Arrête la branlette !

La rédaction 3 janvier 2025

Je travaille à la Défense, dans l’un de ces grands plateaux de « co-working » impersonnels et froids. Bosser en open space, cela veut dire entendre tout ce que dise les collègues, n’avoir aucune intimité et pour ce qui est de conserver un peu de discrétion sur ce qu’on affiche sur son écran, oubliez ! Ma méthode pour éliminer tout ce stress ? La branlette de mi-journée ! je file aux toilettes, je m’installe avec mon smartphone et je m’astique le manche pendant quinze minutes, l’apaisement que me confère mon éjaculation me permet de tenir ainsi jusqu’au soir. Voici mon histoire de sexe amateur.

Invitation fellation

C’était un vendredi, je m’apprêtais à suivre ma routine quotidienne lorsque j’ai reçu un message via le réseau de la boîte « Je peux venir avec toi pour ta « pause » de 16h00 ? »

J’ai jeté un regard autour de moi, rien, aucun clin d’œil complice, pas une tête levée, j’ai pris une grande inspiration et j’ai répondu un laconique « OK ».

Quelle surprise de trouver, derrière la porte entrouverte d’un des WC, la sublime Audrey, les seins déjà à l’air ! J’avais mon portable à la main, je lui ai demandé si je pouvais la prendre en photo et elle a dit oui.

Ma collègue du marketing s’est assise sur la faïence et s’est attaquée directement à la braguette de mon jean. Sa tête quand elle a vu mon zob ! Elle a abaissé mon pantalon et s’est employée à lécher le dessous de mon phallus déjà en érection. Sa petite robe d’été ne cachait rien, elle ne portait ni soutif ni culotte, je vivais un rêve éveillé. Audrey est LA cartouche de la société, tout le monde la drague, les mecs comme les filles, tous et toutes veulent la mettre dans leur lit, moi … je l’ai « mise » dans les toilettes !

Je n’en revenais pas, j’étais là avec elle, dans cet espace exigu, sa silhouette à moitié dénudée, ses seins magnifiques, son cul sublime et sa bouche qui me travaillait le gland de la langue et des lèvres. Elle suçait divinement bien en plus ! Concentrée, à l’écoute de réactions de mon corps, ça montait et ça descendait en léchouilles mouillées sous ma bite, ça me gobait les couilles, ça me branlait un peu avant de me reprendre en bouche, une véritable experte de la turlute.

Impossible, en revanche, de lui rendre la pareille, avec mon mètre quatre-vingt-dix, j’étais trop grand pour venir lui brouter le minou, peu importe, elle a récolté une belle dose de salive sur le bout de ses doigts et se l’ai appliquée sur la fente, allant jusqu’à rentrer ses phalanges dans sa cramouille. Moi qui la pensais gouine ou coincée du cul, je n’en revenais pas.

Baise entre collègues très chaude

Audrey s’est alors tournée, sa chute de reins était ornée d’un magnifique tatouage, mais ce dernier n’a pas été le centre de mon intérêt, il y avait beaucoup mieux à admirer. Sa croupe bien ferme et cambrée par les talons hauts qu’elle portait se révélait à moi dans toute sa splendeur. Le moins qu’on puisse dire est que la bombe atomique du service marketing n’avait pas froid aux yeux, ni ailleurs du reste !

À moitié nue désormais, elle a abaissé son string et s’est penchée en avant afin de me présenter ses fesses, prenant appui sur le dévidoir de papier d’une main et sur l’abattant des toilettes de l’autre, elle a écarté sa raie pour faire fleurir tous ses orifices de plaisir. Un anus rose et légèrement plissé surmontait la fente de la chatte, imberbe, longue et fine et qui, surtout, suintait déjà d’une mouille brillant aux fortes fragrances de désir.

J’ai calé mon gland volumineux sur son bouton de rose que j’ai agacé par quelques va-et-vient, mais Audrey ne l’entendait pas de cette oreille et a saisi mon manche pour le diriger droit vers son vagin. Je n’ai même pas eu à pousser pour pénétrer dans le saint des saints, c’est elle qui a reculé ses hanches et s’est empalée sur mon phallus qui n’en attendait pas tant.

Je l’ai baisée ainsi, en levrette, debout dans l’exiguïté de ces toilettes, ne pouvant m’empêcher de penser à mes collègues, là-bas, yeux rivés sur leur ordinateur dans l’open space et qui ne se doutaient pas un seul instant de ce qui se déroulait à quelques mètres d’eux ! Audrey a joui très fort et très rapidement, elle était fortement excitée et cela se sentait au flux qui alimentait sa source, nimbant ma pine d’une crème douce et lubrificatrice.

N’en pouvant plus de sa position pour le moins inconfortable, elle s’est relevée et m’a fait face, de nouveau je l’ai possédée, à la hussarde, lui collant le dos et les fesses au mur pour me déchaîner et jouir à mon tour dans son fourreau étroit, non sans lui avoir déclenché un second orgasme aussi fort que le précédent.

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La rédaction


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