Gaga des gogos

Guillaume 11 mars 2025

Thierry, 34 ans, gogo dancer expert s’est familiarisé avec Manuela lors d’un de ses shows. La soirée d’enterrement de vie de jeune fille finira en réincarnation lors d’un lendemain coquin !

Thierry nous raconte sa chaude histoire de sexe vécue après un show…chaud !

Je suis ce qu’on appelait dans les années quatre-vingt-dix, deux mille, un chippendale, aujourd’hui on dit plutôt « gogo dancer », mais le principe reste le même, je fais beaucoup de musculation et je danse en spectacle, dans des clubs, des enterrements de vie de jeunes filles. Cet été, j’ai été contacté par une bande de femmes en furie pour la dernière soirée en tant que célibataire de Manuela. Nous avons convenu d’un tarif, d’une date et le jour J, j’étais fin prêt pour mon show. Ce à quoi je n’étais pas préparé, c’était justement Manuela ! Elle avait tout de la fille de mes rêves.

Exceptionnellement, je me suis laissé aller à du nu intégral et j’ai bien senti que la star de la nuit n’était indifférente ni à mon physique ni à ma queue qui, sous l’effet de ses caresses, s’est mise à bander aussi dur qu’une barre d’acier. Les cris résonnaient dans toute la pièce pour que les choses aillent plus loin, et cela s’est finalement produit, le lendemain.

Que la fête continue !

Manuela m’a recontacté et elle est venue chez moi, je sortais de la douche lorsqu’elle est arrivée, elle m’a roulé une pelle et s’est déshabillée pendant que nous gagnions ma chambre. J’avais mon portable, elle m’a fait signe de la tête qu’elle était d’accord pour des photos, elle ne pouvait plus parler, ma pine était déjà profondément engagée au fond de sa gorge. La vision de sa silhouette parfaite a confirmé mes soupçons de la veille, cette fille était un petit canon unique en son genre. Et quel talent pour la fellation, elle y mettait un entrain qui m’a donné une gaule d’enfer, puis elle s’est livrée à moi en levrette, crachant dans sa main pour étaler sa salive sur sa chatte et se branler en mouvements circulaires tout en ouvrant ses nymphes afin de me montrer son vagin rose et luisant de mouille.

J’ai glissé ma grosse queue dans l’anfractuosité brûlante et immédiatement Manuela s’est mise à gémir et à crier. Elle me tenait les bourses dans sa paume, très douce et incisive à la fois, cherchant à m’offrir le plus de plaisir possible tout en prenant son pied alors que mes coups de piston gagnaient en ampleur et en profondeur.

La future mariée trouée

Son petit trou me faisait de l’œil, alors j’ai laissé tomber un filet de salive pile sur la cible. Cela a arraché un râle de désir à mon amante. Je n’y suis pas allé par quatre chemins et je lui ai fourré un pouce dans l’anus. Le résultat de cette pénétration ne s’est pas fait attendre, la belle petite brune a remué la tête dans tous les sens, ses cheveux formaient une auréole tant elle se démenait. Elle a joui ainsi, ma bite calée tout au fond de sa chatte épilée avec soin, mon doigt crochetant son orifice serré. Son orgasme a été impressionnant d’intensité et a duré super longtemps. Les contractions de ses puits se sont ensuite calmées et elle s’est allongée sur le dos, souple et sans complexes. Elle a écarté largement ses cuisses, me dévoilant de nouveau toute son intimité. Sa vulve était gonflée, ses nymphes rougies de mon premier assaut. Manuela a alors saisi ses talons pour mieux rabattre ses jambes et me permettre de la posséder encore plus fort que la première fois.

J’ai embrassé cette beauté, déposé quelques léchouilles sur son abricot baveux, son jus était doux et légèrement sucré. Son petit trou a, lui aussi, eu le droit à la visite de ma langue. La future mariée m’a demandé de la baiser fort, elle a attrapé ma queue et l’a branlée avant de cracher sur mon gland et de me guider vers sa chatte accueillante.

Manuela l’infatigable tigresse

C’était tellement bon ! Cette femme était une amante née, quelque chose en elle transpirait le sexe et le désir, ses yeux étaient en feu, son con m’enserrait le membre et son clitoris était comme un minuscule dard que je m’efforçais d’effleurer le plus possible. J’ai mis plus de conviction dans mes coups de boutoir, nous ne nous quittions pas du regard et Manuela n’arrêtait pas de me pousser à la prendre de plus en plus fort. Elle a joui deux fois presque coup sur coup, me saisissant les cuisses en me les griffant au passage, quelle tigresse !

Infatigable, elle s’est repositionnée en levrette, les reins cambrés, les fesses bien écartées, son con et son cul étaient à ma disposition. Je l’ai sodomisée quelques secondes, mais j’ai senti qu’elle n’acceptait cette intromission que pour me faire plaisir, alors j’ai replongé mon pieu dans le cratère brûlant de son bonbon rose. Je ne pouvais plus me stopper. Son œillet a accueilli de nouveau deux de mes doigts, je jouais avec ma bite tout en la limant à fond de train. J’ai juste eu le temps de sortir pour crémer toute se fente ! Et voilà mon histoire de sexe avec la tigresse Manuela !

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