Plaisir voyeuriste avec un hétérosexuel

Aline, pour que je vienne !

J’ai récemment rencontré Aline, une jeune femme bisexuelle en couple avec une autre femme, qui m’attirait énormément. Nous allions tous les matins dans le même café prendre notre dose quotidienne de caféine au comptoir et nous avions commencé à nous lier d’amitié. En réalité, on flirtait assez ouvertement, même si elle ne faisait pas mystère de son statut conjugal de femme en couple. Je vous raconte mon histoire de sexe.

Un jour, elle m’a avoué que justement, sa nana fantasmait sur le fait de la voir se taper un homme devant elle. Et que c’était un peu pour ça qu’elle avait cherché à faire ma connaissance… Sa meuf avait cette envie depuis longtemps, pour sortir un peu de leur routine sexuelle. Elle voulait aussi démystifier le fait que sa copine se soit déjà tapé des hommes avant elle, en la regardant faire en direct.

C’était un peu militant quelque part que, pour une fois, ce soit une nana qui prenne son plaisir voyeuriste en regardant deux êtres en train de copuler. J’ai trouvé l’idée assez drôle et je me suis proposé bien volontiers pour la baiser. Après en avoir parlé avec sa compagne, elle m’a invité dans une chambre d’hôtel où nous nous sommes retrouvés tous les trois pour régler notre petite affaire. J’ai gagné la confiance de sa copine en la faisant rire. Je pense qu’elle a dû réaliser que j’étais inoffensif pour leur relation et voir aussi, dans les yeux de sa nana, que je lui plaisais, ce qui a d’autant plus attisé sa curiosité de nous voir ensemble. Après un certain temps de discussion et nous être mis à l’aise tous les trois, nous avons enclenché les hostilités. C’est Aline qui a pris les devants en mettant une musique sensuelle et en attirant notre attention sur elle en se mettant à onduler. Elle a commencé à retirer ses vêtements et à nous dévoiler ses dessous. Elle avait un porte-jarretelles rose poudré, des bas noirs, des talons. Elle était toute fine avec sa taille de guêpe contenue dans le satin de sa lingerie.

Le trio improbable

J’ai eu envie de n’en faire qu’une bouchée. Je l’ai approchée tout en regardant sa compagne qui m’a fait signe que je pouvais y aller. Aline s’est allongée sur le lit et a ouvert les jambes. Son sexe était exposé à l’air libre ; je n’avais plus qu’à y plonger. Je l’ai léchée comme un gentleman, car je ne voulais pas qu’elle pense que j’étais un de ces mecs hétérosexuels égoïstes qui ne pensent qu’à leur petit plaisir personnel. Je l’ai léchée bien longtemps, suffisamment pour lui donner un premier orgasme. Puis elle a tendu ses jambes dans les airs, bien écartées, alors j’en ai profité pour m’enfoncer en elle, dans sa fente entièrement trempée de ma caresse et de son désir. J’ai glissé en elle, ses jambes fuselées de part et d’autre de moi. Sa copine a pris des photos et c’était assez troublant ; elle voulait enregistrer le plaisir sur le visage de sa femme, le regarder au plus près dans un moment où elle-même était extérieure à la scène, alors qu’elle en était d’habitude partie prenante.

Puis Aline s’est mise à quatre pattes sur le lit pour avoir d’autres sensations. Là, j’ai pu la caresser tendrement entre les jambes, pouvant à nouveau sentir son excitation. Je l’ai prise en levrette et son corps répondait à toutes mes espérances : nos sexes se prenaient l’un l’autre comme des aimants, sa chatte était accueillante et moelleuse, et je sentais que ma bite grosse de désir la remplissait sans être trop intrusive et qu’elle y prenait plaisir. Elle m’a même dit que je pouvais y aller un peu plus fort, car elle et sa nana avaient l’habitude des jeux BDSM. Elle m’a donné quelques suggestions, alors je me suis retrouvé à la prendre par les cheveux et à tirer doucement dessus pendant que je la chevauchais. Sa femme est même venue donner quelques fessées sur ce postérieur ferme comme deux pommes croquantes et juteuses, m’incitant à faire de même. J’aimais sentir sa peau claquer sous ma paume, et la résistance de ses cheveux tirés en arrière. Elle haletait et sa meuf continuait à nous tirer le portrait, ayant l’air elle-même de plus en plus excitée de voir sa partenaire ainsi dominée.

Aline poussait des sons rauques de plaisir pendant que ses fesses rougissaient. Sa chair était tremblante de frissons et en même temps, chauffée à blanc par l’adrénaline. Elle m’a tellement excité que je n’ai pas tardé à décharger en elle. Puis je suis un peu parti comme un voleur, car les deux femmes voulaient baiser ensemble. Je les ai laissées profiter et cueillir cette excitation née de notre trio improbable. J’étais bien content d’avoir été l’objet de leur plaisir et qu’elles aient pu se retrouver ensuite ! Sa copine m’a envoyé les photos que je vous partage.

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