Les dessous de ma voisine

La rédaction 17 janvier 2020

Joao, 24 ans

Cela fait un an qu’Emmanuelle et Sébastien ont emménagé dans la maison voisine de celle de mes parents. Nous vivons dans un lotissement, nos maisons se touchent et nos jardins ne sont séparés que par une petite barrière. Je discute souvent avec eux, j’aime bien leur parler même si nous avons une grande différence d’âge. Ils ont la quarantaine, mais ils sont toujours prêts à plaisanter, à me raconter leurs sorties ou me conseiller dans mes histoires de cœur. Cela m’a toujours étonné qu’ils s’intéressent à un jeune mec comme moi.

J’ai fantasmé sur Emmanuelle dès son arrivée. Elle est grande, pulpeuse, les cheveux auburn et la peau laiteuse, couverte de taches de rousseur. Toutes les deux semaines environ, elle fait une grosse lessive avec ses culottes, des bas et ses collants. Quand il fait beau, elle étend toute cette lingerie intime sur un fil, dans le jardin. Moi, je la regarde toujours suspendre ces petites merveilles, depuis la fenêtre de ma chambre. Un jour, alors qu’elle était partie faire des courses, je lui ai volé un bas et je me suis branlé avec. Évidemment, je ne lui ai jamais rendu. Il était complètement fichu.

Ce samedi de septembre, comme à mon habitude, je l’observais alors qu’elle fixait ses collants avec des pinces à linge. Il faisait un temps magnifique. Elle portait un long T-shirt moulant et une culotte de coton blanc que l’on devinait dessous. Je la regardais intensément. Tout à coup, elle s’est retournée et m’a dit : « Alors Joao, tu rêves ? »J’ai rougi en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire. J’étais incapable de prononcer un seul mot. « Ben alors Joao, qu’est-ce qui te met dans cet état ? »Je me suis dit qu’elle avait deviné. Je suis resté muet. « Ce sont mes collants ? Viens dans le jardin, nous serons mieux pour discuter… » Je suis venu la rejoindre, le rouge aux joues. Elle m’a confié: « Seb adore mes collants, et mes bas aussi. Et toi, tu as déjà demandé à tes copines de porter des bas ? »J’étais cramoisi : « Heu, si, des fois », ai-je bafouillé. Elle m’a fixé avec un regard lourd de sous-entendus. Puis elle m’a glissé doucement: « Tu sais, il y a quelques semaines, j’ai perdu un bas. Ce ne serait pas toi qui me l’aurait chipé, par hasard ? »

J’ai de nouveau piqué un fard, j’aurais voulu disparaître instantanément. « Tu es bizarre aujourd’hui. Tu n’aurais pas quelque chose à te reprocher ? Bon, puisque c’est comme ça, aide-moi à étendre mon linge, s’il te plaît. » J’ai accepté, évidemment. Le problème, c’était que le simple fait de plonger mes mains dans la lingerie humide me donnait un début d’érection. « Tu as l’air d’aimer la lingerie… Toi, tu me parais déjà bien cochon pour ton âge. Lequel de mes collants préfères-tu ? » Je ne savais quoi lui répondre, j’étais piteux. Finalement, j’ai désigné un collant noir à très fine résille. D’un ton autoritaire, elle m’a demandé de le prendre et de rentrer dans la maison avec elle. « Nous ne sommes que tous les deux, Joao. Je voudrais que tu me montres ce que tu as fait avec le bas que tu m’as volé. » Je ne savais comment réagir.

Une fois dans le salon, elle s’est assise sur le canapé et a répété : « Allons, dépêche-toi, je n’ai pas tout mon temps ! » J’étais coincé. En même temps, la situation m’excitait énormément, et elle s’en rendait compte. Mon sexe gonflait à vue d’œil sous mon jean. « Alors, tu as fait quoi avec, tu t’es branlé ? » J’ai bafouillé un oui timide. Immédiatement, elle a exigé que je lui montre comment je m’y étais pris. J’ai déboutonné mon pantalon, mon nœud dépassait de mon slip tellement ma tige était tendue. Je l’ai libérée de toute entrave et j’ai commencé à me branler doucement devant elle. Elle m’a tendu le collant résille. Je l’ai disposé autour de mon barreau de chair tendu à craquer et j’ai continué à me toucher, en la regardant droit dans les yeux. J’étais tellement échauffé que ma timidité naturelle s’évaporait ! Elle m’a demandé de rester là, debout.

Pendant ce temps, elle me tournait autour et m’observait sous toutes les coutures. Elle s’est placée derrière moi, s’est agenouillée et a baissé mon jean. Je me suis arrêté un instant, mais elle m’a demandé: « Vas-y petit cochon, continue de te branler avec mon collant. Pendant ce temps, je vais bien te lécher le cul . » Je m’astiquais la queue de plus en plus vite pendant qu’elle, accroupie, pointait le bout de sa langue dans ma rondelle, tout en se caressant énergiquement, la main dans sa culotte. Puis, elle a sorti de sa chatte un doigt bien trempé de mouille qu’elle m’a enfoncé doucement dans le cul. Quel délice ! Mon trou aspirait son doigt, et je n’ai pu me retenir de décharger. Elle m’encourageait, accentuant mon orgasme: « Vas-y mon cochon, décharge bien tout ton foutre dans mon collant, ça t’excite, hein petit salaud ? » Ça m’excitait, oui, c’est le moins que l’on puisse dire.

Elle s’est relevée, s’est plantée devant moi et m’a lancé : « Samedi prochain, je pourrais encore avoir besoin d’aide pour étendre ma lingerie. Je peux compter sur toi ? »Je n’ai pas dit non…

(Image à la une : Getty Images)

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