Une tigresse du sexe
20 mai 2023L’histoire de sexe que notre témoin partage est pleine d’ondes positives. Alors qu’il bandait mou, il a rencontré une jeune femme qui lui fait retrouver sa virilité. Ce dernier a bien pilonné la chatte de la petite coquine.
Je m’appelle Patrick, j’ai 55 ans et j’aimerais partager une histoire de sexe. Tout d’abord, je dois avouer qu’à partir de 50 ans, j’ai commencé à bander mou. Au départ, je ne me suis pas trop inquiété. Après tout, ce genre de désagrément peut arriver à tout le monde lors d’un moment de grande fatigue, mais après six mois de mollesse, je me suis dit qu’il y avait un problème.
Comme je vous lis régulièrement, et que vos nombreux conseils plébiscitent, dans ces cas, la visite auprès d’un spécialiste, j’ai donc été rencontrer un sexologue. Mais les résultats ont été peu probants. Je pense que chaque cas est unique et je ne ferai pas du mien la norme.
L’inconnue du club coquin
J’avais un vrai blocage psychologique, et celle qui m’a «fait revenir à la vie», c’est Lola. Une jolie plante d’à peine trente ans qui a un regard noisette à faire fondre n’importe quel cœur. Je l’ai rencontré dans un club assez coquin, où j’ai pu sortir après une dure journée de travail. J’ai ressenti un coup de foudre immédiat pour ce tendre minois qui se trémoussait en face de moi. J’aimais tout chez elle, son déhanché, sa sensualité, sa langue qu’elle passait sur ses lèvres.
Elle semblait flotter et danser comme si rien n’avait d’importance, avec une forme de légèreté, que, sur le coup, j’ai envié au plus profond de moi. Alors, je l’ai draguée. J’ai déjà sorti mon baratin avec beaucoup de femmes, mais j’ai senti qu’avec elle c’était différent. Elle ne m’écoutait pas, elle me regardait, me scrutait, comme un petit animal qui a repéré sa proie et qui la renifle. Au fond, tous mes compliments, tous mes exploits personnels, n’avaient que très peu d’importance. J’étais face à une vraie addict du cul.
Quand je lui ai proposé de terminer la soirée chez moi, elle s’est empressé d’accepter, sans aucune hésitation. Une réponse qui, croyez un serial dragueur de ma trempe, est une vraie rareté.
Elle réclamait ma queue !
Quand elle a passé la porte de mon appartement, à nouveau, j’avais peur de ne pas réussir à maintenir mon érection. J’ai repoussé le moment fatidique comme j’ai pu, je l’ai longuement embrassé façon serial lover, j’ai léché sa fente humide, durant d’interminables minutes, au point d’en avoir mal à la mâchoire. Je l’ai doigtée, et caressé en même temps, à en avoir des crampes dans tous les muscles de la paume de la main. Lola était en feu, elle réclamait ma queue dans des soupirs enragés, et je faisais durer de plus en plus longtemps son calvaire.
Plus les minutes défilaient, plus son regard noisette se durcissait ; ma queue n’était plus simplement désirée, elle en devenait un impératif certain à l’obtention de son orgasme. Je bandais, bien sûr. Mais j’avais peur que tous mes efforts s’effondrent au moment d’enfiler le préservatif. À un moment, après une énième griffure suivie d’une longue plainte «baaiiiiiise-moi, Patrick !» je n’ai pas pu y couper. J’ai ouvert l’emballage du latex, l’ai déroulé tout de go, et miracle, mon pénis est resté bien droit, comme un petit soldat en première ligne prêt à affronter l’ennemi malgré la peur du champ de bataille.
Une chatte ben baisée
Très rapidement, trop peut-être, je l’ai pénétrée et je l’ai tamponné très rapidement. J’étais tellement heureux de pouvoir enfin pénétrer une femme avec ma bite que je m’en suis donné à cœur joie. Je l’ai baisé comme jamais je n’avais baisé une femme, dans de gros à-coups saccadés, comme possédé par je-ne-sais-quelle diablerie, dans une forme de transe continue. Elle a joui très rapidement, la pauvre, elle était tellement sur les nerfs. Je l’ai suivi, quelques minutes à peine après, expulsant tous mes liquides dans la capote tirée à bloc. Et nous nous sommes ensuite endormis, elle épuisée, moi, heureux d’avoir retrouvé ma virilité perdue.
Et vous savez-quoi ? Lola fut un terrible vaccin. Depuis, je bande comme un jeunot, je peux même enchaîner deux éjaculations dans une soirée. Comme quoi, le remède à la bandaison triste se trouve entre les hanches d’une tigresse du sexe.
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