna m’a alors écarté, laissant place à trois doigts fureteurs qui se sont plantés jusqu’à la garde dans son sexe grand ouvert, dont j’apercevais maintenant les chairs internes rose vif.
La jolie demoiselle se branlait en poussant de longues plaintes ! Alors que le va-et-vient s’accélérait dans la grotte bénie, Anna a titillé sa perle d’amour durcie et démesurément gonflée. Des cris se sont échappés de sa gorge. Elle a joui, emportée par un puissant orgasme. Son minou dégoulinait comme une fontaine. Il y en avait tant que je ne pouvais absorber tout ce merveilleux liquide. Lentement, le coeur battant, les yeux dans le vague, elle s’est détendue, a essuyé son sexe poisseux, et j’ai repris ma place sur sa chatte moelleuse. Quel baptême ! J’en étais tout retourné.
Quelques minutes plus tard, je l’ai vu se maquiller avec soin. Elle a enfilé un chemisier blanc échancré, transparent, à travers lequel on apercevait ses seins fermes et gonflés aux aréoles sombres et aux pointes énormes. Puis, tout s’est assombri autour de moi. Anna venait de mettre une fine petite jupe noire. J’avais pour horizon ses cuisses lisses et ses pieds chaussés de talons hauts. Elle est montée dans une voiture pour un court trajet. Lorsqu’elle a pris un escalier jusqu’au deuxième étage, je l’ai sentie comme excitée. Son beau minou suintait davantage, dégageant une agréable odeur iodée. On a ouvert une porte, et j’ai reconnu la voix de Prune, sa délicieuse amie. J’ai entendu des bruits étouffés. Les deux belles s’embrassaient à pleine bouche. L’effet s’en est très vite ressenti car une douce coulée m’a tout trempé. Quand Prune a soulevé la minijupe d’Anna, une clarté tamisée m’a permis de constater que j’étais dans un très bel appartement.
Très vite, je fus le dernier rempart de la féminité de ma propriétaire. Je me suis retrouvé face à un string en voile blanc tendu sur le minou blond et épilé de sa copine. Déjà , une belle auréole en ornait l’entrejambe ! La main de Prune s’est plaquée sur mon petit triangle pour me froisser, m’enfoncer profondément dans le vagin d’Anna qui commençait à gémir de plaisir. Les deux amies faisaient virevolter leurs langues agiles dans leurs bouches gourmandes pleines de salive. Elles se caressaient mutuellement les seins, pinçant et titillant leurs pointes durcies qu’elles suçaient et gobaient voluptueusement.
Brusquement, une main a tiré sur mes élastiques. J’ai glissé sur les jambes d’Anna et je me suis retrouvé propulsé sur un fauteuil en osier, rapidement rejoint par le string blanc. D’où j’étais, je me régalais du spectacle des deux filles : elles se sont caressé de nouveau les seins avant de se branler mutuellement. Allongées sur la moquette, elles se sont enfourchées, frottant leurs sexes, imbriquées l’une dans l’autre. Puis, elles se sont installées pour un 69 de toute beauté. Anna broutait consciencieusement la chatte de son amie à grands coups de langue et lapait le bon jus qui coulait en abondance. Elle écrasait son minou sur le visage de la blonde qui soulevait ses fesses pour être mieux dévorée.
Toutes les deux poussaient des cris étouffés par le sexe de l’autre. Elles s’agitaient en une cadence qui allait crescendo. Après quelques minutes, elles se sont agrippées l’une à l’autre en poussant de longues plaintes, chacune secouée par un orgasme ravageur.
Elles sont restées ainsi un moment, le temps de reprendre leur souffle. Puis, elles se sont démêlées et embrassées à pleine bouche, le visage encore barbouillé de leur liqueur d’amour. Une main m’a enfoui dans un sac où je suis resté toute la nuit. Dommage, j’aurai bien aimé participer à la fin de la soirée et aux ébats qui ont dû suivre…
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