Le 19ème trou
2 octobre 2020Aline, 27 ans, est hôtesse dans un golf en job d’été. Elle reçoit pas mal de pourboires. Il y a deux ans, elle a reçu bien mieux qu’un pourboire….
Mon nom est Aline, j’ai 27 ans et une histoire de sexe à vous raconter ! L’été, je bosse comme hôtesse dans un golf dans le sud de la France. Les clients : pour la plupart, des messieurs très bourgeois, qui viennent se reposer quelques jours et laissent de gros pourboires aux petites meufs sexy comme moi. Bref, un bon plan ! Et il y a deux ans, j’ai reçu bien mieux qu’un pourboire…
Quand je travaille là-bas, je m’habille toujours avec le joli tailleur fourni par le golf et dessous, de la belle lingerie. Ça ne se voit pas, mais les clients le sentent. Je me rends bien compte de leur regard sur mon décolleté ou la marque de mon string. L’un d’eux, Christian, me reluquait particulièrement. Plutôt beau mec, la cinquantaine, c’était un des clients les plus élégants, avec ses polos bien repassés et des paroles toujours charmantes. Je flirtais avec lui à chaque occasion, le frôlant en lui servant un verre, le complimentant sur sa coupe de cheveux. Un petit jeu bien excitant, qui est soudain passé à la vitesse supérieure.
Un beau jour, alors que j’étais partie me rafraîchir dans les toilettes des dames, j’ai senti une présence derrière moi. Christian m’avait suivie. « Aline, vous êtes particulièrement radieuse, aujourd’hui. » J’ai souri à son compliment. Il avait vraiment de la classe… Des yeux bleu clair, des manières bien plus sophistiquées que les garçons que je fréquentais d’habitude… J’étais séduite. « Vous êtes dans les toilettes des femmes… — Je le sais. Y a-t-il un endroit plus digne de nous dans les parages ? », a-t-il répondu avec un sourire sans équivoque. Son côté très cash mélangé à son attitude d’homme de bonne famille m’ont soudain donné très chaud. Après tout, pourquoi pas ?
Sans un mot, je suis sortie des toilettes, direction les chambres réservées au personnel. Christian toujours sur mes talons, j’ai ouvert une des portes. Pas le droit d’être là, mais qu’importe. À peine arrivé dans une des chambres, mon quinqua s’est jeté sur moi avec fougue. M’embrassant à pleine bouche, il a dégrafé ma chemise avec une dextérité que je n’aurais pas soupçonnée. « Allonge-toi, que je te contemple… » En body noir et jarretières, sous son regard bleu intense, je me sentais hyper sexy…
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Et je suis encore montée d’un cran quand Christian a sorti de sa poche un petit gode en forme de pénis ! Le coquin avait donc prévu son coup… Jamais je n’avais connu un homme aussi sûr de lui. Il s’est placé au-dessus de moi et a introduit le gode dans ma bouche, très doucement. « Suce, puis fais-toi du bien avec. » J’ai léché, puis j’ai pris l’engin entre mes mains. Christian, sans en perdre une miette, s’est mis à poil. Son corps était beaucoup moins hot que celui de mes mecs habituels, mais son attitude me rendait complètement folle. « Vas-y, ma toute belle, fourre-toi ça dans le minou… » J’ai enfoncé le gode avec un gémissement de plaisir. La queue de Christian se dressait devant ma bouche, mais il ne faisait pas un geste.
J’ai continué à me branler en matant sa queue, attendant qu’il la mette dans ma bouche. Voyant mon regard, il m’a souri : « Quand tu n’en pourras plus, tu l’avaleras de toi-même. » Il avait raison : quelques allées et venues bien profondes avec le gode et je ne pensais plus qu’à une chose : l’enfourner. J’ai saisi son engin et je l’ai goulûment pompé, tout en fourrageant dans ma chatte avec la fausse bite. Plus je gémissais, plus je sentais la verge de Christian gonfler dans ma bouche. Sa queue avait un parfum sucré, son gland était ferme et très doux. Je me concentrais dessus et je le suçais comme un bonbon.
« Tu vas me faire jouir, belle salope !« , a balancé Christian. J’ai penché la tête en arrière pour qu’il puisse plonger encore plus loin, la poitrine gonflée de désir, des halètements me soulevant tout le corps. Enfin, j’ai entendu un long râle : Christian me remplissait la gorge de foutre chaud. J’ai donné tout ce que j’avais avec le gode, et la bouche pleine, la chatte en feu, je me suis procuré un orgasme qui m’a arraché un long cri de jouissance.
Christian est revenu au golf tout l’été. Pas sûr qu’il ait amélioré ses performances sur le green, mais ce qui est certain, c’est que pendant deux mois, il a bien rempli des trous…