La course à l’orgasme

La rédaction 14 février 2021

Trempée et frigorifiée après avoir perdue une course, Caro, 42 ans se fait réchauffer par Thomas et gagne la médaille d’or de l’orgasme.

J’ai 42 ans et  je suis “fit”: sportive et en bonne santé. Je me suis mise à fond dans le running il y a trois ans et je suis devenue accro. Ma drogue, c’est l’endorphine. Mon objectif 2021: courir un marathon. J’ai déjà fait deux semis l’an dernier et plusieurs 10 kilomètres en 2018. Je vais vous raconter mon histoire de sexe lors d’un semi.

Ce tout premier 10 a été un gros raté. J’étais encore débutante. La course se tenait chez moi, en Picardie, dans des conditions météo horribles : froid + vent + pluie. Je n’avais pas la bonne paire de baskets, ma tenue était trop légère, bref, j’étais larguée. Heureusement, un mec de l’orga m’a passé son sweat juste avant le départ. J’ai terminé dans les dernières, avec les larmes aux yeux. Je me sentais archinulle. Je voulais juste rentrer chez moi et abandonner, mais j’ai quand même fait le tour des stands pour rendre son sweat au type du départ. Je l’ai trouvé près d’une caravane du staff, à décharger un carton de barres de céréales. Il a vu ma tête et m’en a tendu une. Je l’ai prise volontiers. J’étais vidée et le sucre m’a fait du bien. Le type m’a réconfortée et m’a même fait rigoler. Il était pas mal, un quadra comme moi, brun, avec l’accent du  Sud. On a papoté et il m’a raconté sa vie. Il s’appelait Thomas, de Marseille, divorcé depuis peu. Il squattait chez un copain qui lui avait proposé d’être encadrant sur la course, histoire de se changer les idées. J’ai blagué sur notre climat pourri et il m’a dit qu’il avait la solution : son pote lui avait prêté un chauffage électrique pour la caravane. Je voulais voir ?

J’étais trempée comme une soupe, donc oui, je voulais bien. Je ne vais pas mentir : j’avais besoin d’un coup de boost après cette course catastrophe et le regard de Thomas me faisait du bien. Il faisait chaud dans la caravane. Sans doute un peu trop. Mais c’était bon, comme de plonger dans un bain. Thomas m’a demandé si je voulais me sécher en me tendant une serviette. Ses yeux noisette brillaient. J’ai enlevé le sweat et mon short de course trempés. À cause de la pluie et de la transpi, ma culotte est partie avec. J’étais cul nu devant Thomas, qui était dans les stratingblocks…

Pas le temps de s’essuyer, le Marseillais est parti top chrono. Je me suis laissée embrasser, d’abord surprise par ce départ en trombe, puis rapidement motivée. Entre deux baisers mouillés, Thomas a enlevé ses fringues et j’ai vu le trophée qu’il me tendait. Je n’étais pas archinulle, si un homme bandait comme ça pour moi… On a continué à s’emballer sur la banquette de la caravane; on se serait cru dans un sauna et j’étais bouillante dehors comme dedans. J’ai attrapé la belle verge de l’organisateur et je me suis mise à la branler à deux mains en tire-bouchon. Ensuite, je me suis penchée et je l’ai laissée entrer et sortir entre mes lèvres. Thomas m’a murmuré des compliments, mais en me laissant complètement libre de gérer le tempo. Je me suis calée sur sa respiration pour le sucer à la perfection et sans me la jouer, ça  a marché. Du jus coulait de son bout quand il a fini par me supplier d’arrêter.

Ces quelques mots m’ont mise en transe… Je me suis allongée et j’ai frotté moi- même le trophée entre mes cuisses. Moi qui osais à peine avouer à mes conjoints qu’il m’arrivait de me masturber, j’étais en train de le faire avec le sexe d’un homme dont je savais à peine le prénom! Mais ça n’était pas mon objectif; je voulais la médaille, d’or, pour orgasme. J’ai présenté à Thomas celle en chocolat, c’est-à-dire mon petit trou, dont vous voyez la photo 100 % naturelle. Évidemment, pour une première fois, il n’allait pas tenter la sodomie, mais il s’est fait plaisir en me titillant. Je sentais qu’il faisait tout le tour avec son pouce et mes petites lèvres n’en ont été que plus ouvertes. En quelques coups de reins Thomas était en moi et m’a chevauchée jusqu’à la ligne d’arrivée. Je l’ai passée la première, en me cramponnant à la banquette. Mes genoux ont tapé si fort contre le rebord que j’ai eu des bleus pendant une semaine! Les risques de la compétition.

On s’est revus pour des cessions running et jambes en l’air, jusqu’à ce que Thomas rentre dans sa région. C’est cette aventure totalement imprévue qui a fait qu’aujourd’hui, je reste motivée en toutes circonstances.

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