Un examen de routine

La rédaction 9 février 2020
Un examen de routine histoire de sexe

Je vous écris pour vous apporter mon témoignage au sujet des « Blouses blanches » [N.D.L.R. : interstron.ru Spécial Lettres et E-mails n° 2]. Il y a environ six mois, après avoir déménagé, j’avais pris rendez-vous avec un gynécologue qu’une voisine m’avait conseillé. C’est un jeune homme originaire du Sénégal. Il est très doux et attentif aux problèmes féminins, aux dires de cette voisine. J’ai été reçue par sa secrétaire. Elle m’a fait remplir un dossier. Un homme est entré dans le bureau. Grand, noir, son sourire laissait apparaître de belles dents blanches. Au premier coup d’oeil, je me suis sentie à l’aise. Il m’a fait pénétrer dans son cabinet. L’atmosphère était chaude. Je me suis assise. Ne me connaissant pas, il m’a invitée à me présenter en lui précisant mes antécédents gynécologiques.

Je le trouvais séduisant, mais il portait une alliance. Il a ensuite suggéré un « examen de routine« . Je me suis déshabillée, ne gardant que mon soutien-gorge et mon pull. Je me suis installée sur la table et j’ai placé mes pieds dans les étriers. Il est venu se mettre devant moi, il a enfilé ses gants et a commencé par me caresser les cuisses, en remontant lentement vers ma vulve. Il m’a expliqué que le but de ces caresses était de détendre la patiente, et d’éviter ainsi que les femmes ne souffrent lors de l’introduction de l’écarteur. J’étais surprise par cette pratique, mais relaxée. J’ai senti le froid du métal de l’écarteur entrer en contact avec ma chair, mais l’introduction s’est faite sans aucune gêne. Il a procédé à un premier toucher vaginal et, étrangement, je ne me suis pas contractée. L’introduction de son doigt était agréable. Il a fixé mon intimité, puis a réintroduit son doigt, exerçant une pression sur mon clitoris. Était-ce volontaire ? Je ne pouvais pas cacher le plaisir que je ressentais. Je mouillais et je n’y pouvais rien. Il a continué son examen comme si de rien n’était.

Ses doigts écartaient délicatement mes lèvres. Je fermais les yeux, abandonnant mon corps aux mains de ce bel homme. J’ai gémi involontairement. J’étais gênée. Je n’avais pas du tout envie que l’examen se termine, alors j’ai inventé l’existence de douleurs au bas-ventre. Il s’est assis sur un tabouret. Il s’est approché de ma chatte grande ouverte par l’écarteur, dirigeant le faisceau de sa lampe dans mon intimité. Je sentais le souffle chaud de sa respiration. Après quelques secondes d’analyse visuelle, il m’a dit qu’il serait bien de faire une échographie intra-vaginale. Il m’a expliqué qu’il fallait pour cela introduire une sonde dans le vagin. Il m’a proposé de le suivre dans une autre salle d’examen. Il y faisait très chaud et je me suis mise en soutien-gorge.

Il s’est assis à côté de moi, se tournant vers les commandes de la machine. Il a pris la sonde que j’ai trouvée de dimension impressionnante. Ma surprise a été encore plus grande quand je l’ai vu sortir un préservatif. Allait-il m’examiner avec sa sonde personnelle ? A mon grand regret, je l’ai vu coiffer la sonde avant de l’enduire d’un gel. Il a éteint complètement la lumière, et m’a indiqué la télévision placée en face de moi. Il m’a dit que je pourrais voir les images pendant le déroulement de l’examen. Il a avancé la sonde. J’ai sursauté à son contact. C’était froid… Il a poussé en faisant des mouvements circulaires. Sans forcer, la sonde s’est enfoncée en moi. La sensation était des plus agréables. Je ne me suis jamais godée et je me disais que j’allais y remédier.

Chaque mouvement m’arrachait de faibles gémissements que j’avais du mal à contenir. Mon plaisir ne passait pas inaperçu à ses yeux. Les mouvements de la sonde se faisaient de plus en plus amples. Je sentais la sonde entrer et sortir tout en venant exciter mon clitoris. J’ai tourné la tête vers mon gynéco. Comprenant ce qui m’arrivait, il a accéléré les mouvements. Mes pieds, prisonniers des étriers, ne me permettaient pas de me cabrer sans glisser. J’avais une irrésistible envie de jouir. Je ne pouvais plus retenir mon orgasme. J’étais au summum de mon plaisir quand la porte s’est ouverte. Voyant qu’il y avait un examen en cours, une voix de femme a présenté des excuses. Je me retenais pour ne pas être entendue par l’intruse. La porte refermée, mon gynéco m’a dit être désolé par l’interruption. Il m’a avoué avoir pris beaucoup de plaisir à me faire jouir. Il se doutait que j’avais inventé cette histoire de douleurs. Je n’étais pas la première à ne pas pouvoir résister à des pulsions sexuelles de cet ordre. Il m’a confié ne jamais refuser la concrétisation d’une telle envie. Les résultats n’ont révélé aucune anomalie. Je n’ai qu’une envie, revenir dans six mois pour mon prochain contrôle gynécologique.

(Image à la une : Getty Images)

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