Il est interdit d’interdire !

La rédaction 9 novembre 2022

Anissa organise une soirée dans une vieille maison prêtée par un ami. Le thème des seventies va endiabler la fête pour prendre des allures libertines !

seventies partouze libertin

Les années 70 ? Vous savez ? Les hippies, la libération sexuelle, la peace and love attitude !? Mes parents n’arrêtaient pas de m’en parler. Les années 2020 sont tout aussi bien, mieux même ! On a toutes les ressources technologiques à notre portée pour organiser les meilleures soirées du monde.

Un copain m’a prêté la maison de ses grands-parents, « old-school » à souhait ! Papiers peints surannés, meubles dignes d’une brocante et fringues puant la naphtaline ! On a dansé sur des titres vieux de cinquante ans et on a fini à poil, qui gardant sa culotte, qui ses bas et hop ! On a commencé à s’envoyer en l’air tous ensemble dans le salon puis direction la chambre à coucher, pardon, la “bedroom” comme disaient les snobs en ce temps-là !

Nous étions six, je ne vais pas vous agonir de prénoms, retenez juste que l’un d’entre eux s’est dévoué pour filmer notre partie fine, oups (!), notre partouze.

J’ai failli vous livrer les photos avec un filtre noir et blanc pour être encore plus vintage !

Sexy seventies

Je voulais que tout soit comme dans les super-huit de cul d’autrefois (pari gagné à part nos chattes épilées au laser et où plus aucune fourrure ne repousse), nous avons donc débuté par une pipe collégiale. Les deux beaux tuyaux pendouillant ont vite gonflé sous nos succions et nos branlages énergiques. Nous pompions les queues à grand renfort d’ahanements sonores et totalement artificiels. Entre deux éclats de rire, les hommes ont quand même réussi à afficher de superbes érections et se sont mis à nous lécher merveilleusement bien.

On croit que le face-sitting est une invention moderne, laissez-moi rigoler, les des seventies en regorgent. Nous avons donc pris un malin plaisir à nous asseoir, foufoune trempée bien plaquée sur le visage de nos amants, à les en étouffer. Franchement, dommage de ne plus avoir de toison pubienne pour, en plus, leur chatouiller le nez par la même occasion.

Mis à part ce détail pileux et nos coupes de cheveux, honnêtement on s’y serait cru ! Côté filles, nous poussions de petits cris suraigus, interprétant les fausses ingénues effarouchées, les hommes, quant à eux, surenchérissaient en grognements et en borborygmes gutturaux des plus surréalistes et artificiels.

Cela dit, les deux impétrants étaient de formidables lécheurs qui nous ont donné des orgasmes incroyables avec leur langue magique. Quel plaisir que de fermer les yeux et laisser le hasard jouer à son délicieux jeu aléatoire, les changements de partenaires s’accompagnaient de la différence de rythme, de pression, chaque courtisan ayant sa personnalité, son style. L’un vous enfonçant un ou deux doigts, l’autre non, investissant cul et chatte ou ne laissant que sa langue s’exprimer dans un frétillement muet où seuls quelques clapotis emplissaient le volume de la chambre.

C’est notre photographe qui, tel un réalisateur de porno, nous a claqué les fesses en criant « Pénétration première, les filles en position ! »

Après une énième explosion de rires et une coupe de champagne, nous avons donné nos croupes en pâture à nos deux mâles. Moi en levrette, mes amies en amazone ou en missionnaire, les corps s’enchevêtraient, toutes bisexuelles du côté féminin, nous nous roulions des pelles à n’en plus finir, nous caressions les seins, le minou et les fesses pour le plus grand bonheur de nos deux baiseurs et de notre voyeur photographe qui, tout de même, commençait à présenter une demi-molle.

Se faire prendre par un autre que son mari et, de facto, devant lui est une expérience que toute femme devrait vivre au moins une fois dans sa vie ! Je vous mets au défi de ne pas en tirer un plaisir absolument inouï. J’aime par-dessus tout regarder Gérard, mon compagnon, dans les yeux quand je suis au bord du chavirement sous les coups de boutoir d’un amant libertin. Muet et concentré, il articule lentement « Tu es ma belle petite salope d’amour », et dès que je vois ces mots se dessiner sur ses lèvres, je jouis dans un déchaînement de cyprine, de cris et de gesticulations désordonnées.

Cette nuit-là, nous avons baisé non-stop durant des heures, les mâles étaient infatigables et moi et mes amies insatiables. Pour vous dire, la dernière charge sensuelle ne s’est déroulée qu’entre filles, les hommes, après trois éjaculations chacun, étaient à sec, c’est le cas de le dire ! L’un d’eux s’est même déchiré le frein sous la langue tant il nous a léchées ! Nous avons fini par nous endormir, côte-côte en nous répétant que c’était bien vrai « il est interdit d’interdire ».

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